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cultures nationales. Il y a une culture qui s’est
formée
en Europe jusque vers l’an 1300 de notre ère et qui, ensuite, s’est b
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beaucoup enrichie. Mais enfin, l’essentiel s’est
formé
durant le premier millénaire de notre ère par la confluence des sourc
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l faut sauter jusqu’au xiiie siècle pour voir se
former
les premiers États que j’ai appelés États-nations. C’est la France de
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e cas de la Hongrie, l’un des tout premiers États
formés
en Europe. Nous l’avons vu lors des exposés de MM. Boldizsar et Molna
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t selon laquelle l’école française est faite pour
former
des citoyens français. C’est tout juste s’il n’a pas parlé de sujets…
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ue j’avais proposé à Ecoropa : des régions qui se
forment
spontanément un peu partout. Spontanément, c’est très important. Elle
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e formidable qu’il y a dans les esprits français,
formés
par l’école. C’est le minimum non pas pour que la situation redevienn
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ou Berdiaev. Et puis, des divers groupes que nous
formions
alors avec une trentaine de jeunes gens venus de tous les horizons, a
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u évoquer les circonstances dans lesquelles s’est
formé
et développé son “grand dessein”, entre passion et discernement lucid
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variable. De même, plusieurs communes pourraient
former
une région énergétique, comme d’autres formeraient une écorégion. Tou
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ent former une région énergétique, comme d’autres
formeraient
une écorégion. Tout à l’heure, en entendant parler M. Birre, il m’est
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une contradiction. C’est qu’ils ont l’esprit mal
formé
par Descartes ! Il n’y a aucune contradiction entre le pouvoir des pe
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ts français ? » De nombreuses voix dans la salle,
formée
de militants fédéralistes, ont répliqué : « Qu’est-ce que c’est que c
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mies. Les fédérations existantes n’ont jamais été
formées
par des catastrophes, mais par la nécessité de s’unir pour résister à
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uniforme et homogène. La fédération suisse s’est
formée
en vue de constituer la force nécessaire pour faire face aux pays voi
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oins bien avec les sources méditerranéennes, pour
former
un ensemble nouveau, riche de contrastes, bien plus : riche d’antinom
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blé par des pratiques et des idéaux communs. Pour
former
un groupe, il ne faut pas être trop ni trop peu. Il y a un optimum à
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du Gothard, en y laissant les semences de ce qui
formera
la Confédération suisse. On sait aujourd’hui que le pacte de 1291, di
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ité de ses origines. C’est une culture composite,
formée
d’apports alémaniques, romantsch, ladins, italophones et franco-prove
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es traditions communes et des idéaux communs, ils
forment
un tissu social, donc une communauté. Ils ne sont plus des individus
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du Gothard, en y laissant les semences de ce qui
formera
la Confédération suisse. À ce propos, on sait aujourd’hui que le Pact
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iques soviétiques qui pourront naître ». Elle est
formée
au départ de quatre républiques : Russie, Ukraine, Biélorussie et Féd