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e pendant des siècles, n’est pas le produit d’une
terre
assez ingrate, encore couverte de forêts quand l’Égypte et Sumer illu
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de l’esprit à partir d’un cap de l’Asie (4 % des
terres
émergées de la planète) et de sept ou huit traditions à tant d’égards
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Parce que l’événement de la venue de Dieu sur la
Terre
, en forme d’homme, qui marque le début de notre manière de compter le
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vait jamais existé, comme si les ressources de la
terre
étaient illimitées, comme s’il y avait de l’aluminium, du pétrole, de
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esse d’avertir des dangers qui nous menacent : la
terre
est pillée, le pétrole, les minerais, l’eau s’épuisent, le nucléaire
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e aucune « fatalité ». Hormis les tremblements de
terre
— et il n’est pas improbable que nous parvenions aussi à les contrôle
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eu de la richesse, de la richesse enfouie sous la
terre
, cachée et honteuse, était en même temps le dieu aveugle, aveugle com
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on ». Je ne veux pas préjuger de la chose. Sur la
terre
, nous ne sommes pas des spectateurs, nous sommes des acteurs. J’ai un
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cène, et ferait de l’Europe, en peu d’années, une
terre
aussi libre et heureuse que celle de la Suisse d’aujourd’hui. Quel es
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gradation urbaine de l’homme et dégradation de la
terre
par la pollution et par l’épuisement des ressources non renouvelables
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ble la circulation matérielle entre l’homme et la
terre
, en rendant de plus en plus difficile la restitution de ses éléments
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les deux sources d’où jaillit toute richesse : la
terre
et le travailleur.10 Une fois de plus, le prophète n’a pas été suiv
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fait aussi nécessairement à l’agriculteur et à sa
terre
, par une seule et même procédure d’exploitation, ruinant les rapports
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i « la circulation matérielle entre l’homme et la
terre
» dans les campagnes. ⁂ L’arme de la critique ne saurait évidemment
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e du Jura est le début d’un long plissement de la
terre
qui va jusqu’au Tibet, oui, oui ! ce sont les mêmes hauts plateaux av
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rd Vaudois, et disons plus : il est d’abord de la
terre
et de la race, du peuple de la terre vaudoise. À l’inverse d’un Alexa
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’abord de la terre et de la race, du peuple de la
terre
vaudoise. À l’inverse d’un Alexandre Vinet, d’un Benjamin Constant, n
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u des échanges de formules. C’est le niveau de la
terre
, du contact avec la nature, le niveau des croyances instinctives et d
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e par sa beauté tout un village (La Beauté sur la
terre
), ou bien c’est l’ouverture d’un cinéma qui bouleverse les imaginatio
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mour aux choses, aux paysages, aux coutumes de la
terre
, à l’instant qu’elles vont s’abîmer dans l’amen de l’éternité. « Salu
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que le vent se lève, il n’y en avait plus sur la
terre
, c’est le souffle d’une autre vie. Et voici que la cloche a sonné, ce
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vie. Et voici que la cloche a sonné, celles de la
terre
s’étaient tues. « Il leur a été dit : vous venez ? » Ils sont allés c
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pas trompés : le ciel qui s’ouvre est fidèle à la
terre
. 13. De leur collaboration naquit L’Histoire du soldat (parlée, jou
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poussières radioactives contamineraient toute la
terre
… Oh ! nul ne souhaite la fin prématurée de l’espèce. Nous avons cepen
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chain de notre espèce et de la vie sur la planète
Terre
. J’exprimais l’an dernier dans l’organe des Nations unies, Forum de
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le elle a convaincu tous les autres peuples de la
terre
qu’ils devaient l’imiter. À tort… Car, ce modèle de civilisation euro
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eux font quatre. Nous nous sommes imaginés que la
terre
, loin d’être une sphère finie et que rien au monde ne pourra rendre p
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ssance industrielle sans limites, alors que notre
terre
et ses ressources sont limitées, et ils obtiennent en fait l’inflatio
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ssance industrielle sans limites, alors que notre
terre
et ses ressources sont limitées, et ils obtiennent en fait l’inflatio
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et fassent, par une réaction en chaîne, sauter la
Terre
. Durant son séjour aux USA, il a rencontré à plusieurs reprises un gé
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, me relever d’un lit ou ramasser un mouchoir par
terre
. (…) Je ne pars pas pour mourir. Je pars pour souffrir et ainsi commu
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’humanité de l’ère qui vient et d’abord pour la «
Terre
des hommes ». Le vrai métier de sa vie, disait-il quelquefois, eût ét
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etite maison en soi, posée sur la terrasse. 30.
