1 Cassandre toujours fut tenue pour responsable des malheurs qu’elle annonçait. Ainsi va-t-il de ceux qui tentent encore de préven

2 igneur, tu le sais, je n’ai pas désiré le jour du malheur  ! (Jérémie, 17.16) 1. « Poker nucléaire, les enjeux ne cessent de

3 g et de la guerre, s’est présenté à nous comme un malheur plus étendu et plus profond que l’histoire n’en connut depuis le Délu

4 toutes ses formes, privées et publiques, c’est le Malheur qui va donc devenir la matière première de son œuvre et le gage de sa

5 a parole n’est d’abord que le ressassement de ces malheurs occidentaux et du superlatif malheur allemand — confession des péchés

6 ment de ces malheurs occidentaux et du superlatif malheur allemand — confession des péchés… d’autrui, attisant non le remords m

7 données de l’aventure hitlérienne. Fondée sur le Malheur , elle allait au Néant. « Das Nichts nichtet (le néant néantit) », ven

8 ées à Neuchâtel, une Élisabeth de Hongrie qui par malheur n’est pas la sainte, mais seulement l’épouse d’un grand-duc de Pologn

9 gneur, tu le sais ! je n’ai pas désiré le jour du malheur  ! » Le vrai prophète veut détourner son peuple des voies qui conduise

10 ommunauté qu’il présentait, des éléments pris par malheur au plus bas, par exemple dans la race, ce qui ne nous avait jamais ef

11 d’un pessimiste et je ne suis pas un prophète de malheur . J’aime beaucoup cette expression latine « plaise aux dieux que je so