1
ionale » dans certaines circonstances historiques
bien
définies. Je ne retire pas ma condamnation en général de l’expression
2
ionale : l’Europe a existé et elle a été cultivée
bien
avant l’existence de nos premiers États. Il ne faut pas voir la cultu
3
le est entièrement politisée, comme nous l’a très
bien
montré hier Stanley Hoffmann. La culture française est nationale dans
4
reste suivraient, mais le général de Gaulle lui a
bien
fait voir que, pour lui, les intérêts économiques étaient secondaires
5
nucléaire militaire a été par ailleurs démontrée.
Bien
entendu, tout cela sert à faire des bombes et tant pis si c’est dange
6
pour des décennies. Il existe pourtant une menace
bien
plus importante avec les SS20 soviétiques et les fusées occidentales
7
bilité était faible, et qu’il existait une menace
bien
plus dangereuse : les fusées des 26 silos du plateau d’Albion qui son
8
otesterions. Actuellement, ce qui nous menace est
bien
pire que le haschisch, incalculablement pire… Finalement, êtes-vous d
9
me l’a si aimablement dit le président Reagan. Eh
bien
, c’est de la folie ! Le groupe de Bellerive — que j’ai contribué à fo
10
i loin de chez eux, les démoraliser par l’amitié…
Bien
d’autres procédés peuvent être imaginés. Une défense civile ainsi con
11
’origine d’une guerre. La guerre nucléaire, c’est
bien
plus fou, si l’on y pense, que de dire désarmons-nous et offrons nos
12
icalement contradictoire en soi, pour des raisons
bien
évidentes. Dénoncer le dogme meurtrier de la souveraineté nationale a
13
urope des réalités, les fédérer progressivement —
bien
souvent à travers les frontières nationales — les amener à constituer
14
la fédération des États-Unis. Vous démontrez très
bien
la différence d’esprit entre ces dernières en expliquant comment l’on
15
re d’écrivain et de penseur, Denis de Rougemont a
bien
voulu évoquer les circonstances dans lesquelles s’est formé et dévelo
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mitié. Croyez-vous au hasard ? Oui, quand il fait
bien
les choses. Croyez-vous, comme Rousseau, que l’homme naît bon et que
17
favoriser les antinucléaires qu’à l’Ouest. Aussi
bien
, ces derniers ne s’y sont pas trompés : ils favorisent les mouvements
18
rroristes individuels ou collectifs, chances déjà
bien
faibles aujourd’hui, tendent vers zéro, comme le siècle tend vers sa
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une grave confusion des valeurs. Et l’Europe est
bien
autre chose que ce qu’on nomme ainsi à Bruxelles — où la CEE n’est en
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d’innover dans ce domaine aussi, comme il est si
bien
vu de le faire dans le domaine des sciences physiques, dans celui de
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déclenchés dans le siècle par son apparition sont
bien
connus : on n’y retrouve pas, à l’analyse, la moindre trace de sa per
22
te anticipation grotesque nous paraît aujourd’hui
bien
plus ressemblante que le film polémique composé après coup par le mêm
23
ne suis pas, et qui m’écrase et me repousse avec
bien
plus de puissance, même physique, que tous ces corps horriblement ten
24
te de deux amis, dont Alexandre Marc, que j’avais
bien
connu dans le mouvement personnaliste : ils m’ont jeté bon gré mal gr
25
é en cas de guerre atomique ? » Il m’a dit : « Eh
bien
, d’après mes calculs, environ 20 millions de gens survivraient dans d
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mboliser cette nouvelle tendance. Ceci a été très
bien
mis en relief par plusieurs d’entre vous, par plusieurs des travaux p
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ces deux derniers jours. Je crois que nous avons
bien
fait de ne pas nous attarder à toutes les définitions que l’on peut d
28
r des questions plus précises, plus concrètes sur
bien
des cas ; mais ce qu’il faut que je vous avoue c’est que cette notion
29
ne phrase qui va tout à fait au fond de la chose.
Bien
d’autres ont été dites ici, qui m’ont encouragé. Et quand je pense à
30
crierais au fou ! Vous crieriez tous au fou ! Eh
bien
, c’est ce que l’État-nation exige de nous, quand il va jusqu’au bout
31
le pouvoir est d’abord aux communes, on peut très
bien
imaginer que celles-ci se groupent librement pour exercer une certain
32
risées autour d’une ville-métropole régionale. Eh
bien
, cela me paraît encore trop tributaire de l’ancienne approche, l’écon
33
n train de détruire les deux, je ne sais pas très
bien
comment nos États-nations envisagent de respirer demain. Il y a aussi
34
iales, qui ne feront que cela, mais qui le feront
bien
, qui auront un pouvoir clairement limité, mais tout à fait réel dans
35
s valeurs celtiques, qui sont aussi importantes à
bien
des égards, plus près de nous, et qui ont recouvert le tout. Mais que
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exemple « Tu n’as pas peur de t’encoubler ? » Eh
bien
, ils savent très bien que cela veut dire « trébucher », sur des racin
37
ur vérifier le contenu d’une valise, on peut très
bien
mettre des heures… C’est un exercice comparable auquel Strassoldo s’e
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trop petite pour que l’on s’arrête à elle seule.
