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ut lire dans La Part du diable , que je publiai à
New York
en 1942, trois ans avant la mort du Führer : Hitler s’est tu. L’aven
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jet d’exécution de l’oratorio Nicolas de Flue à
New York
. J’ai publié là-bas un petit livre sur la Suisse, The Heart of Europ
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es autres, de sauter du 50e étage d’un building à
New York
, en disant : « Après tout, vivre, c’est-prendre-des-risques ! » Certa
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? De deux manières. D’une part, j’ai retrouvé à
New York
beaucoup d’écrivains, d’intellectuels et d’artistes, que je fréquenta
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Lettres sur la bombe atomique , publié d’abord à
New York
, j’avais écrit le Post-scriptum que voici : Un dernier mot, et dir
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nnées dans un très long article de Business Week (
New York
) paru en 1981 et traduit la même année par la Documentation française
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e veux pas… Je souffre trop ! » André Breton à
New York
Notre première rencontre se produisit à New York, en 1941, et pour
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w York Notre première rencontre se produisit à
New York
, en 1941, et pour ajouter à l’incongruité de l’occasion, elle eut lie
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r ses jeunes amis du groupe surréaliste reformé à
New York
. Cela lui pose un problème très sérieux. Nous en parlons, difficileme
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p. 302. Traduction anglaise : The Idea of Europe (
New York
: Macmillan, 1966, Meridian Books, 1968). 22. Voir par exemple « Le
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es hautes études (New School for Social Research,
New York
), et publia 4 volumes en français (tous traduits) et deux en anglais.
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de quoi, je me vis gentiment poussé à partir pour
New York
, chargé d’une mission de conférences sur la Suisse. Je serais moins g