1
ur pied un certain nombre d’institutions, dont le
Centre européen de la culture
. J’ai été son directeur-fondateur à partir de 1949. Tout a dû être cr
2
a néglige, c’est le budget qui dit la vérité ! Le
Centre européen de la culture
a donné naissance au Centre européen de recherches nucléaires, qui s’
3
qui me concerne, a été la décision de créer un «
Centre européen de la culture
», chargé d’initier, d’animer et de réaliser des entreprises culturel
4
j’ai ouvert à Genève un « Bureau d’études pour un
Centre européen de la culture
», en collaboration avec Raymond Silva, l’un des fondateurs de l’Unio
5
ent de Unilever. Mais nous avons créé et gardé au
CEC
— présidence, secrétariat, lieu de rencontre — nombre d’associations
6
t rassemblé à la Villa Moynier, siège genevois du
CEC
, des centaines d’intellectuels venus de toutes les parties du monde,
7
n, dès cette année 1984, non seulement dans notre
Centre européen de la culture
à Genève, mais en coopération étroite avec plusieurs fondations suiss
8
evue du personnalisme Esprit , puis fondateur du
Centre européen de la culture
, à Genève. Essayiste célèbre de L’Amour et l’Occident (1939), préco
9
tion et direction effective pendant trente ans du
Centre européen de la culture
à Genève ; présidence pendant seize ans du Congrès pour la liberté de
10
re professionnelle et notamment de l’existence du
Centre européen de la culture
. Or il se trouve que ces deux petits écrits sont ceux dont, en les re