1
endrai, de pays dont la culture se confond avec l’
identité
nationale. Et plus tard, il faut sauter jusqu’au xiiie siècle pour v
2
et Molnar, il y a là un cas unique où culture et
identité
nationales ne font qu’un. Cela peut tenir aux origines asiatiques du
3
nt a toujours milité pour que l’Europe trouve son
identité
à travers les petites communautés et les régions. Depuis 1947 il habi
4
nion autre que fédérative est incompatible avec l’
identité
suisse. La question concrète est donc celle de savoir — à quel type
5
indre ? — et cela non seulement sans y perdre son
identité
, mais au contraire, en y trouvant la garantie renouvelée que cette id
6
e, en y trouvant la garantie renouvelée que cette
identité
, de la même façon que nos vingt-trois cantons trouvent dans l’article
7
ers types par rapport à leur compatibilité avec l’
identité
suisse. 3. Europe de Bruxelles, de Strasbourg ou super-État europé
8
us avons à déterminer les conditions posées par l’
identité
suisse à toute participation active à une Europe unie. Ou encore : au
9
condition qu’elle reste suisse, qu’elle garde son
identité
de fédération fondée sur l’autonomie des communautés de base, commune
10
onnait comme une sensation de la différence, de l’
identité
européenne, et une nostalgie lancinante, révélatrice de ce que nous a
11
je l’avais trompé, affirme-t-il, en lui cachant l’
identité
des participants non communistes à mon enquête. S’il avait su, il n’e
12
n réflexe de défense : il se sent menacé dans son
identité
par les désordres de l’époque. Oyez plutôt, en vous souvenant qu’il s
13
aigne prend alors le parti de l’être vrai, de son
identité
foncière aux prises avec le mensonge universel. Mais il ne la connaît