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égions sont dictées par la géographie : le bassin
genevois
; d’autres par la tradition linguistique, ethnique : l’Alsace. Les ré
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racines ou n’importe quoi ! Le chant national des
Genevois
Cé qu’è lainô est du pur franco-provençal. Quelque chose de tout cela
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gemont : elle se compose de 14 Neuchâtelois, de 2
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et de 16 étrangers. Or, ces étrangers ne sauraient être classés par n
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grès, qui ont rassemblé à la Villa Moynier, siège
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du CEC, des centaines d’intellectuels venus de toutes les parties du
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t commun, non sans relations intimes avec ce lieu
genevois
et cette formule européenne : le sens de ce qui est dû à la cité. En
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idéal politique que représente pour lui le peuple
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assemblé dans le « Temple de Saint-Pierre », comme il appelle la cath
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e et du citoyen fut l’œuvre des trois secrétaires
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de Mirabeau, Étienne Dumont, du Roveray et Reybaud ? Mais au tournant
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, et ceci par l’intermédiaire d’un Italien devenu
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, Sismondi ; d’un Vaudois qui deviendra plus tard Français : Benjamin