1 ements, continuent à fabriquer de plus en plus de voitures et de plus en plus d’autoroutes… Nous frisons la démence à force d’in

2 le nier. Or, je ne vois pas qu’on construise une voiture de moins ou qu’on ralentisse la construction des autoroutes. Personne

3 le creux de l’oreille : « Ne vous affolez pas, la voiture électrique est presque au point ! » Je réponds : « Si c’est vrai — ce

4 us que des gens très riches à pouvoir circuler en voiture . Mais ces gens-là se feront lyncher ! Là, la lutte des classes va dev

5 En nous déplaçant moins, en ne prenant pas notre voiture chaque fois que nous pouvons prendre le train, etc. Mais évidemment i

6 la majorité des gens soient plus attachés à leur voiture que séduits par vos thèses… Ils ne s’opposeront donc pas aux construc

7 ut-il aussi remettre en question la production de voitures  ? J’imagine fort bien qu’on fabrique deux ou trois types seulement de

8 n qu’on fabrique deux ou trois types seulement de voitures dans le monde, et non pas des centaines de modèles, qui ne sont que l

9 que l’expression d’un statut social. Pourquoi la voiture servirait-elle d’autres fins que celle du déplacement ? Et puis, enco

10 r américain consacre à gagner de quoi se payer sa voiture et l’entretenir, il fait du 5 km à l’heure, qui est la vitesse d’un p

11 ier venu dans l’histoire. En 1909, il vend 18 000 voitures , en 1919, un million. Aujourd’hui les USA en produisent 12 millions p

12 et je leur ai demandé ce qu’ils feraient de leurs voitures et de leurs autoroutes quand l’essence sera à 15 francs le litre. On

13 Nous sommes tellement habitués à nous déplacer en voiture qu’une telle situation créerait des troubles sociaux terribles. Est-c

14 e font plus 500 mètres à pied, mais prennent leur voiture ou leur moto. Les élèves des ordinateurs seront devant l’appareil en

15 plus cinq-cents mètres à pied, mais prennent leur voiture ou leur moto. Les élèves des ordinateurs seront devant l’appareil en