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que cela commence à devenir un réflexe. C’est le
minimum
requis pour effacer la résistance formidable qu’il y a dans les espri
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es esprits français, formés par l’école. C’est le
minimum
non pas pour que la situation redevienne normale, mais simplement pos
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problème des eaux douces. Il faut donc un certain
minimum
d’agences fédérales mondiales, qui ne feront que cela, mais qui le fe
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de ces Pouvoirs aux yeux du peuple. Bien sûr, le
minimum
légal à obtenir — c’est déjà fait dans la plupart des États européens
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ntrable !) et ceci pendant les cent-mille ans, au
minimum
, requis par la surveillance quotidienne des déchets de nos centrales
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and » dans le cas de l’Europe — mais seulement le
minimum
de pouvoir capable d’assurer l’autonomie de chacune des régions fédér