1
cultures « nationales », au sens ancien, dont la
grande
culture occitane, qui a été étouffée, et d’autres comme la bretonne,
2
ntinué, chacune pour elle-même, certaines avec un
grand
succès même au point de vue État-nation, comme la Hongrie, indépendan
3
s logiciens de Wittgenstein, Hilbert, Carnap ; la
grande
école de la musique dodécaphonique avec Schönberg et Berg ; la littér
4
euse crise de développement. Un certain nombre de
grands
hommes italiens ont prétendu reconquérir l’unité culturelle du pays,
5
e, le cas n’est pas trop différent. Vous avez une
grande
culture germanique, on peut le dire, parce que l’accent est fortement
6
Cette relation crée une communauté, pas celle des
grands
ensembles d’une ville où l’on ne connaît personne, mais une communaut
7
termes européens : Ne confiez jamais à une plus
grande
unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce que la famille pe
8
ance et l’Italie installaient à nos frontières de
grands
établissements où concentrer le haschisch pour le faire passer en Sui
9
mêmes qui m’ont opposé le danger « cent fois plus
grand
» présenté par les fusées atomiques des vingt-six silos du plateau d’
10
ont pointé leurs SS20. Ce danger « cent fois plus
grand
» a été signalé par M. Francis Perrin, de l’Académie des sciences, ph
11
« Des manifestations pacifistes encore plus
grandes
! » (2 juillet 1982)j k Comment considérez-vous les manifestations
12
agande et de la manipulation soviétiques. Le plus
grand
danger pour la paix du monde — le seul danger, disent les uns — serai
13
s-Unis et l’URSS. Faut-il parler d’un complot des
grands
, des puissants contre les peuples ? Je ne dirai jamais cela. Il n’exi
14
ions. Il faudrait qu’elles deviennent encore plus
grandes
, plus puissantes. Je ne nie pas qu’il y ait des tentatives de manipul
15
retien] Des manifestations pacifistes encore plus
grandes
! », La Liberté, Fribourg, 2 juillet 1982, p. 27. k. Propos recueill
16
visible. C’est en son nom que, ces jours-ci, deux
grands
États n’hésitent pas à s’affronter par les armes, courant le risque n
17
n mesure de gérer. « Ne confiez jamais à une plus
grande
unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce que la famille pe
18
ommunauté soit réelle, elle ne doit pas être trop
grande
mais de dimension « médiocre », disait Rousseau. Ou, comme disait Ari
19
me disait Aristote, que son nombre ne soit pas si
grand
que l’on ne puisse plus la réunir sur l’agora où chacun doit pouvoir
20
des Nations unies : Ne confiez jamais à la plus
grande
quantité ce que la plus petite peut faire, et mieux ! Jamais à la com
21
nt une fédération parce qu’elle est beaucoup trop
grande
. Toutefois, les Américains ont gardé un plus grand sentiment de la co
22
ande. Toutefois, les Américains ont gardé un plus
grand
sentiment de la communauté qu’en Europe. Un autre exemple nous est of
23
e, du stalinisme… L’État-nation est beaucoup trop
grand
pour être un véritable animateur des affaires quotidiennes dans le ca
24
’avais pensé, curieusement, que je deviendrais un
grand
chimiste. Je m’y étais exercé dans un laboratoire improvisé, chez mes
25
mais personnalistes. En outre, nous répondions au
grand
défi des nationalismes, du nazisme, du fascisme mussolinien et du sta
26
« À la veille de recevoir la haute distinction du
Grand
Prix Schiller (le 26 octobre à Genève) couronnant, après celles de Ra
27
ces dans lesquelles s’est formé et développé son “
grand
dessein”, entre passion et discernement lucide, romantisme et classic
28
nos contemporains capitaux. Dans la tradition des
grands
moralistes suisses, il est parvenu, en témoin clairvoyant de son époq
29
me combat ! La réforme qui vous causerait le plus
grand
plaisir ? Celle des concepts occidentaux de travail et de loisir, fin
