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s du peuple hongrois, qui est venu comme un corps
étranger
dans l’Europe. Donc, pour lui, sa culture était sa raison d’être. Mai
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rteresse, au secret, pour « insulte à chef d’État
étranger
mettant ainsi en danger la sécurité de la Suisse ». Cet article faisa
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coller chaque jour les articles parus sur lui à l’
étranger
. Il désigne une coupure du Courrier de Saint-Étienne intitulée : « Le
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bien des familles de ce pays, on trouve autant d’
étrangers
que de Neuchâtelois et de Suisses additionnés. Prenons l’exemple de l
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ompose de 14 Neuchâtelois, de 2 Genevois et de 16
étrangers
. Or, ces étrangers ne sauraient être classés par nations — ce serait,
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telois, de 2 Genevois et de 16 étrangers. Or, ces
étrangers
ne sauraient être classés par nations — ce serait, ici, anachronique
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es proportions de Neuchâtelois, de Suisses et d’«
étrangers
» se retrouvent dans les générations antérieures, encore que le nombr
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parent d’eux au point de me les rendre absolument
étrangers
. Les ancêtres qui comptent, pour moi, sont ceux-là seuls dont mes par
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voir vivre dans un milieu, pour eux foncièrement
étranger
à tant d’égards, me donnait comme une sensation de la différence, de
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leur nom dans le monde ; c’est au contraire de l’
étranger
, des grands pays voisins ou de l’Amérique, que leur réputation nous e
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la sécurité du pays pour « insulte à chef d’État
étranger
», fut condamné à 15 jours de forteresse. La peine lui fut épargnée,
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ites ni courrier », pour « insultes à chef d’État
étranger
risquant de mettre en danger la sécurité de la Suisse », comme on me