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s motifs ? Nous venons de les voir. Ce sont 1° le
refus
de toute nouvelle guerre européenne, 2° la fédération au-delà des for
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t justifié que par notre état de division, par le
refus
de nous fédérer. Derrière nos représentations exagérément pessimistes
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nts, résolus, qui déconcertent la police par leur
refus
de se conformer aux clichés de la contestation et du gauchisme. Or el
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mes de toute communauté digne du nom, qui sont le
refus
de la violence, le souci de répartir les responsabilités comme gages
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même dire que l’État totalitaire se définit comme
refus
et rupture de ce processus d’interaction créatrice, auquel il entend
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force véritable est dans la non-violence, dans le
refus
des clichés de la Puissance, dans l’abandon au règne de l’amour, touj
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entative de traverser une frontière sans visa, le
refus
de servir dans l’armée, la fraude fiscale (dans les pays anglo-saxons
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’humanité du xxe siècle. Elle consistait dans le
refus
de réfléchir sur les limites de tout processus de croissance dans not
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sur l’Europe comme patrie des hommes libres et du
refus
de la fatalité. Jamais l’intelligentsia de nos pays n’aura été plus n
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d’avoir produit tous leurs effets, tels que : le
refus
des notions, certes un peu simplistes, de productivité et de produit
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s chroniques des pollutions de tous ordres, ou de
refus
officiel de coopérer sur le plan international, relèvent donc tous d’
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comportements quotidiens, de nos modes de vie, du
refus
de sacrifier nos intérêts à courte vue à l’indispensable solidarité r
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ce qui me paraît plus stupéfiant encore, c’est le
refus
général, par les hommes politiques et les économistes « sérieux », de
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lle suivait une politique cohérente, radicale, de
refus
de la guerre atomique, allant jusqu’à s’interdire de vendre, non seul
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ique, il y a, en Occident, quelque chose comme un
refus
d’envisager, avant toute application industrielle et commerciale d’un
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Je constate, par exemple, quelque chose comme un
refus
d’imaginer, de supputer, d’étudier sérieusement les régimes sociaux q
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cise ici très soigneusement : quand je parle d’un
refus
, je ne suppose pas le moins du monde qu’après concertation entre phil
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été prise en toute conscience. Bien plus que d’un
refus
délibéré, il s’agit d’un réflexe de fuite devant le problème, d’un re
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ique, il y a, en Occident, quelque chose comme un
refus
général d’envisager, avant toute application industrielle et commerci
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Je constate, par exemple, quelque chose comme un
refus
général d’imaginer, de supputer, d’étudier sérieusement les régimes s
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cise ici très soigneusement : quand je parle d’un
refus
général, je ne suppose pas le moins du monde qu’après concertation en
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été prise en toute conscience. Bien plus que d’un
refus
délibéré, il s’agit d’un réflexe de fuite devant le problème, d’un re