1 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
1 uelle l’école française est faite pour former des citoyens français. C’est tout juste s’il n’a pas parlé de sujets… Donc, en Fra
2 1982, Articles divers (1982-1985). Des régions à la paix pour l’union de l’Europe (juillet-août 1982)
2 et indivisible, est le premier devoir de tous les citoyens qui se veulent libres et responsables — l’un n’allant pas sans l’autr
3 taille de l’homme », de telle manière que chaque citoyen puisse y faire entendre sa voix ; mais aussi, « à la taille de ses pr
3 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
4 est ma patrie. Je me trouve donc automatiquement citoyen suisse. Mais j’appartiens à la Suisse qui parle français et je fais p
5 ces dernières en expliquant comment l’on devient citoyen de l’une ou de l’autre. Oui, par l’intérieur pour devenir Suisse, et
6 rie. Ne pensez-vous pas que l’on a « bluffé » les citoyens en introduisant une énorme confusion entre « patrie » et « État », du
4 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
7 métaphore critiquable mais courante. En tant que citoyen de cette petite patrie, j’appartiens à la Confédération suisse qui me
5 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : réponse à Raimondo Strassoldo (1984)
8 la participation correspond à un besoin réel des citoyens  ? » Non ! Elle correspond à une nécessité absolue, sans laquelle il n
9 te aux yeux : s’il n’y a pas de participation des citoyens , il n’y a pas de société, en tout cas pas démocratique. VII. Du ch
6 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
10 sprits », sur les espoirs et sur les craintes des citoyens , c’est-à-dire sur leurs imaginations, sur leurs fantasmes, sur leurs
11 r les Pouvoirs, dans cette « mise en fiches » des citoyens dont on accuse l’ordinateur d’être l’agent, alors qu’il n’en est que
12 en clairs. Le simple fait de mettre en fiches les citoyens pour toutes fins autres que d’état civil, de fisc, d’assurances socia
7 1984, Articles divers (1982-1985). Club-Énergie de l’Est vaudois : avec Denis de Rougemont (19 juin 1984)
13 u roi, puis de l’État moderne ; et la liberté des citoyens , des groupes, des communes, des régions, qui entendent tout simplemen
14 ef, un parti ou, au contraire, par l’ensemble des citoyens après une libre discussion. Le choix proprement politique est le choi
8 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage I] (1985)
15 s — et une anti-société d’asservissement total du citoyen à l’appareil d’un Parti-État. Je ne voudrais pas affirmer ici un seul
9 1985, Articles divers (1982-1985). L’agora, condition première de la démocratie réelle (décembre 1984-janvier 1985)
16 meilleure définition d’un espace dans lequel des citoyens peuvent échanger leurs vues, dialoguer. Elle est donc le fondement hi
17 etites dimensions, car elles seules permettent au citoyen de se faire entendre et de jouer un rôle actif, donc d’exercer des re
10 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
18 ire » et celui qui signe ses livres : « Rousseau, citoyen de Genève ». Elle fait des sciences physiques et naturelles, invente
19 on que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen fut l’œuvre des trois secrétaires genevois de Mirabeau, Étienne Dumon
11 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
20 rendre un sens concret, actif, c’est-à-dire où le citoyen soit appelé à se prononcer continuellement, pas seulement lorsqu’il v
12 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
21 travail d’écrivain et dans mon action d’homme, de citoyen . Je rappellerai d’abord la nature du défi que ma génération eut à rel
22 que Rousseau devait reprendre en l’appliquant aux citoyens de Genève réunis dans la cathédrale. D’où l’idée, dérivée de Proudhon
13 1994, Articles divers (1982-1985). Agora (1994)
23 ra est la meilleure définition d’un espace où des citoyens puissent échanger leurs vues, dialoguer. Elle est donc le fondement h
14 1994, Articles divers (1982-1985). URSS (1994)
24 qui traite des Droits et devoirs fondamentaux des citoyens . Les citoyens de l’URSS bénéficient et sont assurés par l’État des dr
25 Droits et devoirs fondamentaux des citoyens. Les citoyens de l’URSS bénéficient et sont assurés par l’État des droits suivants
26 cile et de la correspondance sont « garanties aux citoyens de l’URSS » et « protégées par la loi ». Le droit d’association (synd
27 , sports, culture, etc.) est également assuré aux citoyens , « alors que les citoyens les plus actifs et les plus conscients de l
28 st également assuré aux citoyens, « alors que les citoyens les plus actifs et les plus conscients de la classe ouvrière et des a
29 une loi mais aussi « un devoir d’honneur pour les citoyens de l’URSS ». Le trahir serait « le pire forfait », aux yeux de la loi
30 fédérée, mais tout comme les droits garantis aux citoyens , il est soumis à la restriction fondamentale posée par l’art. 39 : « 
15 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
31 rce de l’État ? C’est la somme des démissions des citoyens . C’est une très vieille histoire. Elle est déjà racontée au chapitre
32 tif parce qu’on regarde un match à la TV. Être un citoyen , c’est être responsable de la vie de la cité. C’est se gouverner soi-
33 n d’intercaler un compteur entre le soleil et les citoyens , ils nous répéteront — et c’est un mensonge — qu’il faut vingt ans en