1 ue ce dialogue soit utile, il faut qu’il y ait un langage commun. Ce langage commun, nous ne le trouvons que dans l’existence d

2 utile, il faut qu’il y ait un langage commun. Ce langage commun, nous ne le trouvons que dans l’existence d’une culture commun

3 que, ou si vous voulez, d’un orchestre. Il y a le langage commun, la musique, l’héritage culturel européen, mais ce langage com

4 la musique, l’héritage culturel européen, mais ce langage commun étant symphonique, ne peut s’exprimer que par des instruments

5 trésor commun, à l’héritage commun, qui permet un langage commun. Quel pourrait être le contenu de ce Dialogue des cultures que

6 ur la politique. C’est cela seul qui permettra le langage commun, condition de tout dialogue. Nous avons tous vu, depuis trente

7 dividuelle et que c’est simplement par un abus de langage qu’on peut parler de la « mémoire » d’une machine : il ne s’agit en r

8 d’historiens et de théoriciens des sciences ou du langage en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Et puis, je nous vois un autre

9 erté, le corps, l’amour, la relation à autrui, le langage et la chose publique, c’est ce qu’il nomme la dialectique ternaire de

10 e parler de Dieu. Il avait peur de tomber dans le langage pieux et il parlait plutôt de l’Absolu, ce qui l’avait rendu très pop