30
le non-sens. Que faudra-t-il encore pour que les
Grands
comprennent cette évidence arithmétique : comparer n’a plus aucun sen
31
termes européens : Ne confiez jamais à une plus
grande
unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce que la famille pe
32
e mode du Conseil fédéral suisse, et recevant ses
grandes
directives politiques de l’Assemblée de Strasbourg et du Sénat des ré
33
du xxe siècle atteste seule sa réalité. Le plus
grand
théologien contemporain, Karl Barth, a écrit : « Le prophète n’a pas
34
ée de honte : « Comme il était petit ! Il n’était
grand
, comme Satan lui-même, que de la grandeur de nos misères secrètes. »
35
khardt, vous savez qui vous êtes, vous êtes de la
grande
famille Burckhardt de Bâle. Vous pourriez vous moquer d’un tel articl
36
silencieux, non qu’il veuille garder secrets ses
grands
desseins, mais parce qu’il ne sait pas de quoi parler. Ce vide du per
37
l’occuper. Je l’ai entendu prononcer l’un de ses
grands
discours, et je l’ai vu à la sortie de ce culte, debout dans sa voitu
38
outerraines qu’il se propose d’opérer : Tous les
grands
mouvements de l’Histoire sont des éruptions volcaniques de passions e
39
e tout temps les forces qui ont produit les plus
grands
changements dans le monde ont été trouvées non pas dans la connaissan
40
èbrent ! Et c’est une liturgie qui se déroule, la
grande
cérémonie sacrale d’une religion dont je ne suis pas, et qui m’écrase
41
s dans la situation de l’Europe à la veille de sa
grande
catastrophe. La question qui se posait alors à l’inquiétude de trop r
42
nichtet (le néant néantit) », venait d’écrire le
grand
philosophe Heidegger — un temps séduit par les mythes du nazisme. Aya
43
os et Julien Benda, des Italiens, des Anglais, un
grand
philosophe marxiste hongrois, Georges Lukacs… — rendez-vous vraiment
44
n’a pas été facile, car à la suite d’une série de
grandes
manifestations, telles que le Congrès de l’Europe à La Haye en 1948 e
45
cette guerre, qui serait comme on l’a dit hier le
grand
incendie final, la fin de l’histoire, et sinon de la terre et de l’un
46
r M. Birre, il m’est venu une autre idée. Dans la
grande
discussion sur les régions introduite en France par François Perroux,
47
suisses. La voici : Ne confiez jamais à une plus
grande
unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce que la famille pe
48
a commune, les chemins vicinaux, à la région, les
grandes
routes, à la fédération (de régions ou nationale), les autoroutes. On
49
européenne. Un certain nombre de tâches sont trop
grandes
pour être réglées par la fédération européenne, et pour celles-là, il
50
pouvoir des petites autonomies et le pouvoir des
grandes
fédérations : c’est un seul et même mouvement qui crée les deux. Une
51
’un pied à la fois sur la terre ! Et s’il fait un
grand
bond, il n’a plus aucun pied sur la terre, mais il va très loin ! Je
52
ossibilité non seulement d’un institut mais d’une
grande
action qui serait à la fois à l’échelle régionale et à l’échelle plan
53
helle » des sociétés Il pose au départ que les
grands
systèmes permettent seuls le haut niveau de vie. C’est simplement nie
54
vie, fait partie des pays de l’Est, ce qui est un
grand
succès pour notre mouvement. Quant à « exclure » la possibilité d’une
55
ui puisse jouir en même temps des avantages de la
grande
et de la petite échelle, il y a deux-cents ans que Rousseau a réfuté
56
anéantissants, comme ils le sont à l’échelle des
grands
États-nations. IV. De la nécessité des fondements sacrés Il a r
57
onalistes aujourd’hui. Nous en avons assez de ces
grands
entraînements, de ces grands mythes. Ceux qui cherchent cela n’ont ri
58
n avons assez de ces grands entraînements, de ces
grands
mythes. Ceux qui cherchent cela n’ont rien à trouver à Crêt-Bérard !
