1 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
1 e sous-jacent, on a pu arriver à un développement culturel merveilleux et vraiment très européen, qui est le développement de la
2 hommes italiens ont prétendu reconquérir l’unité culturelle du pays, alors qu’ils ne faisaient que reproduire une unité, restauré
3 Il y a le langage commun, la musique, l’héritage culturel européen, mais ce langage commun étant symphonique, ne peut s’exprime
2 1982, Articles divers (1982-1985). Des régions à la paix pour l’union de l’Europe (juillet-août 1982)
4 e (Bretagne, Pays basque), linguistique (Alsace), culturelle (Occitanie), géographique-écologique (lémano-alpine), économique (Reg
3 1982, Articles divers (1982-1985). Hommage à l’Alliance culturelle romande pour ses 20 ans (octobre 1982)
5 Hommage à l’Alliance culturelle romande pour ses 20 ans (octobre 1982)q À l’occasion de notre 20e
6 de meilleur : une Alliance, et même une alliance culturelle , la plus sûre et peut-être la plus vraie. Voilà le miracle que nous c
7 q. Rougemont Denis de, « Hommage à l’Alliance culturelle romande pour ses 20 ans », Cahiers de l’Alliance culturelle romande,
8 romande pour ses 20 ans », Cahiers de l’Alliance culturelle romande, Genève, octobre 1982, p. 207.
4 1982, Articles divers (1982-1985). Un écrivain au service de la cité (24 octobre 1982)
9 rophétiques, à concilier la défense d’un héritage culturel incessamment enrichissant, avec l’urgence de changer le monde afin de
5 1983, Articles divers (1982-1985). La Suisse et quelle Europe ? (1983)
10 fonder et développer l’union sociale, écologique, culturelle et politique des peuples du continent sur la base du traité de Rome,
11 s à Bruxelles pour légiférer sur le développement culturel , social, politique et nécessairement militaire des vingt-deux pays du
12 n du gouvernement, de l’économie et des activités culturelles , leur paraît la condition même d’une renaissance civique, économique
13 ion même d’une renaissance civique, économique et culturelle de leur pays. La Suisse ne pourrait adhérer qu’à une union de type fé
14 tion première) et le Conseil de l’Europe l’agence culturelle . On pourrait aboutir de la sorte à un exécutif européen doté de pouvo
6 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
15 tidien, du monde des valeurs morales, politiques, culturelles et spirituelles, et qui ne concernait que le seul secteur économique,
16 es, non seulement économiques, mais politiques et culturelles , par exemple. Or, je ne vois pas en quoi et pourquoi des gens qui son
17 rts économiques seraient chargés du développement culturel de l’Europe. Cela n’est pas leur affaire. Le Conseil de l’Europe, à S
18 ’éthique et de politique européenne, à résultante culturelle , devenue après quelques années de polémiques autour du nucléaire : « 
19 l d’Aoste, le Québec, et les élites politiques et culturelles de nombreux pays du Maghreb et de l’Afrique noire. Impossible de fair
20 ler à la réalité physique, humaine, économique et culturelle . Mais il y a tout de même, à la base du fédéralisme et quelle que soi
21 rapport, celui de M. Hell, portait sur des choses culturelles . C’est tout à fait juste. La base de l’Europe, son unité, sans laquel
7 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
22 Winston Churchill, et dont j’ai assumé la partie culturelle présidée à La Haye par Salvador de Madariaga, Paul van Zeeland et Lor
23 yaumont, à la Chambre des communes, la commission culturelle du congrès a mis au point non seulement le Rapport culturel, mais bie
24 u congrès a mis au point non seulement le Rapport culturel , mais bien plus que cela : « Le Message aux Européens », qui devait c
25 e 800 délégués et 200 journalistes, la commission culturelle était présidée par Salvador de Madariaga, Ignazio Silone ayant déclin
26 ’initier, d’animer et de réaliser des entreprises culturelles susceptibles de contribuer à la formation d’une opinion européenne. A
27 éthodes de l’action pour l’Europe dans le domaine culturel , au sens le plus large du terme, qui englobait non seulement les lett
28 , c’est-à-dire, à mon sens, détachés des réalités culturelles fondamentales de notre temps. Cette évolution de l’intelligentsia eur
29 llénaires. Fonder l’union de l’Europe sur l’unité culturelle des Européens — Athènes, Rome, Jérusalem, bien sûr, mais aussi les Ge
8 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
30 à nous tous, celle du concept même de patrimoine culturel européen, selon la dialectique de ses ambiguïtés, pour ne pas dire de
31 s frontières étatiques et d’action pour une union culturelle qui transcende les actuelles frontières stato-nationales. Quelques re
32 a logique interne de tout débat sur le patrimoine culturel européen. Nous avons constaté que le patrimoine, au sens de passé don
9 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
33 Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)ap aq À deux titres au moin
34 est aussi des formules d’évolution de la création culturelle de l’Europe : du Moyen Âge à nos jours, elle n’a cessé d’illustrer la
35 onaco, 1953. ap. Rougemont Denis de, « Vocation culturelle de la Suisse en Europe », Passages, Zurich, septembre 1985, p. 3-4.
10 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
36 le modèle d’une société respectueuse des valeurs culturelles  ; et d’abord, plus spécifiquement, des valeurs de communauté vivante,
11 1994, Articles divers (1982-1985). URSS (1994)
37 s, aux organisations de la jeunesse, aux sociétés culturelles  ». Ce qui revient en fait (voir supra, art. 126) à subordonner toute