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uelle l’école française est faite pour former des
citoyens
français. C’est tout juste s’il n’a pas parlé de sujets… Donc, en Fra
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et indivisible, est le premier devoir de tous les
citoyens
qui se veulent libres et responsables — l’un n’allant pas sans l’autr
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taille de l’homme », de telle manière que chaque
citoyen
puisse y faire entendre sa voix ; mais aussi, « à la taille de ses pr
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est ma patrie. Je me trouve donc automatiquement
citoyen
suisse. Mais j’appartiens à la Suisse qui parle français et je fais p
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ces dernières en expliquant comment l’on devient
citoyen
de l’une ou de l’autre. Oui, par l’intérieur pour devenir Suisse, et
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rie. Ne pensez-vous pas que l’on a « bluffé » les
citoyens
en introduisant une énorme confusion entre « patrie » et « État », du
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métaphore critiquable mais courante. En tant que
citoyen
de cette petite patrie, j’appartiens à la Confédération suisse qui me
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la participation correspond à un besoin réel des
citoyens
? » Non ! Elle correspond à une nécessité absolue, sans laquelle il n
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te aux yeux : s’il n’y a pas de participation des
citoyens
, il n’y a pas de société, en tout cas pas démocratique. VII. Du ch
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sprits », sur les espoirs et sur les craintes des
citoyens
, c’est-à-dire sur leurs imaginations, sur leurs fantasmes, sur leurs
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r les Pouvoirs, dans cette « mise en fiches » des
citoyens
dont on accuse l’ordinateur d’être l’agent, alors qu’il n’en est que
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en clairs. Le simple fait de mettre en fiches les
citoyens
pour toutes fins autres que d’état civil, de fisc, d’assurances socia
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u roi, puis de l’État moderne ; et la liberté des
citoyens
, des groupes, des communes, des régions, qui entendent tout simplemen
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ef, un parti ou, au contraire, par l’ensemble des
citoyens
après une libre discussion. Le choix proprement politique est le choi
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s — et une anti-société d’asservissement total du
citoyen
à l’appareil d’un Parti-État. Je ne voudrais pas affirmer ici un seul
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meilleure définition d’un espace dans lequel des
citoyens
peuvent échanger leurs vues, dialoguer. Elle est donc le fondement hi
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etites dimensions, car elles seules permettent au
citoyen
de se faire entendre et de jouer un rôle actif, donc d’exercer des re
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ire » et celui qui signe ses livres : « Rousseau,
citoyen
de Genève ». Elle fait des sciences physiques et naturelles, invente
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on que la Déclaration des droits de l’homme et du
citoyen
fut l’œuvre des trois secrétaires genevois de Mirabeau, Étienne Dumon
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rendre un sens concret, actif, c’est-à-dire où le
citoyen
soit appelé à se prononcer continuellement, pas seulement lorsqu’il v
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travail d’écrivain et dans mon action d’homme, de
citoyen
. Je rappellerai d’abord la nature du défi que ma génération eut à rel
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que Rousseau devait reprendre en l’appliquant aux
citoyens
de Genève réunis dans la cathédrale. D’où l’idée, dérivée de Proudhon
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ra est la meilleure définition d’un espace où des
citoyens
puissent échanger leurs vues, dialoguer. Elle est donc le fondement h
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qui traite des Droits et devoirs fondamentaux des
citoyens
. Les citoyens de l’URSS bénéficient et sont assurés par l’État des dr
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Droits et devoirs fondamentaux des citoyens. Les
citoyens
de l’URSS bénéficient et sont assurés par l’État des droits suivants
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cile et de la correspondance sont « garanties aux
citoyens
de l’URSS » et « protégées par la loi ». Le droit d’association (synd
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, sports, culture, etc.) est également assuré aux
citoyens
, « alors que les citoyens les plus actifs et les plus conscients de l
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st également assuré aux citoyens, « alors que les
citoyens
les plus actifs et les plus conscients de la classe ouvrière et des a
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une loi mais aussi « un devoir d’honneur pour les
citoyens
de l’URSS ». Le trahir serait « le pire forfait », aux yeux de la loi
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fédérée, mais tout comme les droits garantis aux
citoyens
, il est soumis à la restriction fondamentale posée par l’art. 39 : «
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rce de l’État ? C’est la somme des démissions des
citoyens
. C’est une très vieille histoire. Elle est déjà racontée au chapitre
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tif parce qu’on regarde un match à la TV. Être un
citoyen
, c’est être responsable de la vie de la cité. C’est se gouverner soi-
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n d’intercaler un compteur entre le soleil et les
citoyens
, ils nous répéteront — et c’est un mensonge — qu’il faut vingt ans en