1
je reviendrai, de pays dont la culture se confond
avec
l’identité nationale. Et plus tard, il faut sauter jusqu’au xiiie si
2
viennent à la rencontre des Celtes, se mélangent
avec
eux et finissent par recouvrir aussi une bonne partie de l’Europe. Vo
3
s ont continué, chacune pour elle-même, certaines
avec
un grand succès même au point de vue État-nation, comme la Hongrie, i
4
à une époque, ensuite en relation quasi fédérale
avec
l’ensemble austro-hongrois. Grâce à ce fédéralisme sous-jacent, on a
5
ap ; la grande école de la musique dodécaphonique
avec
Schönberg et Berg ; la littérature, qui s’est développée autour de Vi
6
Musil, enfin last but not least, la psychanalyse
avec
Freud et Adler. C’est une chose absolument sensationnelle qu’une pare
7
de nations vivant et coopérant librement les unes
avec
les autres. Ensuite vous avez eu un très remarquable exposé de M. Rom
8
entre les différentes nations que j’ai énumérées,
avec
toutes leurs diversités, c’est la reconnaissance du fait qu’elles ne
9
n acte qui réalise sa vocation, entre en relation
avec
les autres. Cette relation crée une communauté, pas celle des grands
10
t le monde. Je l’ai dit il y a longtemps, « c’est
avec
la poussière des individus que les États totalitaires font leur cimen
11
l existe pourtant une menace bien plus importante
avec
les SS20 soviétiques et les fusées occidentales ? C’est ce qu’on m’a
12
atomiques de notre continent. Et cela, je le dis
avec
toute ma conviction. Je pense que si les Soviétiques étaient jamais t
13
s’y installent en garnison, nous puissions causer
avec
eux, leur demander ce qu’ils font là, si loin de chez eux, les démora
14
fut d’ailleurs consacré au thème de « la rupture
avec
le désordre établi ». Pour nous, il s’agissait aussi d’une vraie « ré
15
doute aussi en ce sens que l’on dit que les liens
avec
une famille spirituelle sont souvent plus forts et plus profonds qu’a
16
uelle sont souvent plus forts et plus profonds qu’
avec
la famille biologique. La famille spirituelle n’existe qu’entre des g
17
d’une limite quelconque et cela n’a aucun rapport
avec
ce qu’est devenue la frontière. La frontière est une chose complèteme
18
les pollutions… On en trouve un exemple frappant
avec
la frontière autour de Genève. La plupart de ceux qui vivent côté fra
19
ançais et, surtout, entre la Suisse et la France.
Avec
des cordons de douane alors que c’est le même pays d’un seul tenant,
20
sol, la même culture, le même climat, le même lac
avec
les mêmes problèmes de pollution. Et ce lac est en train d’en crever.
21
ntale européenne qui, à son tour, peut se fédérer
avec
d’autres fédérations. Dans votre livre, vous avez résumé trois schém
22
km de long au tire-ligne. Un jour où j’en parlais
avec
un ministre de la Haute-Volta, il me dit : Vous ne connaissez pas le
23
yeux, le phénomène vivant qui a dû se déclencher
avec
1789. Paul Valéry disait déjà que toute politique se base sur une cer
24
’hui. Il s’y est ajouté la divinisation de l’État
avec
sa « souveraineté absolue » et c’est ainsi que l’on voit une guerre i
25
des Malouines, pour un troupeau d’îles désertes…
Avec
beaucoup de pétrole dessous et quelques milliers de tonnes de crevett
26
la liberté ? La notion de liberté marche de pair
avec
celle de responsabilité. C’est fondamental. Au contraire, les individ
27
taire. J’ai écrit dans un de mes livres : « C’est
avec
la poussière des individus que l’État fera son ciment ». Si chacun de
28
. Depuis 1947 il habite une ferme du pays de Gex,
avec
sa femme qui s’occupe activement d’une association pour la sauvegarde
29
puis, des divers groupes que nous formions alors
avec
une trentaine de jeunes gens venus de tous les horizons, allaient sor
30
d’un héritage culturel incessamment enrichissant,
avec
l’urgence de changer le monde afin de le rendre plus habitable, plus
31
ise, qui l’accuse ignominieusement d’avoir flirté
avec
le fascisme, alors qu’il fut, et ses livres en témoignent clairement,
32
stimulantes. Le premier, ainsi qu’il le rappelle
avec
une insistance frisant la coquetterie, il fonda les notions d’engagem
33
oisse : il tente de nier sa réalité, ou de passer
avec
elle « un compromis dont il tire, dans sa position névrotique, un cer
34
? Cet « impossible » est pourtant seul possible.
