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ne vocation unique et qui prend conscience de son
unicité
. J’ai contribué en 1932, dans la revue Esprit , avec Emmanuel Mounie
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le. Cette solidarité fondée dans l’admission de l’
unicité
de chacun, cette solidarité des solitaires, c’est celle des hommes li
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ous et en tous, et non pas de ce qui révélerait l’
unicité
d’une personne, de ce qui serait donc le plus intéressant à connaître
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s et pour tout. Et non pas de ce qui révélerait l’
unicité
d’une personne, de ce qui serait donc le plus intéressant à connaître