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mal conscient. Ce chemin commence à mes pas et ce
sentier
n’existe, en fait, que pour autant que j’ai le courage d’y marcher :
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le est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon
sentier
. » (Ps. CXIX, 105). Troisième vertu : l’amour de la complexité
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réglée, tandis que le « choix personnel » est un
sentier
imprévisible ; et ce n’est pas aux Ponts et Chaussées ni à la police
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le est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon
sentier
», dit le psalmiste. La lampe n’éclaire que le terrain où je m’avance
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mme de la foi ne suit sa voie qu’en la frayant, «
sentier
étroit », dit le Bouddha, et l’Évangile parle d’une « porte étroite »
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. L’un parfois aidant l’autre sans doute. Car les
sentiers
convergent, si chacun est unique. Mais l’image du sentier qui se cré
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onvergent, si chacun est unique. Mais l’image du
sentier
qui se crée sous mes pas vers un but invisible à l’œil nu peut nous t