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t la royauté française qui a fait la France, sans
jamais
obtenir, je crois, le libre consentement des parties annexées. Ça a é
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epuis ses origines, depuis le Moyen Âge. Il n’y a
jamais
eu volonté d’effacer les différences. Et encore plus différent du mo
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e de transposer en termes européens : Ne confiez
jamais
à une plus grande unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce
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s, des puissants contre les peuples ? Je ne dirai
jamais
cela. Il n’existe pas de complot conscient, cynique. Je suis persuadé
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1981, 600 milliards de dollars. On n’avait encore
jamais
dépensé une somme pareille. L’industrie des armements devient le cent
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nts dont il n’est guère imaginable qu’on se serve
jamais
, c’est la multiplication des armes nucléaires, notamment par le détou
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nviction. Je pense que si les Soviétiques étaient
jamais
tentés d’occuper l’Europe, ils n’auraient pas intérêt à se faire préc
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lle est le mieux en mesure de gérer. « Ne confiez
jamais
à une plus grande unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce
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à géométrie variable » comme on vient de le voir,
jamais
délimités par une frontière d’État qui n’arrête ni les pollutions, ni
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de quelques individus. Ceci d’ailleurs ne marche
jamais
à long terme car ça ne correspond pas à la vie. Il n’y a pas deux ind
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e son pays auprès des Nations unies : Ne confiez
jamais
à la plus grande quantité ce que la plus petite peut faire, et mieux
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tité ce que la plus petite peut faire, et mieux !
Jamais
à la commune ce que la famille peut faire ; jamais à la région ce que
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amais à la commune ce que la famille peut faire ;
jamais
à la région ce que la commune peut faire, et jamais à l’État ce que l
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mais à la région ce que la commune peut faire, et
jamais
à l’État ce que la région peut faire. Mais, aujourd’hui, certains pr
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ez écrit aussi « une région, comme telle, ne sera
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compétitive ». L’esprit de compétition relève de l’individu, sans dou
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s circulaires qui viennent de la capitale ne sont
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lues : on ne les a pas demandées. Peu à peu des liens se créeront, de
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dit en passant, le thème du seul roman que j’aie
jamais
écrit — à mes années de formation, entre 15 et 25 ans. Dès mon adoles
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plongé dans un bouillonnement d’idées que je n’ai
jamais
retrouvé par la suite. D’une part, nous faisions découvrir, en France
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puis quelque trente-cinq ans. Cela étant, je n’ai
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cessé pour autant d’être écrivain. Pour l’instant, j’ai douze livres
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me que vous admirez le plus ? La christianisation
jamais
achevée des Églises chrétiennes, de Luther et Calvin à Vatican II : m
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e de transposer en termes européens : Ne confiez
jamais
à une plus grande unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce
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ma longue carrière d’historien des idées, je n’ai
jamais
observé que la justesse et la fécondité d’une seule idée ait dépendu
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fédérale de la Confédération suisse, et cela n’a
jamais
fait problème), pourquoi ne pas envisager la multiplication d’agences
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germe de l’union à venir, la Suisse est plus que
jamais
nécessaire à l’Europe à condition qu’elle reste suisse, qu’elle garde
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es plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra
jamais
. Il ne verra que d’aveugles façades… La confrontation stupéfiante de
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endu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est
jamais
trouvé dans cent occasions analogues. Voilà le principal de ce que j
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entières. C’est que la formule totalitaire est à
jamais
inapplicable : une idée de fou. Il ne saurait y avoir toute-puissance
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es départements, les districts, et qui n’arrivera
jamais
ni au niveau de l’Europe, ni au niveau des sols ; et puis ce qui vien
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européens, voire suisses. La voici : Ne confiez
jamais
à une plus grande unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce
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abilité des conflits de frontière Personne n’a
jamais
dit que le système des régions éliminerait tous les conflits. À mon s
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s majestueuses » centrales nucléaires. Mais qui a
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demandé de vastes surfaces de panneaux solaires ? Cela me rappelle un
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retour à la nature. C’est un profond malentendu.
