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lée européenne, où soient représentées les forces
vives
de toutes nos nations. 5) Et nous prenons de bonne foi l’engagement d
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u’à Paris, Napoléon a été accueilli aux cris de «
Vive
l’empereur ! » mais aussi de « Vive la liberté ! ». Il sait qu’il doi
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aux cris de « Vive l’empereur ! » mais aussi de «
Vive
la liberté ! ». Il sait qu’il doit compter avec les libéraux. Lorsqu’
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’actualité de L’Esprit de conquête me paraît plus
vive
aujourd’hui qu’elle ne put l’être en 1814. C’est bel et bien la théor
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ait tout New York sous abris. Et on me faisait de
vifs
reproches : « À quoi pensez-vous en Europe, vous ne faites rien pour