59
abord, puis de les fédérer en régions, ensuite en
grandes
fédérations continentales, finalement, en une fédération mondiale. Qu
60
pour créer l’équivalent en énergie solaire d’une
grande
centrale nucléaire de 1000 mégawatts recouvriraient 3 départements fr
61
é : « Qu’est-ce que c’est que cette obsession des
grandes
centrales ? L’intérêt de l’énergie solaire c’est justement qu’elle no
62
solaire c’est justement qu’elle nous dispense des
grandes
centrales et qu’elle peut être dispersée chez tout le monde, même jus
63
sent simplement : « Nourrir l’humanité va être le
grand
problème dans la crise terrible dans laquelle nous entrons, les famin
64
se voudrait exclusif. Les kibboutzim ont de très
grandes
vertus, mais ne comprennent que 3 % de la population d’Israël, et c’e
65
Saint-Empire romain de nation germanique dont le
grand
fondateur, Othon Ier, deux rois de France, une reine d’Angleterre, No
66
ous puissions nous sentir descendants de tous ces
grands
noms. Combien je voudrais que me soient parvenues, du fond des siècle
67
e temps, dans nos petits pays surtout, sont de la
grande
famille européenne. (On eût fait rire un Flamand d’avant Napoléon en
68
nds. Rilke d’abord, et surtout Hölderlin, le plus
grand
depuis Dante, et dans les mêmes années, Valéry, Unamuno, notre Ramuz,
69
ion, inconnue ou condamnée dans toutes les autres
grandes
cultures de l’humanité, à la seule exception de quelques œuvres japon
70
el Duchamp et Max Ernst, l’éditeur Kurt Wolff, le
grand
poète Wystan Auden, les compositeurs Bohuslav Martinů, Arthur Lourié,
71
nda, Georges Bernanos, Stephen Spender et même le
grand
philosophe marxiste de l’époque, le Hongrois Georg Lukács, j’ai soute
72
rope que ceux de votre génération et de celle des
grands
aînés que vous avez cités. Est-ce à vos yeux décourageant ? Il est ce
73
250 députés à nos divers parlements nationaux, de
grands
intellectuels, des chefs syndicalistes et des représentants des Églis
74
ut public, suprême chance de la paix et gage d’un
grand
avenir, pour cette génération et celles qui la suivront ». Et cette
75
et c’est elle seule, qui s’est dressée contre la
grande
puissance totalitaire de l’Est et qui l’a comme frappée de stupeur in
76
la Guerre, c’est la Paix. Voilà donc le premier
grand
But atteint. Quant au second, qui est de rendre impossible non seulem
77
ns nos bureaux ou ateliers, dans les cafés ou les
grands
magasins, nous sommes environnés, sollicités, traversés sans le savoi
78
appeler au Petit Frère farceur contre le sinistre
Grand
Frère. ⁂ Soyons sérieux. L’ordinateur est un outil, on ne peut pas l
79
la réponse : selon les estimations d’une des plus
grandes
firmes américaines « sur un total dépassant 50 millions d’emplois exi
80
oser à Papert cette phrase si belle d’un des plus
grands
experts actuels de l’informatique, Joseph Welzenbaum : « Il est diffi
81
eting, qui joue sur la puérilité des réactions du
grand
public. Je voudrais que l’on cesse d’écrire des phrases comme celle-c
82
imilitude ou plutôt le contraste m’a frappé : les
grands
monuments symboliques de la civilisation du Moyen Âge ont été les cat
83
rd’hui pour faire coopérer les intellectuels à la
grande
tâche de fédérer les Européens. Je cite : Grâce aux divisions morbid
84
à un vaste exercice académique de comparatisme à
grande
échelle, mais sans action, je propose que ce Dialogue des cultures s’
85
t ces réalités sont-elles vues et vécues dans les
grandes
cultures qui se partagent notre monde : Inde, Chine, Japon, Afrique n
86
les définitions du travail et du loisir, dans ces
grandes
