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aires] (1982)a Un des buts principaux de notre
colloque
était d’examiner pourquoi certaines nations durent, grâce à leur cult
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. Elle risquait en effet de vider d’avance un tel
colloque
de son contenu : je niais l’existence de « cultures nationales », pou
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réflexion. Cela pourrait être le sujet d’un autre
colloque
. Je crois que la condition de tout dialogue entre les différentes nat
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Voilà simplement quelques pistes. Pourquoi pas un
colloque
sur chacune d’elles ? a. Rougemont Denis de, « [Commentaires] L’Eu
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elle Europe ? (1983)r Mon intervention dans ce
colloque
résulte d’un malentendu initial sur son titre. Parce que cela me conv
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84)ab La première conclusion que je tire de ce
colloque
de trois jours, c’est notre reconnaissance unanime pour la Fondation
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Veillon qui la représente parmi nous ce matin. Ce
colloque
n’a ressemblé à rien de ce que j’ai connu jusqu’ici. Vous savez comme
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rtante que celle que l’on trouve dans beaucoup de
colloques
réunissant professeurs et experts avec leurs convictions que chacun c
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re, puisque c’est lui qui est l’occasion de notre
colloque
. J’avais passé la première année de la guerre mobilisé dans l’armée s
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vement fédéraliste. Si bien que l’un des premiers
colloques
organisés par notre Campagne d’éducation civique européenne a pris po
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région, sur laquelle nous avions tenu de nombreux
colloques
à Genève dès 1962. De cette convergence est née dans mon esprit l’idé
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où un succès, attesté entre autres par le présent
colloque
, auquel je n’avais pas été habitué par mes autres livres, trop diffic
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la démarche qui me semble avoir caractérisé notre
colloque
. Cela s’est centré tout de suite et tout naturellement sur le problèm
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r l’Europe. Il me paraît significatif que dans ce
colloque
, il se soit trouvé que le premier rapport, celui de M. Hell, portait
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voyais des conclusions pratiques se dégager de ce
colloque
. Je voudrais vous rappeler quelques-unes de celles qui ont été suggér
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lection de volumes à La Baconnière ; et enfin des
colloques
, séminaires et congrès, qui ont rassemblé à la Villa Moynier, siège g
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un tout autre bien que nos télévisions, radios et
colloques
par milliers dans le monde entier. Moins de bien : car Orwell, à mon
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e européen [conclusion] (1984)ac En ouvrant ce
colloque
, le professeur Jacques Freymond affirmait ne pas savoir très bien com
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us généralement approuvée parmi les membres de ce
colloque
, tant de l’Est que de l’Ouest ou du Centre. C’est une des leçons réco
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⁂ Et maintenant deux remarques générales sur nos
colloques
. Ce que nous avons essayé de faire dans celui-ci, comme dans celui de
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de remarque générale va porter sur l’avenir de ce
colloque
, dont je pense qu’il devra se modeler sur l’avenir européen. Cet aven
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hniques ? Serait-il raisonnable de proposer à ce
colloque
qu’il prenne en compte cette approche multiple, contribuant ainsi à l
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remerciant en votre nom à tous pour le très beau
colloque
qui se clôt ce matin, l’un des plus fructueux et encourageants auxque
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rimoine européen : unité et singularité. Actes du
colloque
organisé au Centre d’études pratiques de la négociation international