1
on entre la guerre et les États et aussi entre le
nucléaire
et la guerre. Cela constitue un circuit où tout se tient. Par exemple
2
née à produire du plutonium. La relation entre le
nucléaire
civil et le nucléaire militaire a été par ailleurs démontrée. Bien en
3
onium. La relation entre le nucléaire civil et le
nucléaire
militaire a été par ailleurs démontrée. Bien entendu, tout cela sert
4
la paix mondiale peut être défendue par les armes
nucléaires
, premier moyen que les hommes aient inventé pour anéantir toute l’hum
5
’y a aucune espèce de parade possible à la guerre
nucléaire
. Ce qu’il y a de plus inquiétant dans les débats actuels, c’est qu’on
6
t monstrueuse en réalité, de limiter les échanges
nucléaires
au champ de bataille — par exemple à l’Europe, comme l’a si aimableme
7
contre l’illusion d’une limitation de l’escalade
nucléaire
. C’est exclu par les militaires eux-mêmes. Les seuls qui répandent ce
8
e serve jamais, c’est la multiplication des armes
nucléaires
, notamment par le détour des centrales dites civiles — voyez l’Inde,
9
faire ? Il n’y a qu’un moyen d’éviter la tempête
nucléaire
en Europe, à mon sens et à celui de mes amis : l’élimination de toute
10
s nos armées. Donc ils n’utiliseraient pas l’arme
nucléaire
les premiers, sans l’existence des forces de frappe française et brit
11
peut plus se leurrer sur les effets d’une guerre
nucléaire
: ce serait l’anéantissement de la population européenne, ne serait-c
12
te le pays le mieux placé pour éviter une attaque
nucléaire
, puisque nous ne possédons pas d’armes atomiques. C’est aussi un pays
13
s. Il n’empêche que devant le risque d’une guerre
nucléaire
, devant cette possibilité parfaitement réelle, il me semble que seule
14
es Malouines, à l’origine d’une guerre. La guerre
nucléaire
, c’est bien plus fou, si l’on y pense, que de dire désarmons-nous et
15
e L’Avenir est notre affaire , « la contestation
nucléaire
devient un problème transnational » ! Cela aussi démontre qu’aujourd’
16
Bertrand de Launay, Le Poker
nucléaire
: comme brebis à l’abattoir [préface] (1983)w I La montée ver
17
éface] (1983)w I La montée vers la guerre
nucléaire
soulève en moi la même colère immense et sourde, et par moments presq
18
e en même temps, des deux côtés, toutes les armes
nucléaires
existantes. La couverture d’un récent numéro de Time portait en gross
19
e serait, pour l’humanité tout entière, la guerre
nucléaire
. Ces « pacifistes » sont montrés du doigt et insultés comme étant les
20
c entendu que ceux qui mettent en garde contre le
nucléaire
, sous toutes ses formes du système, sont de sinistres névrosés, achar
21
cusations pèsent sur les partisans du désarmement
nucléaire
intégral, dont je suis. — Ils ont été traumatisés par la bombe d’Hiro
22
certain profit2 ». On a reconnu les partisans du
nucléaire
en général, et de la dissuasion en particulier. — Ils sont manipulés
23
avant ce stade final : supprimer toutes les armes
nucléaires
, partout, dans les moindres délais. Faire de cet objectif, préalablem
24
l possible. Avec des dizaines de milliers d’armes
nucléaires
sur tous les continents et les humains étant ce qu’ils sont, les chan
25
umains, pas meilleurs certes, mais privés d’armes
nucléaires
, l’Histoire peut encore continuer. Cela suffira-t-il à faire admettre
26
urtant nous faisons tout pour l’éviter. La guerre
nucléaire
est évitable, et nous faisons tout ce qu’il faut pour qu’elle arrive.
27
’armes et puissance explosive totale des arsenaux
nucléaires
américain et soviétique) est absurde, et ne peut conduire qu’à des co
28
jour du malheur ! (Jérémie, 17.16) 1. « Poker
nucléaire
, les enjeux ne cessent de monter. » 2. Jean Laplanche et Jean-Bertra
29
rand de, « [Préface] Bertrand de Launay, Le Poker
nucléaire
», dans Le Poker nucléaire : comme brebis à l’abattoir, Paris, Syros
30
d de Launay, Le Poker nucléaire », dans Le Poker
nucléaire
: comme brebis à l’abattoir, Paris, Syros, 1983, p. 9-15.
31
du monde — au Vietnam. b) À stocks égaux d’armes
nucléaires
, les Russes gagneraient nécessairement sur les Européens du seul fait
32
donné naissance au Centre européen de recherches
nucléaires
, qui s’appelle aujourd’hui le CERN et qui dépend de 12 gouvernements
33
nue après quelques années de polémiques autour du
nucléaire
: « Écologie – régions – Europe », — et qui m’a fait écrire mon livre
34
ollution majeure de la terre. J’entends la guerre
nucléaire
. Aujourd’hui, il n’est pas question d’autre chose. Tous nos États-nat
35
re « Faut-il être aussi radicalement opposé au
nucléaire
? » demande-t-il avec un peu d’ironie dans le ton. D’une manière que
36
rre Auger, a été le Centre européen de recherches
nucléaires
, ou CERN, foyer de recherches sur la constitution du noyau de l’atome
37
e. Ce qu’on prépare avec méthode, c’est la guerre
nucléaire
— la fin de l’humanité peut-être mais la solution du chômage en tout
38
que les balbutiements : je veux parler des armes
nucléaires
et des télécommunications audiovisuelles assurant l’omniprésence du P
39
Trois manières de considérer le
nucléaire
(1984)y I. Du point de vue de la civilisation en général et de l
40
es, ceux de notre époque seront les lourdes tours
nucléaires
. Les cathédrales édifiées par la piété des communautés urbaines ont é
41
emont Denis de, « Trois manières de considérer le
nucléaire
», Oui pour un avenir, Lausanne, C.-L. Fontaine, Secrétariat romand d
42
e, tant animale que végétale. (Le stock de bombes
nucléaires
existant et qui représente déjà quatre tonnes d’équivalent TNT par tê
43
nt à l’opposition entre deux formes d’énergie, le
nucléaire
et le solaire. Car chacune de ces deux solutions implique et détermin
44
ue à s’y méprendre celle de nos polémiques sur le
nucléaire
et de nos guerres religieuses entre capitalisme et communisme, démocr
45
lle des conflits internationaux jusqu’à la guerre
nucléaire
: fin de l’Histoire ; ou la survie et la domination d’un des Grands à
46
la victoire des écologistes sur les promoteurs du
nucléaire
? Attention à ce genre de question. Nous ne sommes pas là pour prévoi
47
l’énergie, je vous dirai ceci : les promoteurs du
nucléaire
sont suicidaires et le savent. L’avenir que nous voulons, c’est le so
48
ire soit compétitive. Pendant ce temps, l’énergie
nucléaire
devient de plus en plus ruineuse. Pourquoi cette résistance des États
49
de l’État central, le fédéralisme ! Tandis que le
nucléaire
, fabuleusement cher, gigantesque, exige la protection de la police et