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e de son unicité. J’ai contribué en 1932, dans la
revue
Esprit , avec Emmanuel Mounier, à la formation du mouvement personna
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e notre groupe personnaliste rassemblé autour des
revues
Esprit et L’Ordre nouveau avait assez bien prévu ce qui était en
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ai eu droit aussi à des attaques féroces dans des
revues
automobiles, certains allant jusqu’à me reprocher de falsifier des ci
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e-interview avec Denis de Rougemont », Dialogue :
revue
d’information politique destinée à la jeunesse, Lutry, novembre 1978,
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ergétique. Il s’agit d’une interview donnée à une
revue
économique, en 1975, par le PDG de Novatome (organisme chargé de cons
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a Cité européenne plus particulièrement. Les deux
revues
principales du mouvement en France, Esprit et L’Ordre nouveau con
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nées 1930-1939, laquelle prônait (dans de petites
revues
et des groupuscules peu connus) l’engagement de l’écrivain au service
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s intrare s’il était enfin publié par la Nouvelle
Revue
française. Aujourd’hui, tout dépend de la manière dont il « passe » à
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ans. Car leur vraie vie était ailleurs. 53. La
revue
intitulée en 1928 La Révolution surréaliste devient en 1932 Le Surréa
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notamment « Les communistes et la paix » dans la
revue
Les Temps modernes, juillet à novembre 1952, et « Le fantôme de Stali
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uand nous fondions ensemble Hic et Nunc , petite
revue
de pensée religieuse qui se réclamait de Kierkegaard et de sa double
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églises. Mais je relis les onze numéros de notre
revue
: il n’y est jamais question d’orthodoxie ! (Sauf une fois : pour nie
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ndions les premiers groupuscules et les premières
revues
personnalistes. Il venait du surréalisme, disait-on, ce qui lui valai
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à l’époque, alors qu’il avait encore un pied à la
Revue
des Deux Mondes de M. Doumic, l’autre déjà chez Gallimard. Pour comme
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ui désignait en fait le comité de rédaction de la
revue
, car les « groupes » furent épisodiques. Les Fragments nous apprennen
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és par Kierkegaard et Barth, mais non pas dans la
revue
, où d’ailleurs aucun de nous ne se vit jamais amené à des déclaration
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lus simple encore, ce titre dans le n° 1 de notre
revue
posait le dilemme fondamental des sociétés industrielles : « Liberté
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uvernemental. À 25 ans, lorsqu’il collaborait aux
revues
Esprit et L’Ordre nouveau 75 avec ses amis qu’on nomme aujourd’hu
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que chacun prenne ses responsabilités. 75. La
revue
L’Ordre nouveau n’a évidemment rien à voir avec le mouvement d’extr
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t facile à perturber. »85 Même prévision dans la
Revue
polytechnique 86 de Lausanne : — en cas de panne, les solutions manue
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et Nietzsche. 85. Le Monde, 29 mars 1981. 86.
Revue
polytechnique, mai 1980. cp. Rougemont Denis de, « Information n’es
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emont Denis de, « Information n’est pas savoir »,
Revue
économique et sociale, Lausanne, octobre 1981, p. 310-320.
24
et facile à perturber96. » Même prévision dans la
Revue
polytechnique 97 : « En cas de panne, les solutions manuelles de seco
25
le à perturber.87 » J’ajoute les prévisions de la
Revue
polytechnique 88 de Lausanne : — en cas de panne, les solutions manue
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’informatique ? Après avoir donné mon exposé à La
Revue
économique et sociale , j’ai découvert un texte de Platon, qui corres
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formatique. 87. Le Monde, 29 mars 1981. 88.
Revue
polytechnique, mai 1980. cq. Rougemont Denis de, « [Entretien] L’in
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rir à la société. Suite à un article paru dans La
Revue
économique et sociale , nous lui avons posé quelques questions. »