1 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
1 nément, transformerait comme par miracle toute la scène , et ferait de l’Europe, en peu d’années, une terre aussi libre et heu
2 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
2 dessin, en jouant sur le clair-obscur de grandes scènes d’où surgit un geste. On l’a souvent comparé à Cézanne. Le lecteur de
3 1979, Articles divers (1978-1981). Le mythe et l’opéra (1979)
3 mes quand Tristan l’est d’une seule, il occupe la scène d’un bond quand Tristan s’y avance avec toute la lenteur de celui qu’
4 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
4 Wittgenstein, Hilbert, Carnap, qui va dominer la scène universitaire anglo-saxonne sous le nom de logical positivism que lui
5 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
5 Bon Dieu. Simultanément, Albert Camus porte à la scène le thème de l’absurde avec ses pièces Caligula, L’État de siège, Les
6 co et Beckett ne sont pas les seuls à occuper les scènes parisiennes dans les années 1945 à 1960. Des auteurs qui ne se réclam
7 re cité, mais seulement le nom de leur metteur en scène . Je me mis à lire ou à relire quantité de journaux et de magazines ré
8 ne serait pas une pièce nouvelle mais la mise en scène par Ariane Mnouchkine des sessions du tribunal qui venaient de se ten
9 l à Giorgio Strehler, très connu comme metteur en scène , avait été en réalité « écrite en dialecte milanais en 1892 » par un
10 très près l’article. Le théâtre des meneurs en scène Les noms de Mozart et de Bertolazzi ne me paraissant pas bien util
11 t les autres qui s’ouvrait. » Noms de metteurs en scène , exclusivement. Quelques citations de cet article56 suffiront à prouv
12 els auteurs de théâtre après Mai 68 ? La mise en scène , désormais, tout est là, et la forme l’emporte sur le fond. La plupar
13 arus ou affirmés depuis 1968 sont des metteurs en scène … On applaudit « la Tétralogie de Chéreau » comme on admire « le Don
14 admire « le Don Juan… de Losey ». Le metteur en scène devient le « seul et dictatorial ‟créateur” aux dépens de celui qu’il
15 pens de celui qu’il prétend servir… Le metteur en scène est roi ». Il faut attendre les derniers alinéas de ce long article p
16 d Dort : Demain, aujourd’hui même, le metteur en scène Meyerhold (1874-1942), par exemple, nous est bien aussi présent que s
17 rriront, peut-être, l’imagination des metteurs en scène ou des comédiens, voire des auteurs…57 Et voici, ce qu’écrit un cri
18 el (1890), texte sublime repris par le metteur en scène Daniel Mesguich dans un théâtre de la banlieue parisienne : Daniel M
19 isienne : Daniel Mesguich est le seul metteur en scène qui, d’une œuvre à l’autre, ne change pas du tout son fusil d’épaule.
20 es fantasmes plus ou moins œdipiens du metteur en scène  ; la quasi-absence d’œuvres nouvelles qui aient fait du bruit, mais l
21 nd bruit fait autour de la manière de « mettre en scène  » des œuvres anciennes, ou de « mettre en pièces » (dans les deux sen
6 1981, Articles divers (1978-1981). Guy de Pourtalès l’Européen [préface] (1981)
22 eare jouées par les Pitoëff, avec des musiques de scène d’Honegger, et nous aurons reconstitué à la fois l’histoire de l’œuvr