Bien
entendu, il a parfaitement raison, on peut toujours dire cela, seulem
39
ut cela, on lui dirait : « Bon, continue, cela va
bien
et nous, on s’occupera d’autre chose ! » Strassoldo le sait mieux que
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, aussi ne le demandent-ils pas, ils s’en gardent
bien
! C’est précisément contre ces entraînements religieux, qui ont donné
41
e personne, je la définis par une vocation bel et
bien
transcendante à l’individu. S’il nous fallait absolument un mythe, s’
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la paix — étant donné l’équation que nous sommes
bien
obligés de faire entre l’État-nation et la guerre. L’État-nation est
43
rle de région et de participation civique, il est
bien
entendu qu’il ne s’agit de rien de comparable aux cantons suisses, qu
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que 3 % de la population d’Israël, et c’est très
bien
ainsi. Cependant, il faut bien imaginer d’autres modèles de communaut
45
aël, et c’est très bien ainsi. Cependant, il faut
bien
imaginer d’autres modèles de communauté pour le 97 % restant. z. R
46
e : c’est qu’à chaque génération d’ancêtres, dans
bien
des familles de ce pays, on trouve autant d’étrangers que de Neuchâte
47
au point non seulement le Rapport culturel, mais
bien
plus que cela : « Le Message aux Européens », qui devait clôturer le
48
u organisateur, sinon administrateur, d’un projet
bien
ambitieux, et qu’on n’imagine pas confié à un écrivain. Qu’avez-vous
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par l’union politique et économique de l’Europe.
Bien
, très bien même. Quelques années plus tard, dans une préface au livre
50
n politique et économique de l’Europe. Bien, très
bien
même. Quelques années plus tard, dans une préface au livre de Franz F
51
se donnent couramment pour antieuropéens — c’est
bien
vu, chez les éditeurs comme dans les revues — étant accaparés par une
52
ui gouverne le monde d’aujourd’hui et tolère très
bien
les accords clandestins d’échanges technologiques entre Est et Ouest,
53
un peu d’Orwell, pour en dire à la fois moins de
bien
et un tout autre bien que nos télévisions, radios et colloques par mi
54
oques par milliers dans le monde entier. Moins de
bien
: car Orwell, à mon sens, n’a pas été le vrai prophète que l’on célèb
55
’agent, alors qu’il n’en est que l’outil. Soyons
bien
clairs. Le simple fait de mettre en fiches les citoyens pour toutes f
56
, elle ne fera rien, c’est clair. Elle se tiendra
bien
coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte donc pas d’histoires. Ce
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l’ordinateur qui, lui, peut être employé pour le
bien
autant que pour le mal. On a beaucoup dit qu’il favoriserait non seul
58
sit, le résultat ne s’appelle pas libération mais
bien
chômage. Qu’on m’explique pourquoi ? Et j’attends, depuis plus de cin
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vant de conclure, quelques remarques sur un sujet
bien
excitant : celui de l’intelligence des ordinateurs et de leurs facult
60
eur Jacques Freymond affirmait ne pas savoir très
bien
comment les choses allaient se dérouler. Peut-être qu’il le feignait,
61
e notre culture commune, se mariant plus ou moins
bien
avec les sources méditerranéennes, pour former un ensemble nouveau, r
62
former un ensemble nouveau, riche de contrastes,
bien
plus : riche d’antinomies déclarées, qui expliquait à la fois le dyna
63
s trop peu connus, le premier tiré de Par-delà le
bien
et le mal, le second des Papiers posthumes. Il me semble que ces phra
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Il me semble que ces phrases caractérisent assez
bien
l’effort qui est fait aujourd’hui pour faire coopérer les intellectue
65
tous risques, l’humanité se divise en deux camps
bien
tranchés : c’est en chacun de nous que le conflit se poursuit. Les de
66
artir de 1931. Sur cette génération, que la thèse
bien
connue de Jean-Louis Loubet del Bayle a nommée « les non-conformistes
67
», je vais vous apporter moins un « témoignage »,
bien
grand mot, que quelques souvenirs, personnels, bien sûr, mais aussi p
68
ar nous sentions déjà — comme Koestler le dira si
bien
quelques années plus tard — qu’elle ne serait que la guerre entre un
69
xe d’infériorité ». La vérité est que nous étions
bien
convaincus que les régimes dictatoriaux de l’Est ne faisaient guère p
70
s, j’ai un bureau en bas, non, vraiment… » — « Eh
bien
, fait-il, le jour où je ne sentirai plus mon cœur battre avant de pas
71
e fois : « Il vient de m’arriver quelque chose de
bien
décevant. J’ai essayé de relire Cicéron dans l’espoir de le trouver s
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céron dans l’espoir de le trouver surréaliste… Eh
bien
non ! C’est vraiment très ennuyeux… » Je le trouve un jour en conver
73
suis ravi de ces pages. J’attends la circulaire.
