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e sous-jacent, on a pu arriver à un développement
culturel
merveilleux et vraiment très européen, qui est le développement de la
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hommes italiens ont prétendu reconquérir l’unité
culturelle
du pays, alors qu’ils ne faisaient que reproduire une unité, restauré
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Il y a le langage commun, la musique, l’héritage
culturel
européen, mais ce langage commun étant symphonique, ne peut s’exprime
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e (Bretagne, Pays basque), linguistique (Alsace),
culturelle
(Occitanie), géographique-écologique (lémano-alpine), économique (Reg
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Hommage à l’Alliance
culturelle
romande pour ses 20 ans (octobre 1982)q À l’occasion de notre 20e
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de meilleur : une Alliance, et même une alliance
culturelle
, la plus sûre et peut-être la plus vraie. Voilà le miracle que nous c
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q. Rougemont Denis de, « Hommage à l’Alliance
culturelle
romande pour ses 20 ans », Cahiers de l’Alliance culturelle romande,
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romande pour ses 20 ans », Cahiers de l’Alliance
culturelle
romande, Genève, octobre 1982, p. 207.
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rophétiques, à concilier la défense d’un héritage
culturel
incessamment enrichissant, avec l’urgence de changer le monde afin de
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fonder et développer l’union sociale, écologique,
culturelle
et politique des peuples du continent sur la base du traité de Rome,
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s à Bruxelles pour légiférer sur le développement
culturel
, social, politique et nécessairement militaire des vingt-deux pays du
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n du gouvernement, de l’économie et des activités
culturelles
, leur paraît la condition même d’une renaissance civique, économique
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ion même d’une renaissance civique, économique et
culturelle
de leur pays. La Suisse ne pourrait adhérer qu’à une union de type fé
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tion première) et le Conseil de l’Europe l’agence
culturelle
. On pourrait aboutir de la sorte à un exécutif européen doté de pouvo
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tidien, du monde des valeurs morales, politiques,
culturelles
et spirituelles, et qui ne concernait que le seul secteur économique,
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es, non seulement économiques, mais politiques et
culturelles
, par exemple. Or, je ne vois pas en quoi et pourquoi des gens qui son
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rts économiques seraient chargés du développement
culturel
de l’Europe. Cela n’est pas leur affaire. Le Conseil de l’Europe, à S
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’éthique et de politique européenne, à résultante
culturelle
, devenue après quelques années de polémiques autour du nucléaire : «
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l d’Aoste, le Québec, et les élites politiques et
culturelles
de nombreux pays du Maghreb et de l’Afrique noire. Impossible de fair
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ler à la réalité physique, humaine, économique et
culturelle
. Mais il y a tout de même, à la base du fédéralisme et quelle que soi
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rapport, celui de M. Hell, portait sur des choses
culturelles
. C’est tout à fait juste. La base de l’Europe, son unité, sans laquel
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Winston Churchill, et dont j’ai assumé la partie
culturelle
présidée à La Haye par Salvador de Madariaga, Paul van Zeeland et Lor
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yaumont, à la Chambre des communes, la commission
culturelle
du congrès a mis au point non seulement le Rapport culturel, mais bie
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u congrès a mis au point non seulement le Rapport
culturel
, mais bien plus que cela : « Le Message aux Européens », qui devait c
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e 800 délégués et 200 journalistes, la commission
culturelle
était présidée par Salvador de Madariaga, Ignazio Silone ayant déclin
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’initier, d’animer et de réaliser des entreprises
culturelles
susceptibles de contribuer à la formation d’une opinion européenne. A
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éthodes de l’action pour l’Europe dans le domaine
culturel
, au sens le plus large du terme, qui englobait non seulement les lett
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, c’est-à-dire, à mon sens, détachés des réalités
culturelles
fondamentales de notre temps. Cette évolution de l’intelligentsia eur
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llénaires. Fonder l’union de l’Europe sur l’unité
culturelle
des Européens — Athènes, Rome, Jérusalem, bien sûr, mais aussi les Ge
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à nous tous, celle du concept même de patrimoine
culturel
européen, selon la dialectique de ses ambiguïtés, pour ne pas dire de
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s frontières étatiques et d’action pour une union
culturelle
qui transcende les actuelles frontières stato-nationales. Quelques re
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a logique interne de tout débat sur le patrimoine
culturel
européen. Nous avons constaté que le patrimoine, au sens de passé don
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Vocation
culturelle
de la Suisse en Europe (septembre 1985)ap aq À deux titres au moin
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est aussi des formules d’évolution de la création
culturelle
de l’Europe : du Moyen Âge à nos jours, elle n’a cessé d’illustrer la
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onaco, 1953. ap. Rougemont Denis de, « Vocation
culturelle
de la Suisse en Europe », Passages, Zurich, septembre 1985, p. 3-4.
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le modèle d’une société respectueuse des valeurs
culturelles
; et d’abord, plus spécifiquement, des valeurs de communauté vivante,
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s, aux organisations de la jeunesse, aux sociétés
culturelles
». Ce qui revient en fait (voir supra, art. 126) à subordonner toute