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me répondre en me disant que la probabilité était
faible
, et qu’il existait une menace bien plus dangereuse : les fusées des 2
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ffirmant que la probabilité d’accident était trop
faible
pour qu’ils en tiennent compte. Mais ce ne sont pas les mêmes qui m’o
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stes individuels ou collectifs, chances déjà bien
faibles
aujourd’hui, tendent vers zéro, comme le siècle tend vers sa fin. Tan
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s qu’il en supprime et ceux qui le nient sont des
faibles
d’esprit. Or le chômage n’a pas cessé d’augmenter depuis ce temps-là.