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? La christianisation jamais achevée des Églises
chrétiennes
, de Luther et Calvin à Vatican II : même combat ! La réforme qui vous
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héologien anonyme dont j’ignore encore s’il était
chrétien
ou juif, dévoilait le mystère profond de l’hitlérisme, en même temps
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gique du terme, disons : au sens « païen » et non
chrétien
. Mais le désastre était inscrit dans les données de l’aventure hitlér
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est tissée d’antinomies. La foi qui sauve, c’est
chrétien
, mais la raison d’État, c’est romain : d’où les persécutions contre l
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, c’est romain : d’où les persécutions contre les
chrétiens
à Rome. Les libertés locales, c’est grec et c’est germanique, mais ce
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rs d’honneur germaniques contredisent les valeurs
chrétiennes
d’humilité. Or, ce sont ces antinomies qui ont donné à la culture eur
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ondrement du capitalisme libéral et de la culture
chrétienne
». Or rien de tel ne s’est produit et c’est même le contraire qui est
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qu’en est-il du christianisme, de cette « culture
chrétienne
libérale » qu’il abandonne elle aussi, et sans plus de regrets appare
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e stupeur interdite, par la voix et l’action d’un
chrétien
à la fois libertaire et solidaire, Lech Walesa. Mais il y a plus. Le
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rit de mars 1933, intitulé Rupture entre l’ordre
chrétien
et le désordre établi. Entre le désordre des démocraties de l’Ouest
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dans celui d’Esprit notamment, un mouvement de «
chrétiens
gauchisants […] dont les liens avec le fascisme n’étaient pas telleme
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eton soit très gêné par votre dernier livre. Trop
chrétien
, sans doute, à ses yeux. Moi, vous savez… Je crois que vous croyez ?…
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Chroniques du moine Eckehardt : une civilisation
chrétienne
primitive sur laquelle Charles-Albert Cingria a écrit un petit chef-d
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nis de Rougemont est un écrivain personnaliste et
chrétien
. Il n’est sans doute pas inutile de le rappeler, car l’immense succès
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double affirmation luthérienne de la « liberté du
chrétien
» et calviniste de sa « responsabilité ». Je découvrais du même coup