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on entre la guerre et les États et aussi entre le
nucléaire
et la guerre. Cela constitue un circuit où tout se tient. Par exemple
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e tient. Par exemple aux portes de la Suisse, une
centrale
comme celle de Creys-Malville est destinée à produire du plutonium. L
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née à produire du plutonium. La relation entre le
nucléaire
civil et le nucléaire militaire a été par ailleurs démontrée. Bien en
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onium. La relation entre le nucléaire civil et le
nucléaire
militaire a été par ailleurs démontrée. Bien entendu, tout cela sert
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ersonnes. Est-ce que la Suisse est menacée par la
centrale
française de Creys-Malville ? L’accident majeur de Creys-Malville qui
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ut ou partie des quatre tonnes de plutonium de la
centrale
. D’une manière générale, comme la direction des vents va de Lyon vers
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la paix mondiale peut être défendue par les armes
nucléaires
, premier moyen que les hommes aient inventé pour anéantir toute l’hum
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’y a aucune espèce de parade possible à la guerre
nucléaire
. Ce qu’il y a de plus inquiétant dans les débats actuels, c’est qu’on
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t monstrueuse en réalité, de limiter les échanges
nucléaires
au champ de bataille — par exemple à l’Europe, comme l’a si aimableme
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contre l’illusion d’une limitation de l’escalade
nucléaire
. C’est exclu par les militaires eux-mêmes. Les seuls qui répandent ce
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e serve jamais, c’est la multiplication des armes
nucléaires
, notamment par le détour des centrales dites civiles — voyez l’Inde,
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faire ? Il n’y a qu’un moyen d’éviter la tempête
nucléaire
en Europe, à mon sens et à celui de mes amis : l’élimination de toute
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s nos armées. Donc ils n’utiliseraient pas l’arme
nucléaire
les premiers, sans l’existence des forces de frappe française et brit
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peut plus se leurrer sur les effets d’une guerre
nucléaire
: ce serait l’anéantissement de la population européenne, ne serait-c
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te le pays le mieux placé pour éviter une attaque
nucléaire
, puisque nous ne possédons pas d’armes atomiques. C’est aussi un pays
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s. Il n’empêche que devant le risque d’une guerre
nucléaire
, devant cette possibilité parfaitement réelle, il me semble que seule
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es Malouines, à l’origine d’une guerre. La guerre
nucléaire
, c’est bien plus fou, si l’on y pense, que de dire désarmons-nous et
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e L’Avenir est notre affaire , « la contestation
nucléaire
devient un problème transnational » ! Cela aussi démontre qu’aujourd’
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ûté par cette atmosphère passionnelle de l’Europe
centrale
, dont on retrouve le climat dans Le Paysan du Danube . En même temps
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Bertrand de Launay, Le Poker
nucléaire
: comme brebis à l’abattoir [préface] (1983)w I La montée ver
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éface] (1983)w I La montée vers la guerre
nucléaire
soulève en moi la même colère immense et sourde, et par moments presq
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e en même temps, des deux côtés, toutes les armes
nucléaires
existantes. La couverture d’un récent numéro de Time portait en gross
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e serait, pour l’humanité tout entière, la guerre
nucléaire
. Ces « pacifistes » sont montrés du doigt et insultés comme étant les
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c entendu que ceux qui mettent en garde contre le
nucléaire
, sous toutes ses formes du système, sont de sinistres névrosés, achar
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cusations pèsent sur les partisans du désarmement
nucléaire
intégral, dont je suis. — Ils ont été traumatisés par la bombe d’Hiro
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certain profit2 ». On a reconnu les partisans du
nucléaire
en général, et de la dissuasion en particulier. — Ils sont manipulés
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avant ce stade final : supprimer toutes les armes
nucléaires
, partout, dans les moindres délais. Faire de cet objectif, préalablem
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l possible. Avec des dizaines de milliers d’armes
nucléaires
sur tous les continents et les humains étant ce qu’ils sont, les chan
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umains, pas meilleurs certes, mais privés d’armes
nucléaires
, l’Histoire peut encore continuer. Cela suffira-t-il à faire admettre
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urtant nous faisons tout pour l’éviter. La guerre
nucléaire
est évitable, et nous faisons tout ce qu’il faut pour qu’elle arrive.
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’armes et puissance explosive totale des arsenaux
nucléaires
américain et soviétique) est absurde, et ne peut conduire qu’à des co
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jour du malheur ! (Jérémie, 17.16) 1. « Poker
nucléaire
, les enjeux ne cessent de monter. » 2. Jean Laplanche et Jean-Bertra
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rand de, « [Préface] Bertrand de Launay, Le Poker
nucléaire
», dans Le Poker nucléaire : comme brebis à l’abattoir, Paris, Syros
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d de Launay, Le Poker nucléaire », dans Le Poker
nucléaire
: comme brebis à l’abattoir, Paris, Syros, 1983, p. 9-15.
