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sauver les océans, par exemple, cela suppose une
agence
mondiale. Vous dites, dans votre livre L’Avenir est notre affaire ,
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cuter ensemble et choisir ensemble telle ou telle
agence
spécialisée. Rien n’empêchera ces associations de prendre très au sér
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e), pourquoi ne pas envisager la multiplication d’
agences
fédérales spécialisées pour l’énergie, les transports, l’environnemen
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, la défense ? Tandis que Bruxelles deviendrait l’
agence
économique (conforme à sa vocation première) et le Conseil de l’Europ
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sa vocation première) et le Conseil de l’Europe l’
agence
culturelle. On pourrait aboutir de la sorte à un exécutif européen do
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ration européenne, et pour celles-là, il faut des
agences
mondiales. Je rappellerai notamment le problème de la déforestation d
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es eaux douces. Il faut donc un certain minimum d’
agences
fédérales mondiales, qui ne feront que cela, mais qui le feront bien,
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lichés, tous suggérés par les médias, TV, radios,
agences
de presse, discours de chefs d’État ou de syndicats, de ministres ou
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’aux États-Unis, pas plus les économistes que les
agences
fédérales, le patronat ni même la plupart des syndicats, n’ont prêté
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spirons, est un problème mondial, qui appelle une
agence
mondiale. Les enfants comprennent très bien cela et savent que les do