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acifistes de mon espèce sont conscients et qu’ils
dénoncent
, mais l’idée que ces manifestations sont uniquement le fruit de telle
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dictoire en soi, pour des raisons bien évidentes.
Dénoncer
le dogme meurtrier de la souveraineté nationale absolue et indivisibl
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ction créatrice, et son illusion majeure, bientôt
dénoncée
comme telle par les décisions du général de Gaulle, au nom d’un prest
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e dire ici : le vrai danger n’est pas là où on le
dénonce
trop facilement, dans le contrôle allégué de nos vies privées par les
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r capitale. Les adversaires des centrales qui les
dénoncent
comme gigantesques, trop chères et trop dangereuses, ignorent qu’ils
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trop chères et trop dangereuses, ignorent qu’ils
dénoncent
là les raisons mêmes qui font que nos États les adoptent. Car « très
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ique en vue de la guerre et de l’État totalitaire
dénoncé
comme étant l’« état de guerre en permanence » — phrase illustrée tou
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a Russie soviétique et l’Italie, nous voulions le
dénoncer
et le combattre dans ses causes, partout où nous sentions sa menace d
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sme à la française ». Préconiser une chose, ou la
dénoncer
d’avance, c’est tout de même un peu différent, n’est-ce pas ? Au rest
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nce de cause, par un mensonge délibéré, il nous a
dénoncés
comme fascistes sur ordre du Parti. Le totalitaire, c’était lui. Voil
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t néanmoins avoir lieu. » Suivent des pages où il
dénonce
le projet scientiste hérité du xixe siècle : « L’illusion, nous dit-
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de l’application infaillible d’un savoir. » Et il
dénonce
la perversité de nos prévisions sur l’avenir. Je cite encore : « Le m
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trouvables, faute d’avoir été réédités. Rougemont
dénonçait
, dès le début des années 1930, l’inviabilité des systèmes totalitaire