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hes à accomplir, et ceci en partant non de l’État
central
qui voudrait « déconcentrer » ses services, mais en partant d’en bas.
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du monde — au Vietnam. b) À stocks égaux d’armes
nucléaires
, les Russes gagneraient nécessairement sur les Européens du seul fait
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tes et les fascistes, a su répondre à la question
centrale
du siècle, qui est religieuse au sens élémentaire de ce terme, sens v
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réponse possible, mais une réponse, à la question
centrale
de notre temps. Tel fut son vrai Pouvoir, et j’écrivais alors : « Seu
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donné naissance au Centre européen de recherches
nucléaires
, qui s’appelle aujourd’hui le CERN et qui dépend de 12 gouvernements
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nue après quelques années de polémiques autour du
nucléaire
: « Écologie – régions – Europe », — et qui m’a fait écrire mon livre
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ollution majeure de la terre. J’entends la guerre
nucléaire
. Aujourd’hui, il n’est pas question d’autre chose. Tous nos États-nat
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tre des hommes, mais contre des relais du pouvoir
central
, tels que les tours de télévision en Bretagne, par exemple. Il y a do
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re « Faut-il être aussi radicalement opposé au
nucléaire
? » demande-t-il avec un peu d’ironie dans le ton. D’une manière que
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nt pas le coup » une seconde de dire qu’une vaste
centrale
solaire couvrirait 3 départements français. Lesquels ? Ils sont très
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rre Auger, a été le Centre européen de recherches
nucléaires
, ou CERN, foyer de recherches sur la constitution du noyau de l’atome
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e. Ce qu’on prépare avec méthode, c’est la guerre
nucléaire
— la fin de l’humanité peut-être mais la solution du chômage en tout
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que les balbutiements : je veux parler des armes
nucléaires
et des télécommunications audiovisuelles assurant l’omniprésence du P
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aîne mental ». Tout cela dit, demeure ma question
centrale
, formulée il y a cinquante ans, à propos des résultats de la technolo
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Trois manières de considérer le
nucléaire
(1984)y I. Du point de vue de la civilisation en général et de l
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es, ceux de notre époque seront les lourdes tours
nucléaires
. Les cathédrales édifiées par la piété des communautés urbaines ont é
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emont Denis de, « Trois manières de considérer le
nucléaire
», Oui pour un avenir, Lausanne, C.-L. Fontaine, Secrétariat romand d
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e, tant animale que végétale. (Le stock de bombes
nucléaires
existant et qui représente déjà quatre tonnes d’équivalent TNT par tê
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nt à l’opposition entre deux formes d’énergie, le
nucléaire
et le solaire. Car chacune de ces deux solutions implique et détermin
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Prix européen de l’essai. C’est en effet le thème
central
de la recherche de Starobinski qui constitue le vrai sujet de cet ouv
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e son auteur, nous invite à l’anticiper… Ce thème
central
, comme il l’indique lui-même, n’est autre que l’antithèse traditionne
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ue à s’y méprendre celle de nos polémiques sur le
nucléaire
et de nos guerres religieuses entre capitalisme et communisme, démocr
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lle des conflits internationaux jusqu’à la guerre
nucléaire
: fin de l’Histoire ; ou la survie et la domination d’un des Grands à
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s de Russie. Ce dernier élit à son tour le Comité
central
exécutif, qui élit le Conseil des commissaires du peuple. Cette const
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4, 7 en 1929, 12 en 1936 et 15 ensuite. Le Comité
central
exécutif devient le Parlement bicaméral de l’Union, constitué par le
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torité suprême réside dans le Présidium du Comité
central
exécutif. La Constitution de 1936 Cette première esquisse d’une
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et oriente la société soviétique, c’est l’élément
central
de son système politique ». Certes, le droit de « quitter librement l
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nciez des thèses pour le moins hardies… Une thèse
centrale
: c’est que l’amour-passion est l’invention du xiie siècle européen,
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la victoire des écologistes sur les promoteurs du
nucléaire
? Attention à ce genre de question. Nous ne sommes pas là pour prévoi
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l’énergie, je vous dirai ceci : les promoteurs du
nucléaire
sont suicidaires et le savent. L’avenir que nous voulons, c’est le so
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ire soit compétitive. Pendant ce temps, l’énergie
nucléaire
devient de plus en plus ruineuse. Pourquoi cette résistance des États
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locales, la redistribution des pouvoirs de l’État
central
, le fédéralisme ! Tandis que le nucléaire, fabuleusement cher, gigant
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de l’État central, le fédéralisme ! Tandis que le
nucléaire
, fabuleusement cher, gigantesque, exige la protection de la police et