1
ive » ; la dernière phrase semble avoir également
souffert
d’une erreur de transcription, ce que Rougemont signale en entourant
2
st peut-être leur chance ! Mais si ces deux tiers
souffrent
de famine, c’est précisément à cause du type de croissance que les pa
3
vie d’une communauté de type européen, celles qui
souffrent
le plus du fait de la frontière, ou, à plus proprement parler, du fai
4
iberté dans la sexualité, nous en jouissons et en
souffrons
plus que toute autre civilisation connue. Les tabous inviolables ont
5
yen d’être en paix avec ma conscience et c’est de
souffrir
le plus possible. De rechercher le plus de souffrance possible. Ça me
6
era généreusement accordé à moi qui ne peux, sans
souffrir
physiquement, tel que je suis, porter un paquet de deux kilos, me rel
7
rre. (…) Je ne pars pas pour mourir. Je pars pour
souffrir
et ainsi communier avec les miens (…) Je ne désire pas me faire tuer,
8
e l’Europe a créés et dont elle fut la première à
souffrir
, j’en nommerai six seulement — il y en a des centaines. 1. Le cancer
9
à venir. Que Neuchâtel soit le centre du monde ne
souffre
pas le moindre doute à mes yeux. L’Europe est en effet le continent q
10
lors il y a scandale, et c’est alors que le corps
souffre
dans son chef et dans ses membres. La vie normale du corps dépend de