1 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
1 . L’État-nation ne déclenche pas d’amour pour ses bureaux , vous l’avez, vous aussi, souvent dit ! Les États-nations ne sont qu
2 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
2 e qu’elle s’emparerait de très peu de choses : de bureaux , de téléphones, d’uniformes, d’armes peut-être — cela n’est pas sûr,
3 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
3 du congrès de La Haye, j’ai ouvert à Genève un «  Bureau d’études pour un Centre européen de la culture », en collaboration av
4 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
4 t, où que nous allions, dans nos foyers, dans nos bureaux ou ateliers, dans les cafés ou les grands magasins, nous sommes envir
5 première heure et de 80 % durant la deuxième. Le Bureau international du travail, saisi du problème, a formulé des mesures de
5 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
6 haux et les idoles Rue du Four, sortant de mon bureau , je longe les voitures alignées au bord du trottoir et devant l’une,
7 rejoins sur le dernier palier — celui qui mène au bureau de la NRF — Henri Michaux. Il m’arrête d’un geste : « Est-ce que vo
8 savez, j’y viens presque tous les jours, j’ai un bureau en bas, non, vraiment… » — « Eh bien, fait-il, le jour où je ne senti
9 Malices de Jean Paulhan Il est vrai que « le bureau de Paulhan » était un lieu sacré de ma mythologie, « lieu propice aux
10 épit des malices de Paulhan, ou grâce à elles. Le bureau où se composait la Nouvelle Revue française (Gide, Claudel, Valéry,
11 serrer la main, je vois du coin de l’œil, sur son bureau , le Courrier de Paris, de Daniel Halévy, que viennent de publier les
12 d’Artaud Un soir que nous étions dans ce même bureau , Artaud, Henri Michaux et moi, Paulhan propose d’aller dîner ensemble
13 incongruité de l’occasion, elle eut lieu dans les bureaux de l’Office of War Information, où il avait un job, et où j’en cherch