cultures, approcher d’une manière toute nouvelle le problème crucial
87
s qui font que nos États les adoptent. Car « très
grand
» suppose, qu’on le veuille ou non : très centralisé. « Très cher » i
88
ité de leur entreprise, mais de permettre au plus
grand
nombre la réalisation de leur vocation. De leur personne. Le problème
89
i. Par ailleurs, le même Club-Énergie annonce une
grande
séance d’information et de travail pour le lundi 25 juin prochain, à
90
vais vous apporter moins un « témoignage », bien
grand
mot, que quelques souvenirs, personnels, bien sûr, mais aussi précis
91
er Vitrac, poète surréaliste qui avait l’air d’un
grand
garçon boucher, gentil d’ailleurs. Tandis que je les salue : « Ah ! R
92
ix pages en deux lignes. Modèle unique, hélas, au
grand
jamais inégalable. Cruel dilemme d’Artaud Un soir que nous étio
93
i, les textes si purs qui présentent, dans un des
grands
albums de Skira, ces images du xviiie qu’il a choisies pour illustre
94
e psychanalyse ! Mais il est temps d’en venir au
grand
essai sur l’inventeur des Essais qui couronne toute une œuvre d’essay
95
leur pouvoir (avec, à l’horizon, la création des
grands
États européens) ; les questions religieuses, qui mettent en cause le
96
ration » — comme le dit la formule théologique du
grand
concile de Chalcédoine, formule aussi de mon éthique et de ma politiq
97
it de trouver un optimum entre trop petit et trop
grand
. La dimension d’une polis — ville ou État — ne doit pas dépasser cell
98
ompte pas ». Voilà bien le méfait majeur des trop
grandes
dimensions — oui, même en Suisse ! — d’une communauté, d’un État. C’e
99
a formation de foyers locaux d’où vont sortir les
grands
courants transrégionaux puis continentaux et au-delà. Tout comme on p
100
ute simple qui vexe ou scandalise les victimes du
grand
mythe scolaire conçu par le xixe siècle : le mythe des « cultures na
101
École rhénane, de Grünewald à Urs Graf, enfin les
grands
éditeurs humanistes, dont Frobenius ; Berne voit paraître la grande f
102
manistes, dont Frobenius ; Berne voit paraître la
grande
figure de Nicolas Manuel Deutsch, peintre de génie et poète épique et
103
vilisation bénédictine, qui va devenir le cœur du
grand
style baroque dans l’Europe du Nord. Au xviiie siècle, il semble que
104
rope du Nord. Au xviiie siècle, il semble que de
grands
coups de vent européens raniment simultanément tous les foyers ancien
105
tient sa cour, que vont passer d’est en ouest les
grands
courants européens du romantisme et du libéralisme économique et poli
106
des premiers disciples de l’Institut et son plus
grand
continuateur. Quant à Zurich, son nom restera lié aux deux plus grand
107
Quant à Zurich, son nom restera lié aux deux plus
grandes
nouveautés intellectuelles du xxe siècle, la relativité d’une part,
108
On a vu évoquer dans ces pages plusieurs des plus
grands
noms de l’aventure intellectuelle qu’est l’Europe — noms de Suisses p
109
es en tant que Suisses. Une certaine démesure, un
grand
théâtre, un sens de la pompe et du style libre de tout souci d’obliga
110
les plus invétérées. En revanche, la plupart des
grands
noms que j’ai cités ne seraient guère pensables hors du complexe suis
111
synthèse et dans les larges vues panoramiques les
grandes
dimensions qui leur manquent en Suisse. Synthèse des sciences médical
112
que ces hommes s’illustrèrent et apprirent à voir
grand
, c’est en s’expatriant pour se réaliser au sein d’une unité beaucoup
113
le monde ; c’est au contraire de l’étranger, des
grands
pays voisins ou de l’Amérique, que leur réputation nous est revenue,
114
ique, dans l’Europe moderne. J’ose y voir le plus
