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comme un corps étranger dans l’Europe. Donc, pour
lui
, sa culture était sa raison d’être. Mais vous avez à l’extrême invers
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et le reste suivraient, mais le général de Gaulle
lui
a bien fait voir que, pour lui, les intérêts économiques étaient seco
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général de Gaulle lui a bien fait voir que, pour
lui
, les intérêts économiques étaient secondaires : comme l’intendance, i
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inventer et qui n’a été foulé par personne avant
lui
. Il doit y avancer par la foi, dans la nuit, sans savoir à l’avance s
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pas à l’insensé selon sa folie, de peur que tu ne
lui
ressembles toi-même » et « Réponds à l’insensé selon sa folie, afin q
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. C’est ce qu’il a nommé « le libéralisme ». Pour
lui
, la politique devait être faite par des gens payés pour cela, comme d
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s pillé, plagié (l’inénarrable Jean-Edern Hallier
lui
a ainsi “piqué” des paragraphes entiers pour les resservir dans certa
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reprit à son compte. Là-dessus, ne voyons pas en
lui
qu’un intellectuel de haut vol, mais également un styliste de premier
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y (Californie) en 1961. Le philosophe Sidney Hook
lui
répondit aussitôt : « Si nous vous suivions, nous finirions par être
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de compte, non des peuples par leurs élus. C’est
lui
qu’il eût fallu élire au suffrage universel. Et doter de pouvoirs éla
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s cesse à son propos, et le plus souvent dits par
lui
. En juin 1939, au plus fort de la crise de Dantzig, C. J. Burckhardt,
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il fait coller chaque jour les articles parus sur
lui
à l’étranger. Il désigne une coupure du Courrier de Saint-Étienne int
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des choses pareilles sur moi. » C. J. Burckhardt
lui
demande pourquoi il attache tant d’importance aux propos d’une feuill
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foule. J’étais au premier rang, à trois mètres de
lui
, marchant à la hauteur de la voiture, les mains dans les poches de mo
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ège. » Il faut croire un homme qui dit cela… D’où
lui
vient le pouvoir surhumain qu’il développe pendant un discours ? Une
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on pas qu’un homme intelligent, si cela compte en
lui
le moins du monde, il ne vaut rien pour un destin pareil. En ce sens
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rimer sans rien détruire de ce qui s’est fait par
lui
. Un homme quelconque, transfiguré par sa ténébreuse « mission », Sch
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ation de la première société. Hitler n’a fait que
lui
prêter figure et nom, à l’occasion de son éruption la plus violente j
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ir, et j’écrivais alors : « Seul un prophète peut
lui
répondre ». Nous l’attendons encore. Saurons-nous le reconnaître ?
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s mots la préhistoire de mon livre, puisque c’est
lui
qui est l’occasion de notre colloque. J’avais passé la première année
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signifiait le terme ! Un soir donc en 1970, chez
lui
, près de Morges, devant une douzaine d’amis réunis pour l’occasion, l
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l y en a un qui fait beaucoup monter la moyenne à
lui
seul, c’est le Portugal, de loin le plus ancien : six siècles sans mo
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s assez pour pouvoir vous rappeler, sans je crois
lui
faire tort, que tout d’abord, il est italien et qu’il aime s’amuser ;
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itoire. S’il était capable de faire tout cela, on
lui
dirait : « Bon, continue, cela va bien et nous, on s’occupera d’autre
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me est éloigné, moins on a de chances de tenir de
lui
! » Mais si les noms sont vérifiés, les chiffres que je viens de cite
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(On eût fait rire un Flamand d’avant Napoléon en
lui
disant qu’il serait « Belge » et l’on eût scandalisé un Bavarois ou u
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nçon. J’ai quelques pièces tout à fait inédites à
lui
montrer.) D’autres récits de mes parents et de mes tantes (voir ici m
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ans un sens du terme assez différent de celui que
lui
donnait Valéry, quand il affirmait qu’est européen tout ce qui a été
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et c’était « l’engagement, comme dit Sartre… » Je
lui
ai laissé le mot, et j’ai gardé la chose. J’ai dit à mes amis fédéral
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ui se sont réalisées grâce au Centre mais hors de
lui
. La première, en collaboration étroite avec Raoul Dautry, puis Pierre
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t sienne, dans sa majorité, le mot d’ordre que je
lui
ai proposé : Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir. L’Europ
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(1977). Cette conversation a été enregistrée chez
lui
, à Saint-Genis-Pouilly, en juin 1982. »
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re et le renversement vers la sagesse. Et rien en
lui
n’acquiesce aux tentations de l’abîme et de la démission de l’esprit,
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la TV dans tous les ménages. Mais c’est cela qui
lui
a suggéré l’idée maîtresse du livre : l’omniprésence, à tous les mome
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tous parlant soit au nom du Pouvoir, soit contre
lui
, mais sur les thèmes qu’il a choisis. Il y a là, beaucoup plus qu’on
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i est horriblement dangereux c’est l’homme. C’est
lui
qui a fait la Bombe et qui se prépare à l’employer. Le contrôle de la
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erté. Il n’en va pas de même de l’ordinateur qui,
lui
, peut être employé pour le bien autant que pour le mal. On a beaucoup
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esclavage des machines n’est rien encore si on ne
lui
offre en échange de la monotone manutention mécanique, que la fascina
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ité, puisque certaines notions de la psychanalyse
lui
sont applicables. Quand on lui demande si la machine peut éprouver de
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de la psychanalyse lui sont applicables. Quand on
lui
demande si la machine peut éprouver des émotions, il répond qu’il tra
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sont pas des termes scientifiques ». Et comme on
lui
fait observer qu’il remet ainsi en question la nature humaine, il rép
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où vas-tu ? Je l’ignore et j’y vais. » Répondons-
lui
: si l’on ne sait où l’on va, mieux vaut n’y pas aller… dans certains
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e appelait de ses vœux. Laissez-moi vous citer de
lui
deux passages trop peu connus, le premier tiré de Par-delà le bien et
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er qu’une chose est bonne ou mauvaise parce qu’on
lui
colle telle ou telle étiquette. Nous voulions affronter les problèmes
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as à l’insensé selon sa folie De peur que tu ne
lui
ressembles toi-même. Réponds à l’insensé selon sa folie Afin qu’il
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eurs sollicités. Il sortit son agenda et j’allais
lui
donner les noms quand il y eut à l’instant précis une panne d’électri
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me violence : je l’avais trompé, affirme-t-il, en
lui
cachant l’identité des participants non communistes à mon enquête. S’
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istes sur ordre du Parti. Le totalitaire, c’était
lui
. Voilà qui peut ramener à de justes mesures la notion de « perçu », t
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pour me garder de répondre, et comme je vais pour
lui
serrer la main, je vois du coin de l’œil, sur son bureau, le Courrier
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répondre… Attendez… Michaux est très mince… » Je
lui
prends le bras doucement. Il est haletant, sa bouche écume. « Comment
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d la main. Moment de silence. Puis il dit, devant
lui
, sur un ton crispé : « Excusez-moi… Je ne peux pas vous reconnaître…
52
is du groupe surréaliste reformé à New York. Cela
lui
pose un problème très sérieux. Nous en parlons, difficilement… Son dé
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logie du verbe… Mais qu’est-ce que cela peut bien
lui
faire ? Avec ça qu’il n’a pas fait une religion de son surréalisme !