Terre
des hommes, p. 64. 31. Ibid., p. 190-191. bd. Rougemont Denis de,
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ès notre Antiquité gréco-romaine, « cultiver » la
terre
ou l’esprit signifie : en tirer davantage que la Nature seule n’eût p
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t qu’une péninsule de l’Asie. Si ce petit coin de
terre
n’en est pas moins, depuis plus de deux-mille ans, le foyer d’une pui
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ement, autre chose qu’un cap de l’Asie37 (4 % des
terres
émergées de la planète) : le cœur et le cerveau du monde moderne. C’e
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ique née de l’Europe est en train de coloniser la
terre
entière, après avoir colonisé nos propres pays. Elle a produit d’autr
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stance, où la volonté de défendre ses proches, sa
terre
, ses biens, son paysage a le maximum de chances de l’emporter sur des
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le dit très bien un petit ouvrage des Amis de la
Terre
: Tant que les gouvernements n’auront pas trouvé le moyen d’interpos
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chain de notre espèce et de la vie sur la planète
Terre
. J’exprimais l’an dernier dans l’organe des Nations unies cette même
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yaume, … ne reconnaissant aucun supérieur sur ses
terres
», c’est-à-dire récusant toute allégeance envers l’Empire comme enver
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qui s’étendrait à la fin à tous les peuples de la
terre
». Pour Hegel, une génération plus tard, l’Europe est vraiment « la f
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nce du fait fondamental que « nous n’avons qu’une
Terre
». Et que le seul problème sérieux du siècle est celui de son aménage
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ue étrangère, 1948. 41. Préface aux Damnés de la
Terre
de Frantz Fanon. bh. Rougemont Denis de, « L’Europe, invention cult
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Seigneur Jésus est le Dieu sans puissance sur la
terre
, le Dieu qui a subi la puissance de l’État (l’Empire romain) jusqu’à
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te donnerai puissance sur tous les royaumes de la
terre
. Ou encore : jette-toi dans le vide du haut du temple et les anges te
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, empereurs ou présidents de la République sur la
terre
: aucun rapport. La puissance de Dieu, évidemment totale, agit dans l
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de de l’Esprit, dans la transcendance, non sur la
terre
en négation de la liberté donnée à l’homme par Celui qui l’a fait. Co
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c. Cette civilisation s’est répandue sur toute la
Terre
, sous le nom général de Progrès, — et ce Progrès, sans discussion pos
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a fin du siècle. Six cents millions d’hectares de
terre
cultivable auront été détériorés par l’érosion des sols, la salinisat
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oublé. La révélation de cette stérilisation de la
terre
, qui constitue peut-être la nouvelle la plus sensationnelle du siècle
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pour cause de fidélité à une foi et non pas à une
terre
, à un milieu natal, à une nation. Vers 1715, un adolescent cévenol qu
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st au ciel à la droite de Dieu, et non pas sur la
terre
, dans telle ville, ou dans tels écrits, ou dans tel prophète local. C
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l, mais plusieurs ont agi comme s’il était sur la
terre
, c’est-à-dire à leur disposition. Plusieurs ont identifié l’Una Sanct
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ue nous avons vu les Églises nées des missions en
terre
païenne se placer à l’avant-garde du mouvement vers l’union, nous ne
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ions sans précédent des moyens d’en finir avec la
Terre
et nous, d’un seul et même coup. L’avenir n’est plus ce qu’il était.
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e fût ni de classe, ni de race, ni de sang, ni de
terre
natale (la « terre et les morts » de Barrès, le Blut und Boden des na
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ni de race, ni de sang, ni de terre natale (la «
terre
et les morts » de Barrès, le Blut und Boden des nazis), d’une communa
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faire disparaître l’humanité de la surface de la
Terre
. Des groupes dont je fais partie ont publié des manifestes, ont essay
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a été prise d’un réflexe panique de rentrer sous
terre
. On imaginait des puits gigantesques où les gratte-ciel s’engloutirai
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é spirituelle, il réalise ce qu’il doit faire sur
terre
. Mais on ne peut pas séparer le travail que l’on fait sur soi-même du
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re. Je suis optimiste comme tout croyant. Mais la
terre
finira, comme les autres planètes, selon la loi de dégradation du cos
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: c’est la théorie de Copernic démontrant que la
Terre
tourne autour du Soleil. Tout le reste est littérature. Toutes les au
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J’ai toujours pensé que nous ne sommes pas sur la
Terre
pour essayer de deviner l’avenir, mais pour le faire. Voici le moment
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terme, c’est la démonstration par Copernic que la
Terre
tourne autour du Soleil. Toutes les autres découvertes de la science
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n. J’ai toujours pensé que nous ne sommes pas sur
Terre
pour essayer de deviner l’avenir, mais pour le faire. Voici le moment