1 es mélodies sont d’ailleurs empruntées à ceux des mouvements de réveil protestant dans le pays de Galles ! Cet héritage est tellem

2 iers ne s’y sont pas trompés : ils favorisent les mouvements pacifistes en RDA, en Pologne, en URSS même, où ils sont encore cland

3 demeurée jusqu’en notre siècle le seul témoin du mouvement des communes médiévales. Seule fédérée, quand tous les autres s’unifi

4 n’exclut pas la possibilité de son retour, car le mouvement qu’Hitler sut enflammer dans notre siècle existait en puissance dans

5 ines qu’il se propose d’opérer : Tous les grands mouvements de l’Histoire sont des éruptions volcaniques de passions et de sensat

6 ppel communautaire et par là submergeant tous les mouvements fondés sur le matérialisme — capitaliste ou « dialectique » — le nati

7 nt Alexandre Marc, que j’avais bien connu dans le mouvement personnaliste : ils m’ont jeté bon gré mal gré dans l’action fédérali

8 litantisme sous forme créatrice. Mais bientôt les mouvements fédéralistes se sont mis à décliner. Ils n’avaient au fond plus grand

9 ux choses : d’une part, la décadence accélérée du mouvement fédéraliste, d’autre part, l’apparition des mouvements écologiques, d

10 ement fédéraliste, d’autre part, l’apparition des mouvements écologiques, de la préoccupation écologique qui m’a tout de suite par

11 e suite paru capable de donner un sang nouveau au mouvement fédéraliste. Si bien que l’un des premiers colloques organisés par no

12 r des grandes fédérations : c’est un seul et même mouvement qui crée les deux. Une seule chose serait détruite au passage : l’Éta

13 avons lancé dans les années 1930, sous le nom de mouvement personnaliste, et sous le motto de Révolution personnaliste et commun

14 maire, je m’amuse à les échanger avec des gens du Mouvement Région Savoie qui les reconnaissent immédiatement. Je leur dis par ex

15 s de l’Est, ce qui est un grand succès pour notre mouvement . Quant à « exclure » la possibilité d’une société qui puisse jouir en

16 choisirais pas, pour la raison que la liberté de mouvement me paraît aussi nécessaire que ce « droit à l’enracinement » sur lequ

17 ls pas, avant les États-Unis, aux années 1930, au mouvement personnaliste qui s’exprimait dans les revues Esprit et L’Ordre no

18 doctrine au fédéralisme européen dans les divers mouvements de Résistance, puis au lendemain de la guerre, dans les premiers cong

19 ous été soutenu, durant ces années de création du Mouvement européen, par des intellectuels responsables ? Au congrès de La Haye,

20 rmation d’une opinion européenne. Avec l’appui du Mouvement européen, né du congrès de La Haye, j’ai ouvert à Genève un « Bureau

21 rticipants, choisis par les conseils nationaux du Mouvement européen. Le même team qu’à La Haye, c’est-à-dire Madariaga président

22 ut d’octobre 1950, à Genève, sous les auspices du Mouvement européen, et salué par un message très chaleureux de Churchill. Vous

23 Je vous ai donné un exemple concret, le mien. Les mouvements européens avec lesquels j’ai travaillé dans les années 1950 et 1960 f

24 e. Le patrimoine européen s’est constitué du même mouvement à travers le temps et qui va des origines mystiques au drame actuel,

25 x rivages de l’Atlantique et au-delà, et c’est le mouvement qui va du Proche-Orient vers l’Occident lointain, comme le soleil. To

26 s pour la plupart dans les équipes fondatrices du mouvement personnaliste réunies autour d’Esprit et de l’Ordre nouveau à partir

27 ocialiste italien ; que Hitler venait de créer un mouvement socialiste-national et qu’il ne cesserait pas de se qualifier lui-mêm

28 n les groupes et les individus à l’intérieur du «  mouvement personnaliste ». Je voudrais seulement rappeler que telles étaient al

29 personnalisme, dans celui d’Esprit notamment, un mouvement de « chrétiens gauchisants […] dont les liens avec le fascisme n’étai

30 s. Voilà donc, à en croire Hellman, comment notre mouvement était « perçu » dans les années 1932 à 1940. Mais il ne faudrait tout

31 lauréat que nous venions de choisir, mon premier mouvement a été de joyeuse acceptation, et puis un scrupule m’est venu, presque

32 peu plus large. Ensuite, j’ai lu ce Montaigne en mouvement , ce maître livre, dont je vous parlerai tout à l’heure. Voir plus lar

33 épouse, telle une souple chlamyde, les formes et mouvements les plus subtils du complexe d’idées qu’elle crée. C’est peut-être da

34 ue le vrai sujet de cet ouvrage, cependant que le mouvement observé chez Montaigne annonce peut-être le mouvement de l’œuvre même

35 ement observé chez Montaigne annonce peut-être le mouvement de l’œuvre même de son auteur, nous invite à l’anticiper… Ce thème ce

36 ence et l’obstacle, paru en 1971, et Montaigne en mouvement qui vient d’ouvrir sa carrière. C’est le dernier paru qui me retiendr

37 i de critique proprement littéraire. Il s’agit du mouvement créateur de la personne d’un écrivain, mouvement qui crée et qui expl

38 mouvement créateur de la personne d’un écrivain, mouvement qui crée et qui explique à la fois la substance des Essais et la form

39 ime que la Suisse est le dernier témoin vivant du mouvement des communes italiennes, qui fut écrasé partout ailleurs par l’essor

40 c’est cela qui est tout à fait contraire à votre mouvement de pensée. Tout à fait l’inverse. On ne pouvait pas dire plus simplem

41 oit être tout acte. La personne est prise dans le mouvement même de cette autocréation — « deviens qui tu es ! », disait Goethe —

42 ême avenir. C’est la devise que j’ai proposée aux mouvements écologiques français et il semble bien qu’ils l’aient adoptée. Si mon