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né, et moi. Il ne reviendra pas sur le litige. Je
lui
ferai même un brin de conduite après le dîner. Deux jours plus tard,
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qu’il l’avait enfin, sa cravate ! Et le voilà. Je
lui
dis : « Léon-Paul, je n’ose plus vous serrer la main ! J’ai peur d’êt
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sur le balcon. J’attends que Budry sorte de chez
lui
. Et quand je le vois sortir… je le nargue ! » 8. Journal d’une é
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élé plein de sens et de conséquences : à cause de
lui
, c’est du même lieu de Suisse que nous voyons l’Europe, que nous sent
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is négligé le devoir civique : c’en était un pour
lui
que de présider quinze ans durant les Rencontres internationales de G
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e sujet qu’il ait choisi. C’est ici l’occasion de
lui
adresser un éloge accessoire sans doute, mais qu’il est aujourd’hui l
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architecturales typiques de la place publique qui
lui
paraissaient nécessaires pour qu’y soient représentées les composante
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-nation centralisé ou le dictateur. Mais qui peut
lui
répondre dans l’assemblée des hommes libres et se faire entendre à l’
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de rappeler l’idéal politique que représente pour
lui
le peuple genevois assemblé dans le « Temple de Saint-Pierre », comme
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le nombre de leur population ». La liberté, selon
lui
, n’est assurée que par les petites dimensions, car elles seules perme
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niale de l’évolution prochaine, inéluctable selon
lui
, de l’Europe des États-nations : il annonce la montée au pouvoir des
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déric Nietzsche, son jeune disciple, qui enseigne
lui
aussi à Bâle, restera jusqu’au bout marqué par la pensée sereine et d
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, ces deux fondements du totalitarisme. Ces idées
lui
valurent, à l’époque, des attaques de gauche et de droite, ce qui ne
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gaard. J’ai commencé à lire quelques fragments de
lui
— intitulés Diapsalmata — publiés dans la revue Commerce, que je cons
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où il avait été le premier à donner des cours sur
lui
. Il écrivait souvent à Nietzsche, et il lui dit dans une lettre qu’il
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s sur lui. Il écrivait souvent à Nietzsche, et il
lui
dit dans une lettre qu’il y avait deux hommes qu’il devait absolument
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me voulait dire qu’on était contre l’État tout en
lui
demandant de faire tout le travail, « chacun pour soi, l’État pour to
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é de voir qu’on prive les hommes de leur volonté.
Lui
, on ne l’aura pas ! Il dira non jusqu’au bout. Mais il est hypnotisé
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qui ne sont que les moyens de le rejoindre. C’est
lui
qui les crée. C’est-à-dire que la seule phrase valable du point de vu
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je l’ai assez peu connu. Et Caillois ? Caillois,
lui
, c’était un ami, tout à fait. Vous avez dû échanger beaucoup d’idées.
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, fut condamné à 15 jours de forteresse. La peine
lui
fut épargnée, mais on préféra alors l’envoyer aux États-Unis où il tr
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sa voix puisse porter et où n’importe qui puisse
lui
répondre sans avoir l’organe de Stentor. Nous retrouvions l’idéal d’A
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il prononça à Genève en octobre 1982, après qu’on
lui
eut remis le Grand Prix de la Fondation Schiller Suisse. »
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architecturales typiques de la place publique qui
lui
paraissaient nécessaires pour qu’y soient représentées les composante
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arrêt, avoir un roi — fût-il de Gaulle — quitte à
lui
couper la tête quand cela se présente. Je ne suis pas pessimiste parc
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s semblables. Chaque homme doit se réaliser comme
lui
seul peut le faire. Chacun est un cas sans précédent. Chacun doit don
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r la porte capitonnée me demandant de passer chez
lui
pour causer. Il s’annonçait d’un profond « allô allô ». Il me dit un
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ire que vos troubadours étaient homosexuels. » Je
lui
dis qu’en effet, plusieurs semblent l’avoir été que cela n’a rien de
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ment qu’il voulait voir mourir les hommes afin de
lui
tenir compagnie. Zeus qu’Homère appelle parfois Europeos (qui voit tr