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n’ont jamais été nationales ; elles naquirent au
sud
, se transplantèrent dans les Flandres et la Bourgogne, redescendirent
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par le bassin du Léman — le lac, ses affluents au
sud
, et les villes polluantes au nord — et se prolonge vers le Valais d’u
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losophie. Elles vont traverser toute l’Europe, du
sud
au nord par l’axe rhénan, du Centre à l’Est, et à l’Ouest ibérique, c
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indépendance islamique recouvrée menacera tout le
sud
de l’URSS… Ce que nous savons, et qui ne sera plus changé par rien, c
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lence entre classes, entre nations, entre Nord et
Sud
. Tous croient encore que le bonheur des hommes dépend de la « santé d
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lence entre classes, entre nations, entre Nord et
Sud
. Tous croient encore que le bonheur des hommes dépend de la « santé d
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allois, aux Bretons, aux Corses, aux Tyroliens du
Sud
, aux Catalans naguère, à cent autres régions en Europe, dont la plupa
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s culturels contradictoires, venus de l’est et du
sud
, puis du nord. Il n’est pas né de l’Empire romain mais plutôt de la n
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la civilisation gréco-latine, c’est-à-dire de ce
Sud
européen qui, aujourd’hui, entre en conflit ouvert avec le Nord dont
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illiers de kilomètres de frontières à l’est et au
sud
qu’elle devrait garder. Elle ne disposerait donc pas de la totalité d