1 nion, dans sa fédération, sur la base même de ses différences . Si elle n’arrive pas à se fédérer, c’est-à-dire à dépasser le tabou

2 e. Donc, il nous faut établir le dialogue sur nos différences , et pour que ce dialogue soit utile, il faut qu’il y ait un langage c

3 alors dans quelle mesure peut-on encore parler de différences nationales dans l’usage, la création, la consommation de la culture,

4 yen Âge. Il n’y a jamais eu volonté d’effacer les différences . Et encore plus différent du modèle français, il y a l’Empire austro

5 ation des États-Unis. Vous démontrez très bien la différence d’esprit entre ces dernières en expliquant comment l’on devient citoy

6 olonté de respecter les spécificités locales, les différences quelles qu’elles soient, et la volonté de se fédérer en ensembles tou

7 ne pourrait pas créer d’union — il y a une énorme différence entre ces deux mots : l’unité, c’est une donnée de base, l’union, c’e

8 nt d’égards, me donnait comme une sensation de la différence , de l’identité européenne, et une nostalgie lancinante, révélatrice d

9 ocratique, mais que nous préférons nommer ici les différences , voir l’antagonisme entre le centralisme démocratique, tel qu’il se n