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931, j’ai fait la connaissance d’une trentaine de
jeunes gens
de mon âge, entre 25 et 30 ans, qui se rencontraient en un petit grou
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le pire. Quand la décolonisation s’est faite, nos
jeunes gens
étaient prêts à se faire tuer pour cette frontière devenue leur « fro
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pes que nous formions alors avec une trentaine de
jeunes gens
venus de tous les horizons, allaient sortir plusieurs revues — dont
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a nature. C’est un profond malentendu. Jamais les
jeunes gens
qui font partie de Longo Maï n’ont parlé de retour à la nature, ils d
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ilise aujourd’hui). Nous étions typiquement des «
jeunes gens
en colère » — en colère contre tout ce qui nous paraissait de nature