1
est placé sous l’invocation de Dieu en tant que «
Tout-Puissant
». On a dit, et c’est l’un des principaux arguments en faveur de l’in
2
fie reconnaître du même coup que l’État n’est pas
tout-puissant
. L’invocation aurait donc pour effet de relativiser le pouvoir étatiq
3
leur cause. S’ils se mettent à invoquer le Dieu «
tout-puissant
», ce n’est pas du tout, dans leur esprit, que cela pose une limite à
4
et confirme à mes yeux que l’invocation au « Dieu
tout-puissant
» n’est qu’une manière de garantir, voire d’absolutiser leur pouvoir.
5
soluble. On a dit enfin, de l’invocation « à Dieu
tout-puissant
», qu’elle s’inscrivait dans la continuité des pactes qui ont servi d
6
le Prince. ⁂ D’où vient alors l’appellation de «
tout-puissant
» qui revient de plus en plus forte, voire envahissante, dans l’époqu
7
ns l’Ancien Testament, et qui n’est pas « le Dieu
tout-puissant
», mais « le Dieu très-puissant » c’est-à-dire « le plus puissant des
8
isent en tête d’une constitution « Au nom de Dieu
tout-puissant
» connaissent tout cela, en aient pris conscience et ne commettent do
9
s gorges chaudes en disant : « Que fait-il, votre
Tout-Puissant
? Il n’a visiblement pas la puissance de donner la victoire à chacune
10
n améliorer l’invocation en remplaçant l’épithète
Tout-puissant
par une définition évangélique de Dieu ? Que se passerait-il si l’on