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s, et pour que ce dialogue soit utile, il faut qu’
il y ait
un langage commun. Ce langage commun, nous ne le trouvons que dans l’
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e l’addition de vingt-quatre cultures nationales.
Il y a
une culture qui s’est formée en Europe jusque vers l’an 1300 de notre
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ces trois sources primitives — et dans Jérusalem,
il y a
la source hébraïque et le christianisme —, il faut ajouter les popula
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s vu lors des exposés de MM. Boldizsar et Molnar,
il y a
là un cas unique où culture et identité nationales ne font qu’un. Cel
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e, sur l’éthique du fédéralisme, devrais-je dire.
Il y a
aussi la Pologne et la Roumanie, qu’il faut citer parmi les anciens É
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de cette conjonction rare, sinon unique. Ensuite,
il y a
la France qui, contrairement à l’Europe, comme nous l’a expliqué M. D
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es. Et encore plus différent du modèle français,
il y a
l’Empire austro-hongrois, qui s’est continué en partie dans la Vienne
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e symphonique, ou si vous voulez, d’un orchestre.
Il y a
le langage commun, la musique, l’héritage culturel européen, mais ce
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été copié presque par tout le monde. Je l’ai dit
il y a
longtemps, « c’est avec la poussière des individus que les États tota
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hoses dangereuses aux frontières, de sorte que, s’
il y a
un pépin, ce soient plutôt les autres qui trinquent. Si la France et
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mars et que j’avais accordée à Richard Labévière,
il y a
plusieurs mois, se sont glissées deux erreurs qu’il me paraît absolum
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ne contre les pacifistes est elle-même manipulée…
Il y a
beaucoup plus sérieux : si l’on se dispute à coup d’arguments idéolog
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e de parade possible à la guerre nucléaire. Ce qu’
il y a
de plus inquiétant dans les débats actuels, c’est qu’on sent une impa
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t probablement les gens qui produisent ces armes.
Il y a
donc une pression du lobby des armements ? Une pression formidable qu
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e plus grandes, plus puissantes. Je ne nie pas qu’
il y ait
des tentatives de manipulation dont les pacifistes de mon espèce sont
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s-nous et offrons nos poitrines nues. Je crois qu’
il y aurait
là un moyen de dissuasion formidable. Cependant, si un conflit devait
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ient en un petit groupe de discussion œcuménique.
Il y avait
là des protestants, des catholiques, des juifs et même des agnostique
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m requis pour effacer la résistance formidable qu’
il y a
dans les esprits français, formés par l’école. C’est le minimum non p
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. En même temps, j’écrivais des essais tout ce qu’
il y a
de plus sages. Dans l’un d’entre eux, intitulé « Adieu beau désordre…
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ques depuis l’avènement de l’État-nation en 1792,
il y aura
bientôt deux siècles. Évaluons rapidement ces divers types par rappor
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ats. De fait, on ne voit pas pour quelles raisons
il y aurait
lieu de faire confiance aux seuls économistes réunis à Bruxelles pour
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extes : ce sont ceux que nous avons discutés ici.
Il y a
donc eu d’une part quelque chose d’aléatoire, de fortuit dans ce rass
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it européen ». C’était au lendemain de la guerre.
Il y avait
là outre l’Allemand Karl Jaspers, des Français comme Georges Bernanos
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des raisons que chacun sait, n’a pu y entrer.) S’
il y avait
un vrai Parlement européen à élire au suffrage universel, ce serait é
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seignement de l’écologie à l’école. J’ai senti qu’
il y avait
là un deuxième souffle pour les fédéralistes européens. Durant cette
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guerre. Non seulement ils sont nés de la guerre,
il y a
soixante ans (les traités de « banlieue », Versailles, Saint-Germain,
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les dix années qui viennent. Je pense qu’ensuite
il y aura
une évolution, tant du côté européen que du côté russe, qui fera que
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ts-nations ; c’est un cercle carré ! J’ai appelé,
il y a
longtemps, la volonté de faire l’Europe à partir des États-nations, l
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d on refuse de prêter l’oreille à leurs demandes.
Il y a
certes des raisons à cette tactique, si c’est le seul moyen de forcer
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les tours de télévision en Bretagne, par exemple.
Il y a
donc toute espèce de définitions des régions, j’ai donné la mienne qu
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réalité. Alors, je pense en écoutant M. Birre qu’
il y aurait
peut-être quelque chose à chercher dans ce sens ; noyau ferme et terr
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physique, humaine, économique et culturelle. Mais
il y a
tout de même, à la base du fédéralisme et quelle que soit l’infinie c
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nos États-nations envisagent de respirer demain.
Il y a
aussi le problème des eaux douces. Il faut donc un certain minimum d’
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sans laquelle on ne pourrait pas créer d’union —
il y a
une énorme différence entre ces deux mots : l’unité, c’est une donnée
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voque dans la construction politique de l’Europe.
Il y a
les questions ethniques — de langues — il y a les questions politique
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pe. Il y a les questions ethniques — de langues —
il y a
les questions politiques — comme les frontières — et les questions éc
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siste, probablement dans l’inconscient collectif.
