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es premiers livres, il lance le mot d’ordre de “l’
engagement
de l’écrivain”. Dans le dernier, il nous rappelle que L’Avenir est n
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ce frisant la coquetterie, il fonda les notions d’
engagement
et d’homme libre et responsable, que Sartre reprit à son compte. Là-d
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i viennent accidents et malentendus, violations d’
engagements
, attaques surprises, coups de folie ou actes terroristes individuels
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is un peu responsable de la création du concept d’
engagement
de l’écrivain, dès 1932-1933 (quand Sartre était encore dans les lang
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s-guerre. Mais votre prise de conscience et votre
engagement
européen ne remontent-ils pas, avant les États-Unis, aux années 1930,
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nde que je me dérobe, étant l’auteur du concept d’
engagement
de l’écrivain et de la définition de l’homme à la fois libre et respo
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phrase me revenait de tous côtés, et c’était « l’
engagement
, comme dit Sartre… » Je lui ai laissé le mot, et j’ai gardé la chose.
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e problème de la compatibilité entre l’œuvre et l’
engagement
qui se pose dans votre cas. Je répondrai d’une manière toute factuell
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nière toute factuelle. Durant les années de mon «
engagement
» européen — préparation, direction effective, présidence du Centre,
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tes et des représentants des Églises — prennent l’
engagement
solennel d’appuyer de tous leurs efforts la création d’une fédération
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ir chaque jour ». C’est ce que nous permettra mon
engagement
un mois plus tard comme « senior script-writer » des émissions quotid
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n dépit de sa méfiance justifiée à l’endroit de l’
engagement
tel qu’on le parle, Starobinski n’a jamais négligé le devoir civique
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nécessaire des idées, ou en d’autres termes, de l’
engagement
dans l’actuel. Ce que Starobinski va nous montrer au long des sept i
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ités »… Combien d’autres ont dit ou écrit que mes
engagements
européens étaient « au détriment de mon œuvre littéraire ». Je serais