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upez-vous plus particulièrement des régions ? Ces
dernières
années, j’ai proposé à Ecoropa de s’occuper des régions, d’établir un
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ontrez très bien la différence d’esprit entre ces
dernières
en expliquant comment l’on devient citoyen de l’une ou de l’autre. Ou
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elle englobât deux cantons mixtes et que le petit
dernier
ne fût pas encore né. De tout cela, notre ami Weber-Perret fit ce que
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le Journal d’un Européen, portant sur ces trente
dernières
années. Enfin, je travaille toujours à l’ouvrage que je considère com
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Berlin. Et Léon Blum écrit : « Hitler a perdu ses
dernières
chances d’accéder au pouvoir. » S’ensuivent des marchandages cyniques
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ie au carnaval et à l’angoisse », je parlais du «
dernier
carnaval de cette bourgeoisie dont je viens d’admirer les trésors pat
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ur l’occupation de Prague, que nous vivions « les
derniers
jours du bon vieux temps européen ». Ce fut la guerre, cinq mois plus
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s, les communautés, les régions et l’Europe comme
dernier
palier, avant une fédération mondiale, requise à beaucoup d’égards, e
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ici au cœur du débat qui nous a occupés ces deux
derniers
jours. Je crois que nous avons bien fait de ne pas nous attarder à to
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ert, sœur de mon père) évoquent le Saint-Aubin du
dernier
siècle, celui de mon arrière-grand-père Denis, de sa première femme n
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re européenne. C’est en somme surtout à ces trois
dernières
sources que je dois d’en être venu à découvrir, dans les années 1930,
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j’avais écrit le Post-scriptum que voici : Un
dernier
mot, et dire que j’allais l’oublier ! La Bombe n’est pas dangereuse d
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de faire dans celui-ci, comme dans celui de l’an
dernier
, c’est peut-être ce que Nietzsche appelait de ses vœux. Laissez-moi v
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l m’ait été donné de prendre part au cours de ces
dernières
années. ac. Rougemont Denis de, « [Conclusion] Le patrimoine europ
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hacun se réclamait. Cette scène se place aux tout
derniers
jours d’octobre 1932, il y a donc très exactement cinquante ans. Une
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l’air sombre et me dit d’entrée de jeu : « Votre
dernier
livre est un livre dangereux ! J’ai pu le voir, par les réactions d’E
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: « Il semble que Breton soit très gêné par votre
dernier
livre. Trop chrétien, sans doute, à ses yeux. Moi, vous savez… Je cro
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ous serrer la main ! J’ai peur d’être Don Juan au
dernier
acte… » Il s’arrête. « June homme ! Moi, je vais vous en dire une ! A
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ès que nous sommes installés, l’explication de ma
dernière
lettre. Comme vous le savez, j’habitais à Cully, chez Budry. Il estim
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héologico-politique dans le mien — j’ajouterai un
dernier
élément de similitude, non le moins significatif : quel que soit le s
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livre de Staro. Mais il y a plus. Dans les vingt
dernières
pages du livre, intitulées : « Après Montaigne », Starobinski baisse
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nise, Genève, Iéna, Weimar… Vienne et Paris : ces
dernières
villes vont redevenir au xxe siècle les deux foyers de l’ellipse Eur
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u tout vieux, mais je découvre que je suis un des
derniers
survivants de cette génération qui s’est déclarée entre 1932 et 1939.
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s ; et les 600 milliards de dollars dépensés l’an
dernier
pour les armements, la plus grosse dépense jamais faite depuis que l’
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es 11 républiques qui constituaient la Russie des
derniers
tsars, à quoi s’ajouteront en 1940 et 1941 les provinces occupées pui
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l’État ». Or le fait que le PC jugera toujours en
dernier
ressort des vrais intérêts de l’État, suffit à vider de toute substan