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yrisme andalou (analogie des thèmes et des formes
rhétoriques
). Quant aux influences bien connues d’un Avicenne et d’un Averroès, o
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utes utilisé au cours des âges les mêmes procédés
rhétoriques
et les mêmes genres : le sonnet, le roman, l’essai, la description ré
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« souverainetés nationales », c’est-à-dire de la
rhétorique
. Le choix est simple : ou nous périrons un à un, ou nous survivrons f
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en tant que condition de l’échange signifiant. La
rhétorique
, naguère si décriée n’est plus « vide » ni « superficielle » : elle e
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oyons la portée de ce que Baudelaire nommait « la
rhétorique
profonde ». Et nous commençons à comprendre à la lumière des archétyp
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oderne : si les conventions sont sérieuses, si la
rhétorique
est liée aux profondeurs de l’inconscient, et si les archétypes sont
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ons —, c’est que le Mythe, à travers conventions,
rhétorique
profonde, archétypes, exerce son empire sur toutes nos créations dans
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il français d’alors n’opposa qu’une forte page de
rhétorique
. Je dois dire tout de suite, Denis de Rougemont, que vos idées ont ét