Jamais
les jeunes gens qui font partie de Longo Maï n’ont parlé de retour à
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e les épidémies. Les fédérations existantes n’ont
jamais
été formées par des catastrophes, mais par la nécessité de s’unir pou
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et Lancelot du Lac. Un peu de mes grands-parents (
jamais
connus). Tante Beth et le fameux « œil de tante Beth » qui faisait fu
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re était battu… Une idée nous orientait tous : si
jamais
nous pouvions retourner en Europe, le premier devoir serait de fédére
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e jeu de la guerre froide. Ce n’est pas et ce n’a
jamais
été votre position. Pourquoi ? Je n’ai jamais, pas un instant, senti
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n’a jamais été votre position. Pourquoi ? Je n’ai
jamais
, pas un instant, senti les choses de cette manière. Pour moi, rentran
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t été suivies de réalisations, chiffre, je crois,
jamais
atteint par aucun congrès… disons librement constitué. Le Centre va ê
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au fond de l’âme, un masochisme irrépressible. Et
jamais
il ne tente de réveiller en nous le courage de réagir, jamais il n’a
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tente de réveiller en nous le courage de réagir,
jamais
il n’a montré les buts d’une action libératrice, ni les finalités de
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re — qu’il est « impossible que cette guerre soit
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décisive ». À cette fin, « les forces sont également partagées » et l
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gir toute l’économie mondiale en vue d’une guerre
jamais
livrée mais entretenue par pays du tiers-monde interposés. La prépara
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era ». — On dit « toucher » ou « affecter », mais
jamais
« supprimer » un emploi ! — Mais je ne trouve nulle part de chiffres
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ons contraires coexistent en nous. Personne n’est
jamais
ni tout l’un ni tout l’autre. Et il n’existe pas non plus de liberté
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s Ce fut le trait de lumière. J’en serai à tout
jamais
reconnaissant à mon ami Alexandre Marc, le même qui allait me mettre
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ommunistes à mon enquête. S’il avait su, il n’eût
jamais
accepté de collaborer. Et il me traite de « sergent recruteur du fasc
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es en deux lignes. Modèle unique, hélas, au grand
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inégalable. Cruel dilemme d’Artaud Un soir que nous étions dans
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a plus belle contrepèterie du siècle ? Je ne l’ai
jamais
entendu citer par d’autres. Je vais pour sortir de chez Gallimard. La
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udent et circonspect en tous domaines, je ne l’ai
jamais
été, hélas, dans aucun. Il est analytique et méthodique, moi plutôt p
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e le dit si joliment Montaigne, alors que je n’ai
jamais
cessé de m’engager pour des causes, et tant pis pour moi. Ceci encore
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l’engagement tel qu’on le parle, Starobinski n’a
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négligé le devoir civique : c’en était un pour lui que de présider qu
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ujourd’hui l’un des très rares à mériter : il n’a
jamais
cédé à la mode jargonnante qui tyrannise nos soi-disant sciences huma
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ou surtout un Hitler dix ans plus tard n’auraient
jamais
pu prendre ou garder le pouvoir s’ils n’avaient pas disposé — et eux
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esponsable, formule que Sartre m’a empruntée sans
jamais
songer à me la rendre, vous le savez, c’est ma définition de la perso
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vus des traditions humanistes et piétistes — legs
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contesté par nul d’entre eux — une pléiade de mathématiciens rivalise
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ue sur le stalinisme totalitaire. Certes, je n’ai
jamais
été marxiste, mais il y a beaucoup de choses que Marx a découvertes,
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s, par exemple dans la race, ce qui ne nous avait
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effleurés. Parmi les personnalistes anglais, allemands, espagnols, su
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membre actif du parti socialiste (ce que je n’ai
jamais
été), mais enfin cela indiquait une certaine direction, une applicati
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remière version écrite en 1945-1946, mais qui n’a
jamais
été publiée. Elle n’a que 120 pages, et depuis lors j’ai accumulé au
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e personne. Chacun est différent de tout ce qui a
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existé, de tout ce qui existera jamais (oh, un tout petit peu différe
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t ce qui a jamais existé, de tout ce qui existera
jamais
(oh, un tout petit peu différent, mais enfin cela change beaucoup de
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onnaître des hommes politiques, mais je ne les ai
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admirés ou vénérés de la même manière que des écrivains. Un de ceux q
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it : « S’ils appartinrent à une patrie, ce ne fut
jamais
que par les régions superficielles de leur intelligence, ou aux heure
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mais économiquement et moralement — ou détruits à
jamais
comme en passant, par une troisième guerre mondiale qui, cette fois-c
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ernier pour les armements, la plus grosse dépense
jamais
faite depuis que l’humanité existe et dont le mieux qu’on puisse atte
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mieux qu’on puisse attendre est qu’elle ne serve
jamais
à rien : nous sommes fous. Pourquoi notre avenir vaudrait-il mieux qu
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t relue et corrigée par Denis de Rougemont, n’ont
jamais
été publiés. Nous en présentons ici de larges extraits. »