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on œcuménique. Il y avait là des protestants, des
catholiques
, des juifs et même des agnostiques et, entre autres : le socialiste [
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tre banquiers, industriels, conservateurs, centre
catholique
, communistes et sociaux-démocrates, chacun tentant de jouer les nazis
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, réalité mondiale et sans frontière. (Si j’étais
catholique
, ou communiste, ce serait pareil.) De plus, je fais partie d’une quan
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i que l’on a appelé dans les écoles sociologiques
catholiques
de la fin du xixe le « principe de subsidiarité ». C’est un mot sava
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lin-Vert, proche de la porte d’Orléans — avec des
catholiques
tels que Jacques Maritain, Étienne Gilson, le père Congar, mais aussi
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refaire une vraie communauté. Ce fut l’ordre que
catholiques
et protestants, juifs, agnostiques et nietzschéens ensemble, nous avo
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s, la Rhénanie, la Pologne et la Hongrie… Du côté
catholique
, c’est l’abbaye d’Einsiedeln, fleuron de la civilisation bénédictine,
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isses, il y avait des agnostiques, des juifs, des
catholiques
, des protestants, qui s’affirmaient tous en tant qu’agnostiques, juif
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s’affirmaient tous en tant qu’agnostiques, juifs,
catholiques
ou protestants, sans renier leur croyance. Il y avait aussi ceux qui