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épasser le tabou des États-nations à souveraineté
absolue
, elle reste incapable, par définition, de s’unir : on ne base pas une
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ation intégralement centralisé et de souveraineté
absolue
pose aujourd’hui l’obstacle majeur à toute espèce d’union de l’Europe
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e dogme de la sacro-sainte souveraineté nationale
absolue
et indivisible. C’est en son nom que, ces jours-ci, deux grands États
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r le dogme meurtrier de la souveraineté nationale
absolue
et indivisible, est le premier devoir de tous les citoyens qui se veu
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. Le but est très loin en avant, dans l’infini, l’
Absolu
, Dieu, comme on veut l’appeler. Chaque homme doit inventer son chemin
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la divinisation de l’État avec sa « souveraineté
absolue
» et c’est ainsi que l’on voit une guerre imbécile comme celle des Ma
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science (« Présenter l’autre joue », non-violence
absolue
). La plus noble conquête de l’homme ? Sa liberté, c’est-à-dire le pou
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peuples européens étant la souveraineté nationale
absolue
d’une part, la division de l’Europe par le rideau de fer d’autre part
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itoyens ? » Non ! Elle correspond à une nécessité
absolue
, sans laquelle il n’y a aucune société possible. On ne va pas demande
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r dans le langage pieux et il parlait plutôt de l’
Absolu
, ce qui l’avait rendu très populaire. L’Absolu, tout le monde peut l’
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l’Absolu, ce qui l’avait rendu très populaire. L’
Absolu
, tout le monde peut l’accepter, car tout le monde sent qu’il y a un b
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accepter, car tout le monde sent qu’il y a un but
absolu
(même si l’on ne sait pas exactement le définir), et ce doit être le
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la personne. Alors je dis qu’il faut aller vers l’
Absolu
, répondre à son appel, aller vers la fin qui seule va dicter les moye
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ême chemin pour aller vers le même but, qui est l’
Absolu
, puisque chacun part d’un endroit qui est sans précédent, pour deveni
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rie Benoist (Paris : Gallimard, 1970) — Dieu et l’
Absolu
sont revenus en force avec Maurice Clavel, par exemple, ou même Guy L
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cette union s’oppose le dogme de la souveraineté
absolue
des États-nations. Il est devenu parfaitement clair qu’on ne peut pas
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fédéraliste en apparence, culmine dans un pouvoir
absolu
et centralisé, résidant à Moscou. La Constitution de 1924 Elle