1 sans doute le pays le mieux placé pour éviter une attaque nucléaire, puisque nous ne possédons pas d’armes atomiques. C’est aus

2 cidents et malentendus, violations d’engagements, attaques surprises, coups de folie ou actes terroristes individuels ou collect

3 re l’URSS de régler ses débats intérieurs par une attaque massive au-dehors. Au nom du vieux principe que Hegel avait déduit de

4 is par la nécessité de s’unir pour résister à une attaque venue de l’extérieur, le temps de la repousser, sans pour autant deve

5 cas de besoin. Mais la meilleure défense étant l’ attaque , dit-on, j’oserai donc avancer que je fonde quelque espoir dans l’ext

6 urope donc publie un article de Paul Nizan, qui m’ attaque avec une extrême violence : je l’avais trompé, affirme-t-il, en lui c

7 itarisme. Ces idées lui valurent, à l’époque, des attaques de gauche et de droite, ce qui ne saurait surprendre : tel est le sor

8 iciens. 20. Il convient pourtant de signaler les attaques de Bernard-Henri Lévy dans L’Idéologie française (Paris : Grasset, 19