Bien
amicalement Jean P. (1939) Cher ami, votre article du Figaro est
74
ent admirable10. Nous le citerons (et je voudrais
bien
l’avoir écrit). amicalement J. P. Les N. C. 11 ne sont pas seulemen
75
i d’empêché, de contraint. Pourquoi ? Je voudrais
bien
avoir votre avis sur la note jointe. 21.VIII.1949 Mon cher ami ah
76
désir de ne pas rompre est évident, mais il faut
bien
sauver la face… L’athéisme flamboyant a toujours été l’un des dogmes
77
phibologie du verbe… Mais qu’est-ce que cela peut
bien
lui faire ? Avec ça qu’il n’a pas fait une religion de son surréalism
78
songes officiels, du « paraître ». Pourtant, il a
bien
vu l’insuffisance d’une attitude de refus pur et simple et de l’impos
79
end la parole en son nom. Ce passage est pour moi
bien
émouvant. Je cite : « L’acte ultime de la critique est de signaler qu
80
n’y changera rien, ma voix ne compte pas ». Voilà
bien
le méfait majeur des trop grandes dimensions — oui, même en Suisse !
81
civique. Voilà qui est simple et clair, je crois
bien
. Les vraies difficultés commencent lorsqu’il s’agit d’appliquer ces p
82
xe siècle : le mythe des « cultures nationales »
bien
distinctes, dont l’addition constituerait la « culture européenne ».
83
vre de poétique et d’intuitive érudition. C’était
bien
avant les Ligues suisses, Guillaume Tell et le Serment du Grütli. Du
84
ner. Condamnés à l’Europe en quelque sorte ? Non,
bien
plutôt libres pour elle… 12. Selon le tableau établi par le sociolo
85
’idée de marché commun se trouve dans Par-delà le
bien
et le mal, où il est dit que tout va vers l’union de l’Europe, que le
86
ers un marché commun de l’économie européenne et,
bien
plus que ça, vers une république européenne, qui a toujours été le rê
87
puisqu’il n’est pas autonome. Cela indiquait très
bien
ce que nous cherchions, qui n’était pas l’individu, produit d’une div
88
e la morale de Kant est une morale des moyens. Eh
bien
non, c’est la fin qui importe. Mais la fin on ne la connaît pas néces
89
gens, par des circonstances, qui sont tentantes à
bien
des égards, et tout d’un coup quelque chose en moi dit non, ce n’est
90
e but pour tous les hommes. Moi, ça m’allait très
bien
d’appeler cela Dieu. Il n’y a qu’un Dieu pour tous les hommes. Qu’on
91
e qu’à mon âge — j’aurai 78 ans dans un mois — eh
bien
, je ne me sens pas du tout vieux, mais je découvre que je suis un des
92
ion sont patentes. 21. Le passage de Par-delà le
bien
et le mal dont il est question est intégralement cité dans Vingt-hui
93
de la langue, non, ce n’est pas à ses romans mais
bien
à ses essais qu’on le jugera. Rendons leur place aux essayistes dans
94
été accomplis librement (les juristes connaissent
bien
cela) et à l’inverse, personne n’est vraiment libre de ses décisions
95
s et dans la formation des cabinets ministériels.
Bien
plutôt que par « la note d’espoir » traditionnelle, je voudrais termi
96
6 énumère la propriété de l’État, c’est-à-dire le
bien
du peuple tout entier. Cependant, l’art. 7 prévoit que « chaque foyer
97
out est « la propriété de l’État, c’est-à-dire le
bien
du peuple tout entier », ou inversement : tout appartient au peuple,
98
vous dans L’Avenir est notre affaire . Vous êtes
bien
l’anti-Pangloss. Pourquoi cet éternel pessimisme ? Éternel c’est beau
99
ll governed » (mieux vaut se gouverner que d’être
bien
gouverné)… Votre définition de la région ? Est-ce une ethnie ou une l
100
une agence mondiale. Les enfants comprennent très
bien
cela et savent que les douaniers n’arrêtent pas la pollution. Pour l’
101
au au débat des idées politiques du siècle, c’est
bien
cela : une synthèse des trois thèmes les plus mobilisateurs de la jeu
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commencé, parce que m’ayant lu, ils savaient trop
bien
ce qu’ils faisaient. Dois-je me le reprocher ? Toute prise de conscie
103
rrées : « qu’est-ce qu’on va dire ? » Je me garde
bien
de répondre, je m’amuse trop. Finalement il jette en riant : « on va