1 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
1 aires] (1982)a Un des buts principaux de notre colloque était d’examiner pourquoi certaines nations durent, grâce à leur cult
2 . Elle risquait en effet de vider d’avance un tel colloque de son contenu : je niais l’existence de « cultures nationales », pou
3 réflexion. Cela pourrait être le sujet d’un autre colloque . Je crois que la condition de tout dialogue entre les différentes nat
4 Voilà simplement quelques pistes. Pourquoi pas un colloque sur chacune d’elles ? a. Rougemont Denis de, « [Commentaires] L’Eu
2 1983, Articles divers (1982-1985). La Suisse et quelle Europe ? (1983)
5 elle Europe ? (1983)r Mon intervention dans ce colloque résulte d’un malentendu initial sur son titre. Parce que cela me conv
3 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
6 84)ab La première conclusion que je tire de ce colloque de trois jours, c’est notre reconnaissance unanime pour la Fondation
7 Veillon qui la représente parmi nous ce matin. Ce colloque n’a ressemblé à rien de ce que j’ai connu jusqu’ici. Vous savez comme
8 rtante que celle que l’on trouve dans beaucoup de colloques réunissant professeurs et experts avec leurs convictions que chacun c
9 re, puisque c’est lui qui est l’occasion de notre colloque . J’avais passé la première année de la guerre mobilisé dans l’armée s
10 vement fédéraliste. Si bien que l’un des premiers colloques organisés par notre Campagne d’éducation civique européenne a pris po
11 région, sur laquelle nous avions tenu de nombreux colloques à Genève dès 1962. De cette convergence est née dans mon esprit l’idé
12 où un succès, attesté entre autres par le présent colloque , auquel je n’avais pas été habitué par mes autres livres, trop diffic
13 la démarche qui me semble avoir caractérisé notre colloque . Cela s’est centré tout de suite et tout naturellement sur le problèm
14 r l’Europe. Il me paraît significatif que dans ce colloque , il se soit trouvé que le premier rapport, celui de M. Hell, portait
15 voyais des conclusions pratiques se dégager de ce colloque . Je voudrais vous rappeler quelques-unes de celles qui ont été suggér
4 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
16 lection de volumes à La Baconnière ; et enfin des colloques , séminaires et congrès, qui ont rassemblé à la Villa Moynier, siège g
5 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
17 un tout autre bien que nos télévisions, radios et colloques par milliers dans le monde entier. Moins de bien : car Orwell, à mon
6 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
18 e européen [conclusion] (1984)ac En ouvrant ce colloque , le professeur Jacques Freymond affirmait ne pas savoir très bien com
19 us généralement approuvée parmi les membres de ce colloque , tant de l’Est que de l’Ouest ou du Centre. C’est une des leçons réco
20 ⁂ Et maintenant deux remarques générales sur nos colloques . Ce que nous avons essayé de faire dans celui-ci, comme dans celui de
21 de remarque générale va porter sur l’avenir de ce colloque , dont je pense qu’il devra se modeler sur l’avenir européen. Cet aven
22 hniques ? Serait-il raisonnable de proposer à ce colloque qu’il prenne en compte cette approche multiple, contribuant ainsi à l
23 remerciant en votre nom à tous pour le très beau colloque qui se clôt ce matin, l’un des plus fructueux et encourageants auxque
24 rimoine européen : unité et singularité. Actes du colloque organisé au Centre d’études pratiques de la négociation international