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ent encore que des faubourgs ouvriers, et que les
sols
n’avaient pas encore subi l’agression massive du béton, des pesticide
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vailleur, mais encore dans l’art de dépouiller le
sol
; chaque progrès dans l’art d’accroître sa fertilité temporaire, un p
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bées investissent la mer, l’eau douce, l’air, les
sols
. Les déchets radioactifs que nous sommes obligés de stocker (mais où
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l’oxygène que nous respirons ; la destruction des
sols
par la progression du béton et la culture mécanisée ; la pénurie d’ea
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l’oxygène que nous respirons ; la destruction des
sols
par la progression du béton et de la culture mécanisée ; la pénurie d
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s, fleuves), des forêts (détruites à 40 %) et des
sols
(humus). Tout cela, par l’exploitation anarchique, « sauvage » d’inno
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Centrafrique détient beaucoup d’uranium dans son
sol
. (D’où la chute de l’empereur, sitôt qu’il a traité avec le « fou d’A
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ible d’expérimenter toutes. »61 2. La perte des
sols
. La surface de terrain cultivée par habitant de notre globe aura dimi
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ultivable auront été détériorés par l’érosion des
sols
, la salinisation, la progression urbaine, tandis que la population mo
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. 8. L’arrêt du bétonnage des campagnes : 18 % du
sol
des Pays-Bas est déjà bétonné, et ce sera 25 % avant la fin du siècle
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éothermique ou biologique, pour la protection des
sols
et des forêts, la défense des paysages et des monuments, etc. b) La f
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raiter, par exemple, de problèmes d’urbanisme, de
sols
, de mers, ou de sauvetage des espèces. Ces conditions de réalisation