Avec
des dizaines de milliers d’armes nucléaires sur tous les continents e
35
zéro, comme le siècle tend vers sa fin. Tandis qu’
avec
les mêmes humains, pas meilleurs certes, mais privés d’armes nucléair
36
ule d’union autre que fédérative est incompatible
avec
l’identité suisse. La question concrète est donc celle de savoir — à
37
ces divers types par rapport à leur compatibilité
avec
l’identité suisse. 3. Europe de Bruxelles, de Strasbourg ou super-
38
ent, et sur les conditions de leur réunion future
avec
les sept pays de l’Est actuellement satellisés par Moscou. Si cet éla
39
de ramener les pays de l’Est dans une communauté
avec
l’Ouest. Pour les contacts avec l’Est, la Suisse dispose désormais de
40
ns une communauté avec l’Ouest. Pour les contacts
avec
l’Est, la Suisse dispose désormais des accords d’Helsinki, seuls à ra
41
s deux millions de voix, à la suite d’une entente
avec
les communistes le temps d’une grève à Berlin. Et Léon Blum écrit : «
42
ophète n’a pas de biographie. Il se lève et tombe
avec
sa mission. » Ainsi d’Hitler, l’antiprophète de notre temps, le proph
43
atastrophe totale dont il allait devenir l’agent.
Avec
son insondable vulgarité, sa mégalomanie et son magnétisme psychologi
44
e intuition subconsciente. Et prédit sans erreur,
avec
pas mal d’avance, dans les étapes de sa carrière. Le dernier carnav
45
mbler tout l’univers, voici que nous nous écrions
avec
une stupéfaction mêlée de honte : « Comme il était petit ! Il n’était
46
e la Genèse. Dans Mein Kampf, dès 1923, il décrit
avec
une surprenante précision le réveil des puissances souterraines qu’il
47
nt je ne suis pas, et qui m’écrase et me repousse
avec
bien plus de puissance, même physique, que tous ces corps horriblemen
48
up de colloques réunissant professeurs et experts
avec
leurs convictions que chacun connaît toujours plus ou moins d’avance.
49
and des Kongress Tiere, des « bêtes de congrès »,
avec
leur vocabulaire conventionnel qui ne mord plus sur la réalité. Je vo
50
eu l’idée d’y construire cette espèce de couvent
avec
son cloître et sa chapelle, que nous sommes si heureux d’avoir découv
51
de 1949. Tout a dû être créé à partir de zéro, et
avec
très peu d’argent, car les gouvernements s’intéressent à la culture d
52
nt entretenus par la guerre ; tous leurs rapports
avec
l’économie sont réglés par la préparation à la guerre, ultima ratio d
53
ut, et non d’un centre que l’on pourrait détruire
avec
une bombe. C’est la région qui me paraît symboliser cette nouvelle te
54
, M. Strassoldo qui a joué « l’avocat du diable »
avec
un brio certain ! Je constate, après ces deux jours de débats, qu’ils
55
région. Cela a été en tout cas à la base de ce qu’
avec
mes amis Mounier, Alexandre Marc, Aron et Dandieu, nous avons lancé d
56
de mon école primaire, je m’amuse à les échanger
avec
des gens du Mouvement Région Savoie qui les reconnaissent immédiateme
57
t Mme Cosma sur la stratégie, j’ai salué bien sûr
avec
une complète approbation, la proposition d’une stratégie de technique
58
rt, capital à mon sens, de M. et Mme André Birre,
avec
ce qu’ils nous ont appris sur l’humus, qui donne vraiment et symboliq
59
ste amicalement sur le fait qu’il concorde à 95 %
avec
moi. Si vous ne gardez pas cela à l’esprit, vous aurez l’impression q
60
e la lecture de son texte et qu’il n’est d’accord
avec
moi sur à peu près rien ! En réalité, je le connais assez pour pouvoi
61
r sur tel ou tel point, qu’il se forme à lui-même
avec
une imperturbable intelligence, et que souvent je me forme encore à m
62
radicalement opposé au nucléaire ? » demande-t-il
avec
un peu d’ironie dans le ton. D’une manière que je crois être purement
63
improvisé, après la fin d’un congrès fédéraliste
avec
Paul Delouvrier, PDG d’Électricité de France, qui disait : « Mais sav
64
m’est arrivé un jour, au cours d’une conversation
avec
Louis Armand, paraphrasant la boutade de Lénine : « Les soviets, c’es
65
rre-Arnold ne s’en tient pas là : il nous signale
avec
sobriété qu’à la trente-troisième génération, il y aurait 8,5 milliar
66
qu’à la poésie, puis j’ai découvert la théologie
avec
Karl Barth, dans la lignée « existentielle » (comme on disait alors)
67
is pu fréquenter à Paris dans les années 1930, et
avec
lesquels je me suis lié, tels Saint-Exupéry, André Breton et Saint-Jo
68
« l’Esprit européen ». En plein accord, je crois,
avec
les autres conférenciers, tels que Karl Jaspers, Julien Benda, George
69
ntribuer à la formation d’une opinion européenne.
