1 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
1 de la solidarité civique, de la mesure, et de la tolérance socratique. Mais elle nous montre aussi, dans la Rome impériale la na
2 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
2 uellement viable désormais. Première vertu : la tolérance Érasme le premier en fit l’éloge, et il est ainsi devenu le vrai p
3 enu le vrai père d’une éthique du fédéralisme. Sa tolérance n’est pas ce que l’on croit d’ordinaire, n’est pas manque de rigueur,
4 as acceptation bonhomme ou lasse d’une erreur. La tolérance est au contraire affirmation du bon droit absolu de la différence ; d
5 e sens de l’humour est une forme de cet esprit de tolérance qui est la première vertu fédéraliste, en ceci qu’il tend à désarmer
6 ne puis guère imaginer plus belle déclaration de tolérance que cette pensée du moraliste neuchâtelois Félix Bovet, publiée au dé
3 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
7 tons qu’il n’entraîne aucunement un éloge de la «  tolérance  » libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membr
8 matique. Car l’harmonie des membres n’est pas une tolérance , mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur !
4 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
9 fédéralisme et de sa vertu la plus profonde : la tolérance rigoureuse, — celle qui n’est pas facilitée, ni mollesse du jugement,