grand
privilège des Suisses : quelle que soit leur petite patrie locale, s’
115
dépassent c’est pour rejoindre immédiatement les
grands
courants continentaux ; parfois pour les déterminer. Condamnés à l’Eu
116
notera l’avantage évident des petits pays sur les
grands
. 13. A Study in History, 1947, p. 11. « … l’Unité intelligible d’ét
117
sante fondamentale. Un demi-siècle plus tard, les
grandes
idéologies politiques paraissent, en France, sur le déclin. On procla
118
t tout le temps revenir en France : « Il a été un
grand
serviteur de l’État ». C’est l’État qui est un service ; on n’est pas
119
péenne, qui a toujours été le rêve et l’idéal des
grands
esprits : c’est seulement quand ils deviennent vieux et gâteux qu’ils
120
amusant) de Georg Brandes, un philosophe danois,
grand
interprète de la philosophie allemande, qui avait beaucoup entendu pa
121
taient un en trois. Comment dire cela ? Ce fut le
grand
problème des pères de l’Église à partir du concile de Nicée, et cela
122
s avaient demandé de tuer Henri IV « pour la plus
grande
gloire de Dieu ». C’était mentir, car il tuait, en fait, pour la plus
123
était mentir, car il tuait, en fait, pour la plus
grande
gloire des Guises. Mais cela n’atteint pas la vérité de la phrase. D’
124
e (Paris : Payot, 1961), p. 302-303. À propos des
grands
esprits du siècle Nietzsche dit : « S’ils appartinrent à une patrie,
125
86)ar as Depuis le xixe siècle romantique, le
grand
public et la plupart des critiques semblent penser que la littérature
126
notre langue, la floraison de son vocabulaire, la
grande
allure et les éclats du style, ne se voient guère chez les romanciers
127
de créer une puissance nouvelle — un « troisième
Grand
» dans le cas de l’Europe — mais seulement le minimum de pouvoir capa
128
ondres, à La Haye, et que je lus en conclusion du
grand
Congrès de l’Europe réuni à La Haye en 1948 sous la présidence de Chu
129
objets ou même les otages de la rivalité des deux
grands
. Inventeurs du colonialisme dès le xive siècle, mais aussi de la déc
130
Histoire ; ou la survie et la domination d’un des
Grands
à la faveur d’une dégradation morale et matérielle sans précédent de
131
ève en octobre 1982, après qu’on lui eut remis le
Grand
Prix de la Fondation Schiller Suisse. »
132
it de trouver un optimum entre trop petit et trop
grand
. La dimension d’une polis — ville ou État — ne doit pas dépasser cell
133
problème politique est de l’empêcher de faire de
grandes
bêtises. Vous êtes bête et méchant ? Je fais comme tout le monde, je
134
la guerre et préparant la guerre à toujours plus
grande
échelle. Les petits États, les petites communautés ont tous les avant
135
es petites communautés ont tous les avantages des
grands
: il suffit de voir les statistiques des Nations unies. Ils sont les
136
Le seul désavantage : ils ne peuvent pas faire de
grandes
bêtises, donc de grandes guerres. Les hommes y sont plus heureux. Et
137
ne peuvent pas faire de grandes bêtises, donc de
grandes
guerres. Les hommes y sont plus heureux. Et surtout ils peuvent s’occ
138
re en main leur destin, ce qui est exclu dans les
grands
États. Autrement dit, ils peuvent faire de la politique, c’est-à-dire
139
e. Aristote voulait que la ville ne soit pas plus
grande
que la portée de la voix d’un homme criant sur l’agora. À Manhattan,
140
commune, les chemins vicinaux ; à la région, les
grandes
routes ; à la fédération, les routes continentales. Autre exemple : l
141
l’amour courtois chanté par les troubadours et du
grand
mythe de Tristan et Iseut dont le sens ultime est que Tristan n’aime