Avec
l’appui du Mouvement européen, né du congrès de La Haye, j’ai ouvert
70
Centre européen de la culture », en collaboration
avec
Raymond Silva, l’un des fondateurs de l’Union européenne des fédérali
71
ors de lui. La première, en collaboration étroite
avec
Raoul Dautry, puis Pierre Auger, a été le Centre européen de recherch
72
urnal d’une époque , que j’espère pouvoir achever
avec
Journal d’un Européen l’année prochaine. Vous voyez ici, dans le vif,
73
uait que la culture française ne serait sauvée qu’
avec
la culture européenne et par elle, mais que la culture européenne ne
74
Ouest, tout en « amusant (ou affolant) le tapis »
avec
un psychodrame droite-gauche, totalitaires-démocrates, destiné à la c
75
s mass médias et à rien d’autre. Ce qu’on prépare
avec
méthode, c’est la guerre nucléaire — la fin de l’humanité peut-être m
76
xemple concret, le mien. Les mouvements européens
avec
lesquels j’ai travaillé dans les années 1950 et 1960 font du surplace
77
sation des pouvoirs de gestion publique. Un jour,
avec
Louis Armand, nous parlions du problème des régions, en tant qu’unité
78
d’emprunter tant de chiffres alarmants, constate
avec
une sérénité inexplicable « qu’aux États-Unis, pas plus les économist
79
lutôt que l’inverse. Leur interaction continuelle
avec
l’ordinateur provoque en eux un stress dont on a mesuré les effets. D
80
la culture à Genève, mais en coopération étroite
avec
plusieurs fondations suisses et européennes. ⁂ Il me reste à vous pré
81
étudie les sources du savoir, en liaison étroite
avec
la psychologie, la linguistique, l’épistémologie et l’informatique. L
82
r que la machine pourrait avoir quelques rapports
avec
l’affectivité, puisque certaines notions de la psychanalyse lui sont
83
humanité pour se détruire elle-même, et toute vie
avec
elle. ⁂ II. Du point de vue qu’on appelle réaliste aujourd’hui
84
re culture commune, se mariant plus ou moins bien
avec
les sources méditerranéennes, pour former un ensemble nouveau, riche
85
ctive, que j’ai proposé depuis plus de vingt ans,
avec
une certaine obstination, ce que j’appelle le Dialogue des cultures.
