1 1983, Articles divers (1982-1985). La Suisse et quelle Europe ? (1983)
1 les débuts du xiiie siècle, à contre-courant des évolutions d’ensemble en Europe. On l’a écrit (notamment l’historien E. Gagliard
2 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
2 s qui viennent. Je pense qu’ensuite il y aura une évolution , tant du côté européen que du côté russe, qui fera que le danger s’él
3 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
3 s culturelles fondamentales de notre temps. Cette évolution de l’intelligentsia européenne se résume d’une manière exemplaire dan
4 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
4 tir les forces clandestines qui vont déterminer l’ évolution de nos sociétés occidentales, dans la mesure précise où elles tentent
5 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
5 dire le moins) de toute étude contemporaine sur l’ évolution des civilisations, venons-en à notre objet spécifique. Le patrimoine
6 naires », l’esprit animateur des origines et de l’ évolution de ce patrimoine. Je pense que nous serons tous d’accord pour constat
6 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage I] (1985)
7 étions d’à peu près cinquante ans en avance sur l’ évolution de notre siècle et les vrais contemporains de ce que ce siècle découv
7 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
8 ontinentale, la Suisse l’est aussi des formules d’ évolution de la création culturelle de l’Europe : du Moyen Âge à nos jours, ell
9 ions sur l’histoire du monde une vue géniale de l’ évolution prochaine, inéluctable selon lui, de l’Europe des États-nations : il
8 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
10 ma génération eut à faire face, et d’autre part l’ évolution intérieure qui fut la mienne dans le même temps, je veux dire dans le
11 parallèle entre l’histoire vécue de l’Europe et l’ évolution de mes idées, je ne suis en droit de les déduire qu’après coup, d’une