1 is au début des années 1930, où l’on m’offrait de diriger une maison d’édition. Dès ce moment-là, j’ai été plongé dans un bouil

2 uf dans ce cas-là, à condition que ce ne soit pas dirigé contre des hommes, mais contre des relais du pouvoir central, tels qu

3 e Bernhard des Pays-Bas, et que j’ai instituée et dirigée au siège de notre Centre d’abord, pendant deux ans, grâce à l’appui c

4 pour le PCF. Le 15 janvier 1933, la revue Europe, dirigée par Jean Guéhenno (dont j’ai cité tout à l’heure la lettre à Romain R

5 à un autre sujet. J’en étais arrivé à penser que diriger la NRF était sans doute une tâche si complexe, et à tant d’égards p

6 t chaque jour une bonne vingtaine de ces billets. Diriger une revue avec génie, c’est cela : être partout présent, toujours à t

7 dérais comme la meilleure de l’époque. Elle était dirigée par Paul Valéry, Léon-Paul Fargue et Valery Larbaud. Pour le jeune éc

8 e « la vie économique de l’URSS est déterminée et dirigée par le plan d’État » en vue d’affermir l’indépendance de l’URSS et de

9 l’art. 6 : « le Parti communiste est la force qui dirige et oriente la société soviétique, c’est l’élément central de son syst