86
Club-Énergie de l’Est vaudois :
avec
Denis de Rougemont (19 juin 1984)ah ai L’ensemble des conflits qui
87
emont Denis de, « Club-Énergie de l’Est vaudois :
avec
Denis de Rougemont », L’Est vaudois, Montreux, 19 juin 1984, p. 6. a
88
ue du Moulin-Vert, proche de la porte d’Orléans —
avec
des catholiques tels que Jacques Maritain, Étienne Gilson, le père Co
89
en permanence » — phrase illustrée tout récemment
avec
une précision cruelle par le général Jaruzelski. Nous voulions une dé
90
ent de « chrétiens gauchisants […] dont les liens
avec
le fascisme n’étaient pas tellement définis ». Cette opinion s’appuie
91
nc publie un article de Paul Nizan, qui m’attaque
avec
une extrême violence : je l’avais trompé, affirme-t-il, en lui cachan
92
à chaque entrée d’un visiteur, qu’il accueillait
avec
des gentillesses parfois un rien perfides. Ainsi, un jour de 1932, co
93
ennuyeux… » Je le trouve un jour en conversation
avec
Artaud et Roger Vitrac, poète surréaliste qui avait l’air d’un grand
94
bonne vingtaine de ces billets. Diriger une revue
avec
génie, c’est cela : être partout présent, toujours à temps, maintenir
95
lanterne ornée de caractères chinois. Je parlais
avec
Artaud, Paulhan et Michaux marchant côte à côte à une dizaine de mètr
96
ille. Je ne sais combien de soirées merveilleuses
avec
ses amis peintres et poètes surréalistes « réfugiés » aux États-Unis,
97
be… Mais qu’est-ce que cela peut bien lui faire ?
Avec
ça qu’il n’a pas fait une religion de son surréalisme ! » Ce sera tou
98
menus. Propos légers. Vers 20 h 15 arrive Breton,
avec
un retard calculé. Il voit que tout se passe le mieux du monde entre
99
rès beau livre sur Le Surréalisme et la peinture,
avec
cette dédicace : « À Denis de Rougemont, mon ami très cher et très éc
100
s par l’Europe germanique et le monde anglo-saxon
avec
ses prolongements américains. Voyez plutôt les bibliographies à la fi
101
un autre trait commun, non sans relations intimes
avec
ce lieu genevois et cette formule européenne : le sens de ce qui est
102
création indépendante. Belle ambition, soutenue
avec
bonheur tout au long d’une œuvre imposante par la diversité de ses su
103
C’est peut-être dans la rencontre de l’essayiste
avec
le phénomène poétique que se traduit le mieux son approche du réel et
104
de princes pour l’accroissement de leur pouvoir (
avec
, à l’horizon, la création des grands États européens) ; les questions
105
l’être vrai, de son identité foncière aux prises
avec
le mensonge universel. Mais il ne la connaît d’abord que par la force
106
it que je me connais seulement dans mes relations
avec
autrui, avec la société, avec le monde ; et troisième temps, l’accept
107
connais seulement dans mes relations avec autrui,
avec
la société, avec le monde ; et troisième temps, l’acceptation critiqu
108
dans mes relations avec autrui, avec la société,
avec
le monde ; et troisième temps, l’acceptation critique du « paraître »
109
radition que l’on peut suivre de la polis grecque
avec
son agora à la civitas romaine avec son forum, puis aux communes ital
110
polis grecque avec son agora à la civitas romaine
avec
son forum, puis aux communes italiennes avec leur piazza, qui va deve
111
aine avec son forum, puis aux communes italiennes
avec
leur piazza, qui va devenir place, plaza, praça, Platz, plein ou même
112
ponsable qui n’est qu’un grain de cette poussière
avec
laquelle l’État totalitaire fera son ciment. « Pourquoi voulez-vous q
113
i voulez-vous que je vote ? », me dit tel inconnu
avec
qui j’échange quelques mots, à la douane, au bistrot, dans l’autobus
114
r couronner le tout réformateur de Berne ; Zurich
avec
les réformateurs Zwingli et Bullinger auxquels se joignent le Saint-G
115
isse alémanique et les Allemagnes ; Genève enfin,
avec
Calvin et Théodore de Bèze, devient en peu d’années l’un des pôles de
116
ait des sciences physiques et naturelles, invente
avec
H. B. de Saussure l’alpinisme, développe des banques, prête Necker à
117
a Civilisation de la Renaissance italienne, donne
avec
ses Considérations sur l’histoire du monde une vue géniale de l’évolu
118
Genève va revenir au premier tiers du xxe siècle
avec
Ferdinand de Saussure, dont le Cours de linguistique générale publié
