1
j’en passe… On est un peu écrasé par la somme de
travail
qu’il représente. Comment peut s’écrire un tel livre ? Il s’est écrit
2
commun la protection du lac Léman). C’est du bon
travail
régional. Une dernière question : gardez-vous votre foi dans la const
3
ans l’ancienne écurie devenue un vaste cabinet de
travail
et où quelques milliers de livres cachent les parois. C’est à cause d
4
. Il vous conduit à grands pas dans sa chambre de
travail
, dont les fenêtres à barreaux de fer donnent sur les vignobles en ter
5
vise un petit nid d’oiseau sur sa grande table de
travail
(en sapin blanc, sans peinture ni vernis). « Voyez-vous, rien ne se p
6
ngrès dans le monde entier, ou résultent de leurs
travaux
. Tout cela ne serait encore que littérature si l’on ne voyait émerger
7
à la Commission franco-suisse et à ses comités de
travail
. Dans le même temps, la Conférence des pouvoirs locaux et régionaux,
8
s vers l’Europe des régions. J’ose croire que les
travaux
menés à Genève sous la conduite quotidienne de Charles Ricq, avec la
9
vocabulaire de l’exercice. Posons au seuil de ce
travail
une précision indispensable : région transfrontalière peut signifier
10
était implicitement prévue par nos hypothèses de
travail
. Si l’on refuse la pseudo-solution unitaire, stato-nationale du lit d
11
contiguës. Telle est notre actuelle hypothèse de
travail
. Elle nous amènera vite à la question cruciale de la politique région
12
un peu folles, sociétés de pensée, communautés de
travail
, etc. Des noms ? Padoue, Mantoue, Sienne et Venise, Naples et Milan,
13
éen de la culture, à Genève, a formé un groupe de
travail
où sociologues, éducateurs, économistes, politologues, écologistes et
14
éen de la culture, à Genève, a formé un groupe de
travail
où sociologues, éducateurs, économistes, politologues, écologistes et
15
iels immenses. Des nuits blanches usées contre un
travail
que les angoisses non épargnées rendent plus difficile à réussir que
16
R. (celui-là est un brave type), la fidélité, le
travail
tendre, non le jeu de la vérité où l’on ment en exil loin de toutes c
17
« Elle est ce qui donne un sens à l’existence, au
travail
comme aux loisirs, et aux relations entre les hommes. Elle n’est pas
18
des personnes, des œuvres, et des instruments de
travail
dans toute l’étendue de l’Europe. III. Chacun de nos États garantira
19
jeunesse. Il y aurait lieu de s’inspirer ici des
travaux
de l’Institut de Braunschweig, et de plusieurs commissions d’historie
20
de la charte. Ce qui sera, vraisemblablement, le
travail
d’une Commission de rédaction, celle-ci n’étant que de première appro
21
es centrales permettront de réduire les postes de
travail
, qu’on a tant de mal à pourvoir à ce moment-là. Voter pour les centra
22
duire l’emploi, voir Leontieff, Amory Lovins, les
travaux
de Hambourg… Beaucoup en sont restés à ce stade archaïque de l’innoce
23
tous comptes faits, compté le nombre d’heures de
travail
qu’un ouvrier américain consacre à gagner de quoi se payer sa voiture
24
tion, des modifications profondes de l’éthique du
travail
. Au lieu de notre condition présente qui est de travailler de plus en
25
es, le jeu, la politique, et par-dessus tout « le
travail
», entendons la préparation et l’écriture de ses ouvrages de philosop
26
sienne — en vain d’ailleurs. En fin de compte, le
travail
prime. Note de 1805, sans date : « Je travaille peu depuis deux ans.
27
ique, elle revient en force, solidement alliée au
travail
, dès la fin de 1813, avec l’idée d’écrire L’Esprit de conquête. 1814.
28
is en Belgique, jusqu’au retour à Paris en avril.
Travail
intermittent sur des écrits politiques. Mais, à partir de l’été, les
29
öttingen, Hanovre et le château du Hardenberg. Le
travail
(« De la Religion ») domine difficilement l’ennui de cet exil. En oct
30
gestation de L’Esprit de conquête, le progrès du
travail
— plan, doutes et rédaction, ajouts, retouches et impression — sont n
31
u’a vus ce siècle ont tendu vers ce but unique le
travail
secret de leur âme… Ils ont en commun les mêmes aspirations les plus
32
scientifique (1980)bg On vient de rappeler ses
travaux
, ses recherches, et ce qu’il a trouvé, et ce qui en est sorti. Tout c
33
re le printemps de 1916 et l’automne de 1917, des
travaux
silencieux et solitaires de Lénine à la Bibliothèque centrale de la v
34
e discours (justement) à l’acte, à l’action et au
travail
. Nous venons de caractériser l’état du théâtre en France, de 1968 à 1
35
rents dont chacun aurait pu être à l’origine d’un
travail
de trois-cents pages. J’ai écrit cet ouvrage très rapidement, si rapi
36
ense nationale » à la paix, l’énergie aux buts du
travail
qu’elle est censée servir ; et les mythes nationalistes aux réalités
37
auté religieuse. » Je prends cette phrase dans un
travail
intitulé (ce qui dit tout) : « L’Attestation de l’Unique 69 » — l’un
38
les à celles du service militaire « l’ensemble du
travail
automatique et inhumain que la rationalisation bourgeoise imposait au
39
dissidence à Alger en 1943. Il y participera aux
travaux
du gouvernement provisoire, jusqu’à la Libération. C’est sous le sign
40
premier plan. Thème du chômage, de la nature du
travail
et du temps libre, problème que La Révolution nécessaire posait dès 1
41
ngrès dans le monde entier, ou résultent de leurs
travaux
. Tout cela ne serait encore que littérature si l’on ne voyait émerger
42
odèle neuf de développement. J’ose croire que les
travaux
menés à Genève par Charles Ricq, avec la rigueur, la patience et le r
43
certain nombre de gens, ni même que de donner du
travail
à un certain nombre d’ouvriers. Il faut rejeter ce chantage à l’emplo
44
t faire sur terre. Mais on ne peut pas séparer le
travail
que l’on fait sur soi-même du travail que l’on fait pour les autres.
45
séparer le travail que l’on fait sur soi-même du
travail
que l’on fait pour les autres. Sous l’angle spirituel, il n’y a prati
46
e le montrent ses écrits, ses conférences, et les
travaux
qu’il conduit au Centre européen de la culture qu’il préside, ou à l’
47
ctés dans tout l’Occident eût induit à rejeter le
travail
à la chaîne, qui réduit la personne à l’état d’instrument, contrairem
48
i justifie la phrase de Marx sur l’ouvrier que le
travail
industriel réduit à n’être plus que « le complément vivant d’un mécan
49
un facteur destructif de tout ce qui requiert un
travail
d’assimilation, de digestion, d’intégration ou d’appropriation. Il se
50
ctés dans tout l’Occident eût induit à rejeter le
travail
à la chaîne, qui réduit la personne à l’état d’instrument, contrairem
51
i justifie la phrase de Marx sur l’ouvrier que le
travail
industriel réduit à n’être plus que « le complément vivant d’un mécan
52
un facteur destructif de tout ce qui requiert un
travail
d’assimilation, de digestion, d’intégration ou d’appropriation. Il se
53
riers. Mais que faire de milliers d’ouvriers sans
travail
? Plus la technique avance, plus il y a de chômage. De nombreux dan