Il y a
donc des rythmes millénaires, il y en a d’autres comme la mobilité de
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r l’Europe, cette immense construction, sur ce qu’
il y a
de plus fragile, de plus variable, et qui peut être ruiné : l’économi
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suggérées. Dans le papier de M. Jacques Juillet,
il y a
une suggestion qui peut être très importante : celle d’une union euro
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celle d’une union européenne des maires. Certes,
il y a
un Conseil des communes d’Europe qui existe depuis une trentaine d’an
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t exactement le contraire. Et enfin, j’y reviens,
il y a
l’apport, capital à mon sens, de M. et Mme André Birre, avec ce qu’il
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amenés à discuter ici le problème des régions. S’
il y a
crise, s’il faut absolument trouver une autre formule que celle de l’
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s avantages de la grande et de la petite échelle,
il y a
deux-cents ans que Rousseau a réfuté le sophisme, qui équivaudrait à
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nt par la préparation à la guerre. Chaque fois qu’
il y a
une guerre, il augmente ses prérogatives : on arrive à l’État totalit
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mon livre. Il ajoute : « Mais je ne crois pas qu’
il y ait
là une solution définitive aux problèmes de l’humanité. » On pourrait
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vec sobriété qu’à la trente-troisième génération,
il y aurait
8,5 milliards d’ancêtres ; parmi lesquels « Lucius, patricien romain,
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e et général. Après elle, et souvent contre elle,
il y a eu
la littérature, beaucoup plus précisément déterminante dans mon cas.
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terre des hommes » et « patrie de la personne ».
Il y avait
là tous les mots-clés de ce qui allait donner sa doctrine au fédérali
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q ans d’activités au service de l’Europe fédérée.
Il y a eu
d’abord le Congrès de l’Europe, à La Haye, en mai 1948, présidé par W
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ellectuels les plus « engagés » pour notre cause.
Il y avait
dans la commission ou parmi ceux qui avaient contribué à ses travaux
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hes, mises à sac par jalousie ou dépit amoureux).
Il y a
du travail et du jeu pour beaucoup, dans cette aventure. Mais quelles
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a fois libertaire et solidaire, Lech Walesa. Mais
il y a
plus. Le vrai prophète n’est pas celui qui annonce les catastrophes e
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contre lui, mais sur les thèmes qu’il a choisis.
Il y a
là, beaucoup plus qu’on ne le croit, une entreprise permanente de « p
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industries : création ou destruction d’emplois ?
Il y a
cinquante ans à peu près, dans le premier numéro de la revue personna
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cela dit, demeure ma question centrale, formulée
il y a
cinquante ans, à propos des résultats de la technologie occidentale :
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son agenda et j’allais lui donner les noms quand
il y eut
à l’instant précis une panne d’électricité. Il nous fallut sortir sur
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se place aux tout derniers jours d’octobre 1932,
il y a
donc très exactement cinquante ans. Une semaine après cette visite, N
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ts d’ordre du PC et les positions personnalistes,
il y avait
peut-être moyen de lutter en commun sur quelques points concrets : co
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i, c’est pour ma mère ! La pauvre, elle est morte
il y a
douze ans…” » Ce matin même, j’ai lu dans un journal qu’il l’avait en
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ion : « Hein ! Comme contrepèterie, a s’pose là !
Il y a
quinze jours que j’y travaille… » Au restaurant « Le Catalan », peu a
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ous sentons le Monde et ressentons l’époque. Mais
il y a
plus. Enracinés dans la littérature française, nous avons l’un et l’a
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politiques, je le dois à ce livre de Staro. Mais
il y a
plus. Dans les vingt dernières pages du livre, intitulées : « Après M
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un groupe, il ne faut pas être trop ni trop peu.
Il y a
un optimum à trouver. Trop peu ce serait une famille ou un complot. T
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en Angleterre, en Bourgogne et jusqu’en Espagne.
Il y a
donc une longue tradition que l’on peut suivre de la polis grecque av
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itaire. Certes, je n’ai jamais été marxiste, mais
il y a
beaucoup de choses que Marx a découvertes, qui sont entrées dans le d
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ine du « dépérissement de l’État », chère à Marx.
Il y a
notamment beaucoup à prendre dans les écrits du jeune Marx, que nous
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aturellement, une commune ne peut pas tout faire.
Il y a
beaucoup trop de communes, par exemple, qui sont trop petites pour en
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ing. Puisque vous parlez d’individu, précisons qu’
il y a eu
mauvaise interprétation du terme. On a pu croire que vous étiez contr
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nnalistes anglais, allemands, espagnols, suisses,
il y avait
des agnostiques, des juifs, des catholiques, des protestants, qui s’a
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liques ou protestants, sans renier leur croyance.
Il y avait
aussi ceux qui étaient nietzschéens, comme on disait à l’époque. Cela
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ent à Nietzsche, et il lui dit dans une lettre qu’
il y avait
deux hommes qu’il devait absolument lire, l’un était Dostoïevski, l’a
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it devenu un terme juridique beaucoup plus large.
Il y a
, par exemple, cette phrase importante dans le droit romain : « Person
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é, créateur de la relation sociale. Là, pourtant,
il y a
une petite difficulté, car dans cette idée de vocation, telle que vou
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ette idée de vocation, telle que vous l’entendez,
il y a
une composante difficile à cerner, c’est la foi. Vous insistez beauco
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ion se produit souvent sous des formes négatives.
Il y a
des choses qui me sont proposées, offertes, par des gens, par des cir
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monde peut l’accepter, car tout le monde sent qu’
il y a
un but absolu (même si l’on ne sait pas exactement le définir), et ce
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chez vous plus que chez les autres personnalistes
il y a
une préoccupation… Une préoccupation de formulation et de communicati
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en Angleterre, en Bourgogne et jusqu’en Espagne.
Il y a
donc une longue tradition que l’on peut suivre de la polis grecque av
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degré le congrès des soviets de Russie, tandis qu’
il y a
quatre degrés pour les campagnes : le vote populaire élit les soviets
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uissance d’asservir ceux qui veulent la liberté ?
Il y a
là un problème de dimensions et de choix des outils mis à notre dispo
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maison qui ne devra rien ni à l’EDF, ni à l’État.
Il y a
là de quoi encourager les autonomies régionales et locales, la redist