119
tuelles du xxe siècle, la relativité d’une part,
avec
ses suites indéfinies vers l’aventure des sciences de l’atome, et la
120
06), écrivain suisse du monde entier, initiateur,
avec
Emmanuel Mounier, de la revue du personnalisme Esprit , puis fondate
121
Interview
avec
Denis de Rougemont (1986)at au Denis de Rougemont est un écrivain
122
vent admirables, surtout ceux d’avant sa brouille
avec
Proudhon. Mais au-delà des écrits de 1844, nous étions entièrement du
123
Question vraiment tragique. Je redécouvrais donc
avec
Kierkegaard le protestantisme dans ce qu’il avait de plus radical et
124
mais par cette vocation même est mis en relation
avec
la société, créateur de la relation sociale. Là, pourtant, il y a une
125
ur la rejoindre, elle seule. On a toujours triché
avec
cette phrase. On l’a appliquée à Ravaillac, à qui les jésuites avaien
126
ncontré un philosophe américain nommé Max Lerner,
avec
qui j’avais discuté cela, et qui avait mis au point sur ce sujet une
127
question socratique ! Kant avait absolument tort
avec
l’impératif catégorique, qui appartient au domaine des moyens. Toute
128
nationales, j’arriverais au mieux à la capitale,
avec
un peu de chance. Donc je resterais dans le même plan. Je n’arriverai
129
tout de ma vie privée, mais décris mes relations
avec
la société, la politique, l’action dans la communauté… Tout de suite
130
mmunication. J’ai été amené à discuter ces choses
avec
des gens qui étaient surtout des intellectuels. Peu à peu je me suis
131
connu au Collège de sociologie, qu’il avait fondé
avec
Roger Caillois. On y faisait des communications autour desquelles se
132
nt, j’y ai renoncé… Êtes-vous toujours en rapport
avec
certains écrivains personnalistes ? Il se trouve qu’à mon âge — j’aur
133
-uns ont été tués, beaucoup sont morts depuis, et
avec
Alexandre Marc, je suis à peu près le dernier survivant des personnal
134
d, 1970) — Dieu et l’Absolu sont revenus en force
avec
Maurice Clavel, par exemple, ou même Guy Lardreau et Christian Jambet
135
at. Rougemont Denis de, « [Entretien] Interview
avec
Denis de Rougemont », Contemporary French Civilization, Liverpool, 19
136
cation civique et d’une dizaine d’autres actions…
Avec
tout ce que cela nécessite de tâches quotidiennes, d’animation, d’org
137
itaires. Par Alexandre Marc, j’entrai en relation
avec
quelques dizaines de jeunes intellectuels, avec ce que l’on nomme auj
138
n avec quelques dizaines de jeunes intellectuels,
avec
ce que l’on nomme aujourd’hui, d’après une thèse célèbre, « les non-c
139
ulture technico-scientifique souvent incompatible
avec
le génie propre des cultures non européennes. Il appartient donc à l’
140
radition que l’on peut suivre de la polis grecque
avec
son agora à la civitas romaine avec son forum, puis aux communes ital
141
polis grecque avec son agora à la civitas romaine
avec
son forum, puis aux communes italiennes avec leur piazza, qui va deve
142
aine avec son forum, puis aux communes italiennes
avec
leur piazza, qui va devenir place, plaza, Platz, plein, selon les pay
143
auté du parti communiste ». Or, ceci annule cela,
avec
une vigilance sans défaut, comme le fait voir l’analyse des principau
144
nelle) ; — droits égaux des femmes et des hommes,
avec
protection par l’État des intérêts de la mère et de l’enfant droits é
145
textes constitutionnels de 1936 mieux compatibles
avec
l’usage établi ; b) le souci d’affirmer plus expressément la primauté
146
pas optimiste non plus parce que je ne crois pas
avec
Rousseau que l’homme est bon. Il est bête et méchant, c’est dans ses
147
les États-nations souverains. Il va pouvoir faire
avec
cela de gigantesques folies. Un seul moyen de les prévenir : diminuer
148
ire correspondre la taille des tâches à accomplir
avec
celles des communautés qui peuvent s’en charger. À la commune, les ch
149
rien, il m’avait offert à l’improviste d’habiter
avec
ma femme, pour quelques mois, un studio communiquant avec sa biblioth
150
femme, pour quelques mois, un studio communiquant
avec
sa bibliothèque. Nous y arrivons le lendemain matin. Tout de suite, G
151
te, Gide apparaît dans une robe de chambre grise,
avec
sa belle tête chauve de moine tibétain. Au milieu de la pièce pend un